• Chapitre 10: Un futur désastreux

    Par AngelsFriendsStyle le 28 Juin 2015 à 11:56
    fanfic 3 chapitre10
     
    Un futur désastreux
     
    Diabéla: J'ai deux questions: Comment et pourquoi ? 
     
    Elle laisse tomber son arme parterre, sûrement à cause du poids de celle-ci. Je ne sais pas trop quoi lui répondre ni par où commencer... C'est vrai, ça parait absurde... Je connais la réponse sans la connaitre, je suis arrivé par des éclairs qui mon aspiré jusqu'ici parce que c'est une épreuve du sentier des métamorphoses que je traverse. Mais après comment c'est vraiment possible et encore plus quel est le but de m'envoyer ici... Bonne question. Je la regarde, elle me regarde, puis je hausse les épaules en secouant lentement ma tête en regardant le sol. 
     
    Sulfus: Sincèrement... J'en est aucune idée. Tout ce que je sais, c'est que c'est une épreuve du sentier des métamorphoses.
     
    Diabéla: (écarquille les yeux) Le sentier ? S'ayez vous le traversé toi et Raf... 
     
    Sulfus: Oui, on en est à la dernière épreuve... 
     
    Diabéla: La dernière épreuve... (regard vide) 
     
    Sulfus: Qu'est ce qu'il y a ? 
     
    Diabéla: Rien... (le regarde) Ça va ta bouche ? C'est les gardes qui t'ont fait ça ? 
     
    Sulfus: (essuie le sang sur le coin de sa bouche) Heu non.. Ça c'est quant je suis arrivé... Je suis tombais contre le béton.
     
    Une alarme retentit dans toute la ville. Diabéla relève rapidement la tête en regardant en hauteur. Elle se baisse et ramasse quelques flingues parterre rapidement. 
     
    Sulfus: Qu'est ce qui se passe ici ? 
     
    Diabéla: Faut pas traîné ici, viens ! 
     
    Diabéla s'engouffre dans une petite ruelle sombre, je la suis, car apparemment c'est la seule personne en qui, je peux avoir confiance ici. Je me demande vraiment ce qui s'est passait ici... Tout est abandonné et vide, on dirait qu'ils sont en guerre. C'est obligé, vu la façon que Diabéla se comporte... Elle longe le mur de l'immeuble à côté du quel on marche. En arrivant au bout de la ruelle qui débouche sur une plus grande rue, elle regarde discrètement pour voir si personne n'est là. Je suis juste derrière elle. 
     
    Sulfus: Diabéla, qu'est ce qui s'est passait ici, qu'est ce que ces hommes me voulait ? Et de quoi parlait cet homme quant il disait que tu était la cible numéro 1 de... Reina...? 
     
    Diabéla: ... (soupire) C'est une longue histoire... Mais en gros les méchants on pris le pouvoir, et Reina est à la tête de tout ça... 
     
    Reina... Donc même dans le futur, elle ne laissera jamais les anges et les démons tranquille... On s'engage dans la grande rue en courant pour rejoindre une autre petite ruelle sombre. Diabéla continue de m'expliquer l'histoire pendant qu'on avance. 
     
    Diabéla: En faite ils nous ont bien eu. On ne s'attendais à rien ! Alors qu'on vivais tous notre petite vie normalement et tranquillement. Ils ont relâchaient un virus dans tout les endroits où les anges et les démons pouvaient se trouvés. Sur terre, dans la citée des anges, celle des démons, et celle des deux réunis. C'est à dire celle-ci. 
     
    Sulfus: Attend, attend ! Les deux réunis ?! 
     
    Diabéla: Oui, une citée pour les anges et les démons réunis. Pas le temps de t'expliquer ! Donc ce virus, s'est répandu partout et nous a tous privé de notre magie. Au début on ne pouvais seulement plus se servir de nos pouvoir, puis de nos ailes pour volé, et.... (baisse la tête) 
     
    On viens de s'arrêtais à un autre coin de rue, son regard et fixé sur le sol. 
     
    Sulfus: Et quoi ? 
     
    Diabéla: Et nos ailes, cornes et auréoles ont disparus... 
     
    J'ouvre grand les yeux. Et c'est seulement maintenant que je me rend compte qu'elle n'a plus ses ailes, ni ses cornes... 
     
    Sulfus: C'est horrible... 
     
    Diabéla: Et encore ça ne serait que ça... Mais voilà Reina s'est allié à plusieurs ennemis très dangereux et puissant qui haïssent les anges et les démons. Et à eux tous ils ont créé une armée en libérant des milliers d'êtres impartiales enfermé dans les ténèbres... C'est d'ailleurs ceux qui on voulu te capturé tout à l'heure, et encore on a eu de la chance c'était des soldats de niveau 3. Ils sont facile à battre. 
     
    Sulfus: Et qu'est ce qui me serait arrivé, si ils auraient réussis à me capturé ? 
     
    Diabéla: La même chose qu'à tous ceux qui se sont fait capturé, ils t'auraient amener à leur base, montré à Reina si tu fais partie de ceux qu'elle veux voir une fois capturé, un peu comme moi je suppose, si je me fais capturé comme je suis leur cible numéro 1, je pense devoir passait devant Reina... Et ensuite, ils te jète dans une cellule... Et après... Je ne sais pas trop ce qu'ils leurs font... Mais j'ai entendus dire qu'ils torturé certains de leurs prisonniers... Mais je compte bien les sauvés ! Je ferais tout pour y arrivé ! 
     
    Sulfus: Mais... Tu es toute seule ? Tout le monde à était capturés ? 
     
    Diabéla: Non, beaucoup ont étaient capturé au début et par la suite, mais il reste quant même des anges et des démons qui on réussis à échappé aux soldats. Et on forme une résistance contre Reina, ses alliés et leur armée. On cherche absolument un moyen d'arrêter tout ça. 
     
    Sulfus: Et ça dure depuis combien de temps cette guerre ?
     
    Diabéla: Ça fais 3 mois et je commence à me demandé, si c'est possible de les battre... Mais quoi qu'il en sois je n'abandonnerais jamais... Je dois le faire pour ma famille... 
     
    Sulfus: Ta famille ?... Attend... Ciel est à la résistance avec vous ? 
     
    Elle me regarde sans rien dire, puis elle baisse sa tête. "Si seulement, il pouvait être avec nous... Mais il est là bas." c'est pas possible... Il s'est fait capturé... Je comprend mieux de quoi parlait l'homme tout à l'heure. 
     
    Sulfus: Et ils se servent de ton frère pour t'obligé à te rendre...? 
     
    Diabéla: (acquiesce) En quelque sorte oui. Je ne sais pas si, ils lui ont fait quelque chose. Mais ils nous menace de le faire. À lui ou mes parents. Ou aux proches des autres qui sont à la résistance.
     
    Sulfus: Ils détiennent tes parents aussi ? 
     
    Elle me regarde avec un regard vraiment étrange. C'est même flippant de la voire comme ça, on dirait limite que je lui fait peur...
     
    Diabéla: Oui... Mon père... À était le premier à se faire prendre. Il m'a protégeait d'un soldat qui voulait m'attrapé en me tirant dessus. Il s'est pris à ma place la balle dans l'épaule. J'étais choqué et tétanisé devant cette scène, mon père nous a dit de nous enfuir, je voulais pas mais Ciel m'a attrapé le bras pour m'amenait avec lui et il a juré à mon père qu'il ferait tout pour le sauver... Même si ce n'est toujours pas arrivé... Ensuite ça était Ciel... Alors qu'on avais tenté de trouvé un moyen de rentré dans leur base, ils nous ont repéraient et pour qu'on puissent tous fuir, moi, ma mère et tout les autres Ciel à attirait l'attention de tout les gardes... Et... Ils l'ont capturé.. Mais d'une façon... C'était inhumain ! Ils l'ont frappé jusqu'à ce qu'il tombe à terre. Et ils l'ont amené.... (tremble)
     
    Je la regarde pendant qu'elle regarde le sol, en tremblant, elle est sur le point de craqué... Je pose ma main sur son épaule. Elle me regarde en gardant son apparence forte... Mais ce n'est pas qu'une apparence, j'ai l'impression qu'elle à vraiment vu des chose horribles... Elle est forte. 
     
    Sulfus: Je crois que j'ai compris. Ne te torture pas à m'expliquer le reste, je suppose que t'a mère s'est fait capturé en te protégeant aussi... 
     
    Diabéla: Oui... Merci... Depuis que j'ai vécu ça... J'ai changeais. Je ne savais pas me défendre sans mes pouvoirs avant, mais depuis tout ça, je me suis endurcis... Pour les sauvés et protégé mon petit frère Sky. Je me suis entraîner à manipulé des armes puisque c'est la seule défense qui nous reste... Ce que j'ai fais tout à l'heure... Je n'en aurais jamais était capable il y a encore quelques semaines. Et encore moins de tuer quelqu'un... 
     
    Sulfus: Tu l'a tuer... 
     
    Diabéla: Tu dois sûrement pensait que je suis un monstre. Mais ces hommes... N'ont pas hésité une seule seconde à abattre des innocents... Ils sont cruel et sans pitié Sulfus. Et l'homme de tout à l'heure... J'ai étais obligé de le tuer... 
     
    Sulfus: Pourquoi ? Tu aurait pu le mettre K.O ? 
     
    Diabéla: (secoue la tête) Il en sais trop sur moi. Vu ce qu'il m'a dit sur Ciel... Quant il serait rentré à la base il aurait ordonné à ce qu'il sois torturé, pour ce que j'ai fait à ses hommes. 
     
    Sulfus: Mais, tu m'a dit que c'était des soldats de niveau 3, ils peuvent pas commandé ? 
     
    Diabéla: Lui, si. C'était le chef de son équipe. Je sais pas si tu as remarquer le symbole d'araignée sur son blouson.
     
    Sulfus: Si... Je crois m'en souvenir...
     
    Diabéla: Et bien ce symbole signifie, que celui qui le porte est un chef d'une troupe de soldat, et donc il a un lien directe avec Reina. Il peut ordonné, parlé ou proposé ses idées à Reina. Et donc Ciel était en danger si je laissais cet enfoiré en vie. De toute façon il ne m'a pas donné d'information que je voulais, il ne servait à rien... 
     
    Sulfus: Ouais j'ai vu... Même en lui tirant dessus il n'a rien dit. 
     
    On continue d'avancer dans toute sorte de ruelle, puis au bout de la dernière, je vois qu'on débouche sur une grande place. Ça devait être une rue commercial, il reste des tables et des chaises dehors devant un bâtiment, ça devait être un restaurant. Et il y a de nombreuses boutiques pour vêtement, des parfumeries, pour jeu vidéo, bref de tout genre. C'est juste que tout ces magasins sont légèrement en ruine. 
     
    Diabéla: À chaque fois, que je passe par ici... Ça me motive à réussir ce combat. Cet endroit me rappel tant de bon moment... Avec ma famille, mes amis... Mais surtout Ciel... Tu peut pas savoir à quel point il me manque... 
     
    Sulfus: Si je m'en doute. Je sais ce que c'est d'être séparé de quelqu'un qu'on aime pendant des mois, sans savoir si on le reverra un jour... 
     
    Diabéla: Tu fais référence à Raf, et à ce qui s'est passé quant elle a était transformé en vampire/démon ? 
     
    Sulfus: Ouais, c'était vraiment une sale période... 
     
    Diabéla: Oui, surtout que t'a frôlé la mort plusieurs fois.
     
    Sulfus: Mais comment ça se fait que tu en sache tellement sur moi et Raf ?! 
     
    Diabéla: (tête de blasé) Sulfus, toi et Raf, vous êtes juste l'ange et le démon qui ont le plus marqué les mémoires, votre histoire tout le monde la connait. 
     
    Sulfus: Ah... En parlant de Raf... Je m'inquiète vraiment pour elle, je sais pas où elle a atterrit ni sur quoi elle va tomber... Et puis je sais pas comment faire pour revenir à mon époque comme le veux l'épreuve. 
     
    Diabéla: Ne t'en fais pas pour Raf... (sourit) Elle va très bien, et elle va réussir cette épreuve haut la main et elle aura pleins de chose à te raconté. Ce qu'elle va voir, va être exceptionnel pour elle, elle va tout te raconté sans s'arrêter... Contrairement à toi à ce que je vois... 
     
    Elle me lance comme un regard accusateur en souriant très légèrement... Comme si elle venait de comprendre un truc sur moi. Je reste troublé, pendant qu'elle décroche son regard de moi, et qu'elle commence à avancée au milieu de cette grande rue commercial. Je la suis.
     
    Diabéla: Mais ne t'en fais pas, pour toi, je vais t'aider ! J'ai ce qu'il te faut pour revenir à ton époque. 
     
    Sulfus: Ah ouais ? 
     
    Diabéla: Ce bon vieux collier du temps, tu t'en rappel ? 
     
    Sulfus: Ah, je l'avais presque oublier celui là ! 
     
    Diabéla: Par contre il est resté chez moi, je n'est pas pût le récupéré quant on a dû fuir. Donc on ira le chercher plus tard, car le soleil se lève, et circulé dans les rues de la ville en pleine journée c'est carrément du suicide. On ira cette nuit, en attendant on rentre à la Planque ! 
     
    Sulfus: D'accord ! 
     
    On continue de marcher dans plusieurs rues, jusqu'à ce qu'on retourne dans une toute petite ruelle sombre et qu'on s'arrête devant une plaque d'égout. Diabéla s'accroupit au sol et soulève la plaque et commence à rentré ses jambes dans le trou. 
     
    Sulfus: Vous vous planquez dans les égouts ? 
     
    Diabéla: Pas exactement, mais on a plusieurs façons d'entrer dans notre Planque et les égouts en font partit. Et on a plus le temps de rentrer par un endroit "plus élégant" ! Allez suis moi ! 
     
    Elle se jète directement dans le trou, je ne la vois plus à cause de l'obscurité. Je regarde un peu partout autour de moi et je décide de me lancer à mon tour. Quant mes pieds touche le sol, je suis obligeais d'atterrir accroupit pour ne pas tomber. Je me redresse et Diabéla allume une lampe de poche pour y voir plus clair. Elle referme la plaque dégoût et elle me fait signe de la suivre. On avance donc dans les égouts pour se rendre à leur planque. 
     
    ......
     
    Après une demie heure de marche, Diabéla vient de s'arrêter devant un mur. Mais il n'y a rien... Puis elle pose sa main sur le mur et la fait glissé, et d'un coup une des briques s'enfonce dans le mur. Un passage s'ouvre devant nous et donne vu sur des escaliers qui descendent légèrement jusqu'à une porte blindé. Diabéla descend les escaliers, je la suis, le passage se referme directement derrière nous. Pour des raisons de sécurité j'imagine. Une fois devant la porte, elle frappe à la porte. Une toute petite ouverture dans la porte s'ouvre au niveau de ses yeux, et je peux apercevoir des yeux de couleur ambre, avec des sourcils marron et plutôt épais. C'est le regard d'un garçon. 
     
    ???: Mot de passe ! 
     
    Diabéla: Fred, sérieux arrête de faire le con, ouvre moi.
     
    Fred: C'est qui avec toi ? 
     
    Diabéla: Alors surtout, pas de gaffe, si t'en fais une seule, je t'explose la face ! 
     
    Fred: °^° ! Ok mais c'est qui ? 
     
    Diabéla: Sulfus, qui viens du passé. 
     
    Fred: Sérieux ?! °^° Sulfus ?! Tu veux dire que c'est...
     
    Diabéla: LA FERME ! 
     
    Fred: Ah ouais, merde, j'allais faire une gaffe ! ^^' 
     
    Diabéla: -_-'.... Allez ouvre. 
     
    Le garçon qui s'appel Fred apparemment, ouvre la porte, et nous laisse passer. Il me regarde avec de grand yeux étonné. Et maintenant que je vois correctement son visage, j'ai l'impression de l'avoir déjà vu... Mais oui... Quant Ciel et Diabéla étaient venu dans notre époque et le soir qu'ils étaient retourné chez eux, je crois me rappeler de l'avoir vu dans tout ses amis. 
     
    Fred: Salut ! °v° Ça fait trop bizarre de voir une personne qu'on connais qui viens du passé ! °^° 
     
    Diabéla: Ouais, bah fout lui la paix, je veux pas que tu discute avec lui, tu va faire des gaffes sur son avenir... (à Sulfus) Bienvenue à la Planque ! 
     
    Fred: L'endroit le plus sécurisé pour nous dans toute la ville ! 
     
    Sulfus: Tant mieux pour vous... C'est vraiment dangereux dehors...
     
    Fred: Je te le fait pas dire ! 
     
    Diabéla: Où sont les autres ? Je trouve la Planque bien calme... Ils sont pas encore dehors j'espère ?! Car le soleil commence à se lever ! 
     
    Fred: T'inquiète, la plupart sont partit dormir et les autres sont soit dans le salon ou dans la salle d'entraînement. 
     
    Diabéla: La salle d'entraînement est blindé, je peux comprendre qu'on entend rien, mais le salon ? 
     
    Fred: (hausse les épaules) Ils sont sûrement fatigué, ils ont pas envie de courir partout.
     
    Diabéla avance, je la suis toujours, on passe une entrée dans le mur face à la porte d'entrée blindé et là je vois une grande pièce, qui semble être leur salon. Il y a plusieurs canapés dans plusieurs endroits de la salle, je vois une sorte de cuisine au fond, il y a une vielle gazinière avec un four dedans, un frigo, un plan de travaille avec un évier, et un énorme congélateur. C'est une cuisine qu'ils ont fabriqué à l'arrache. Contre le mur de gauche il y a un bureau avec une tonne d'écran accroché au mur, relié à quelques claviers d'ordinateur. Et partout dans la salle je vois des portes un peu partout mais j'en remarque surtout une grosse en acier au fond à gauche. Dans la salle je remarque quelques personnes, il y a un garçon aux cheveux noir assis sur une chaise face au bureau où il y a les écrans. Il y a une fille endormis sur un des canapés, ses cheveux sont rose avec des mèches bleu, et les formes de son visage me rappel celui de Dolce... Est ce que ce serait... 
     
    Diabéla: Raphaël, t'a du nouveau ? 
     
    Diabéla me sors de mes pensés et je reporte mon attention sur elle et le garçon qui est assis devant le bureau et les écrans. Raphaël. Lui aussi ça tête me dit quelque chose...
     
    Raphaël: (se tourne légèrement) Ah Diabé, t'es rentrer ! Non.. Rien du tout, leur système informatique est vraiment solide ! Jake et moi on se tue à le piraté, mais sans succès. On trouve aucune faille, pour s'y insérer et avoir les informations qu'il nous faudrait... Si déjà on pourrait juste savoir, où ils les enferment... 
     
    Diabéla: On pourrait déjà organisé un plan de sauvetage... Mais le problème c'est qu'on peut pas s'aventuré à l'aveuglette en territoire ennemis. 
     
    La fille qui dormait viens de se réveiller, elle se lève lentement et s'approche de Diabéla et Raphaël. Elle semble encore un peu dans les vapes.
     
    Raphaël: Ça va Rose ? 
     
    Rose: Ouais... Mais je me suis endormis sur le canapé, j'ai dû dormir à peine une demie heure... Je crois que je vais allez me recouché de mon lit. 
     
    Raphaël: Tu peut, la journée viens juste de commencer ! 
     
    Les yeux de "Rose" se pose sur moi, puis elle fronce les sourcils avec un air étonné. Du coup Raphaël puis Diabéla tourne aussi la tête vers moi. Et Raphaël a exactement la même réaction que Rose. 
     
    Raphaël: Mais c'est Sulfus ?! 
     
    Rose: Qu'est ce qu'il fait là, je croyais qu'il avait était...
     
    Diabéla: (leur coupe la parole) Ce n'est pas Sulfus ! Enfin si, mais pas celui de notre époque ! Il viens du passé, il traverse actuellement le sentier et il en est à la dernière épreuve, qui consiste à l'envoyer dans le futur et qu'il trouve un moyen d'en revenir. 
     
    Rose: Vraiment ?
     
    Diabéla: Oui. 
     
    Raphaël: Bah bienvenue temporairement chez nous, Sulfus ! °^°' 
     
    Sulfus: Merci..
     
    Diabéla: Bon, je vais allez voir, mon p'tit frère, il est dans sa chambre ? 
     
    Raphaël: Heu... Ton frère n'est pas dans sa chambre... 
     
    Diabéla: (panique) Quoi ?! Il est où ?! 
     
    Rose et Raphaël: .... °-°' 
     
    Diabéla: Répondez !! 
     
    Fred: (arrive de nul part) Il est à la salle d'entraînement avec les autres ! Jim lui apprend à se servir d'une arme, malgré ton interdiction! °u°' 
     
    Diabéla: Quoi ?! Je vais le tué ! Jim !! 
     
    Diabéla s'approche de la grosse porte en acier que j'ai remarquer tout à l'heure d'un pas décidé. Tout le monde la suis et je fais de même. Elle ouvre la porte et entre à l'intérieur, on fais tous pareil. En entrant, je découvre, une immense salle d'entraînement au combat, leur planque est vraiment plus grande que ce que j'imaginais... Pleins de personnes dont je ne peut pas vraiment deviné leurs natures d'anges ou démons à cause de la disparition de leurs auréoles et cornes sont en train de s'entraînaient: combat corporel en duo, entraînement à tiré sur une cible, tapé dans des sacs de box, lancé de couteau, et pleins d'autre chose encore... Au loin je remarque un groupe de personne autour d'un petit garçon au cheveux brun, et d'un plus grand au cheveux bleu, accroupit à côté du petit. Ça doit sûrement être ce Jim et le p'tit frère de Diabéla. 
     
    Jim: Alors surtout, tu fixe ta cible Sky. C'est pas le couteau qui fais le lancer. C'est toi et toi seul. Si tu t'occupe trop de ta lame et pas de la cible ton couteau va aller automatiquement ailleurs que là où tu voulais. Ta vu ce que ça au donné tout à l'heure ?
     
    Sky: Oui, mon couteau à atterrit parterre. 
     
    Jim: Parfait, donc tu respire, t'oublie ce qui se passe autour de toi, tu fixe cette cible et lance ta lame sans quitter la cible des yeux. 
     
    Sky acquiesce, se concentre en fixant la cible et lance le couteau d'un coup. La lame part et se plante droit dans la cible en pleins milieu ! C'est incroyable c'est un gamin qui a fait ça. Jim regarde Sky en souriant et les autres applaudissent Sky. Quant à ce petit... Il est carrément bluffé d'avoir réussi ça, il en reviens pas, puis il lâche en souriant "Wouaw..." en continuant de regarder le couteau planté dans la cible. 
     
    Jim: J'étais sûre que tu le réussirait ce coup là ! 
     
    Sky: (motivé) Je vais devenir le meilleur des lanceurs de couteau ! 
     
    Diabéla: Je t'arrête tout de suite Sky ! 
     
    Sky: (tourne la tête vers Diabéla) Grande soeur... 
     
    Diabéla: Je ne veux plus te revoir touché à un seul couteau ! Jim t'es complètement fou, on en a déjà parler, je ne veux pas que Sky touche aux armes ! Il est trop jeune et il pourrait se blessé ! En plus pour Sky c'est de l'amusement, tu le connais brûlé et cassé des trucs c'est son passe-temps favori depuis qu'il est tout petit. 
     
    Jim: Diabéla... Je sais que tu ne veux pas et je comprend, mais réfléchis, on est en pleine guerre, chaque jours nos vies sont en danger et on a déjà perdu beaucoup de camarade... Et imagine si un jour, nos ennemis trouve notre planque et nous attaque. 
     
    Diabéla: C'est impossible qu'ils la trouve. 
     
    Jim: Je sais. Mais laisse moi finir, imagine juste ils y arrivent ou que pour une raison quelconque ton petit frère se retrouve seul face à un garde et que aucun d'entre nous peut lui venir en aide, tu ne pense pas que ça lui serait utile de pouvoir se défendre ? 
     
    Diabéla: Il n'en a pas besoin, je serais toujours là pour le protéger. 
     
    Jim: Diabé... Tu ne peux pas dire ça, tu ne peux pas savoir si tu pourra ou non le protéger tout le temps... Et tu le sais. 
     
    Diabéla: ...
     
    Sky: Je ferais attention... Je compte pas m'amusé, je sais qu'on est en guerre et que c'est pas le moment de faire n'importe quoi comme je faisait avant. Je veux juste savoir me battre comme toi, pour sauver maman, papa, et Ciel... 
     
    Diabéla: ....Tu ne fera pas l'idiot ?
     
    Sky: (secoue la tête)
     
    Diabéla: Fait moi voir comment tu lance.
     
    Sky regarde Diabéla en souriant puis se tourne vers la cible et relance une lame. Celle-ci se plante dans la jambe gauche de la cible. Tout le monde sourit et félicite Sky. "Avec un lanceur comme lui, notre équipe se renforce !" se réjouisse certains. Pendant que les autres encourage et félicite Sky, Jim est en train de taquiné Diabéla.
     
    Jim: (les bras croisés) Tu vois j'avais raison. Tu change plutôt vite d'avis... x) 
     
    Diabéla: (fronce les sourcils en souriant) C'est ça moque toi ! 
     
    AFS.Diabéla et Jim
     
    Je continue de les regardais, jusqu'à ce que quelqu'un cris "Hé ! Mais c'est Sulfus !" en me pointant du doigt. Toute les têtes se retournent vers moi avec cette même expression étonné. Mais le plus choqué c'est le petit Sky. Il est complètement figé, les yeux grand ouvert. Un silence de quelques secondes s'installe jusqu'à ce que Diabéla, s'avance au milieu de tout le monde et se pose devant moi les bras légèrement tendu pour capté l'intention de tout le monde. 
     
    Diabéla: On se calme tout le monde ! Ce n'est pas Sulfus ! Enfin si mais pas notre Sulfus de notre époque ! Lui viens du passé ! Il traverse le sentier et il est à la dernière épreuve qui consiste à l'envoyer dans le futur pour qu'il en revienne par ses propres moyens, il n'a strictement rien pour l'aider à revenir chez lui. C'est pour cela que quant la nuit va tomber je vais l'aider à rentré chez lui en retournant dans ma maison pour récupéré le collier du temps. En attendant il reste ici avec nous. Donc pas de question s'il vous plaît, je viens de tout résumé. Laissez le tranquille et aucune gaffe ni révélation sur son avenir, merci ! 
     
    Tout le monde commence à parler entre eux dans tout les sens en se questionnant puis j'entend la voix d'une fille dans mon dos prononcer "Sulfus..." je me retourne et puis là je reste sans voix devant cette personne. C'est une femme visiblement plus âgé que moi elle doit avoir la trentaine... Mais pourtant, je reconnais bien les traits de son visage... Je les est vu toute ma vie... 
     
    Sulfus: Steffi...? 
     
    .....
     
    Je suis assis sur un meuble contre un mur et je tiens une poche de glace, que je tiens appuyer sur le côté de ma bouche, que Diabéla m'a donné tout à l'heure. Steffi est assise à côté de moi, pendant que Diabéla range les flingues qu'elle a ramassé parterre tout à l'heure. 
     
    Diabéla: Je t'es amener ici, car les autres t'aurais bombardé de question! Au moins là tu es tranquille. 
     
    On est dans une pièce plutôt petite où je pense qu'ils rangent leurs armes. Diabéla continue de ranger pendant que je parle avec Steffi.
     
    Steffi: Donc là tu en est à la dernière épreuve ? 
     
    Sulfus: Ouais... 
     
    Steffi: (sourit) C'est génial. Tu va voir après ça, ta vie va changer ! 
     
    Sulfus: (regarde le sol) Ah oui ...
     
    Steffi: Qu'est ce qui se passe ? 
     
    Sulfus: C'est juste que... Ce futur me perturbe ! Cette guerre, cette situation... C'est... Si tu es là, je peux pas m'empêcher de pensé à Stef et nos parents... Où est ce qu'ils sont ?
     
    Steffi: .... Nos parents, Stefanie, ainsi que toi... Vous êtes tous là bas... 
     
    Sulfus: Quoi ?! Ils sont là bas ?... Même moi ? Mais si je suis là bas, je peux pas être humain ? Je ne peut pas être dans les cités des anges ou des démons si je suis humain. C'est impossible. Alors.. Je suis rester un démon ? 
     
    Steffi: Houla, calme toi ! Tu va trop vite !... Écoute Sulfus... Je ne peux pas te révéler ton avenir, ce serait de la folie de plus.. Où est le but d'avancer dans ta vie si tu sais déjà ce qu'il va t'arriver ? 
     
    Sulfus: Ouais.. C'est vrai que c'est... Non je veux pas savoir. 
     
    Steffi: Bien, donc tous ce que je peux te dire c'est qu'il va t'arriver beaucoup, beaucoup de chose dans ta vie ce qui fait que maintenant tu es là bas avec les autres. Et c'est surtout à la fin de cette épreuve qu'il va t'arriver énormément de chose à toi et Raf. Et... 
     
    Sulfus: Wo... Ta dit Raf ? 
     
    Steffi: Hum, oui pourquoi ? 
     
    Sulfus: C'est juste que ça fait bizarre de t'entendre dire "Raf" d'habitude quant tu me parle d'elle, ce qui est très rare tu me dit plutôt "l'ange" ou "ta meuf" ! 
     
    Steffi: Mais là tu parle de la gamine rebelle de 17ans que j'étais à l'époque ! J'avais encore jamais vu Raf de ma vie ! Maintenant Raf c'est la famille et ça fais bien longtemps que Raf fait partie de notre famille à vrai dire... Dé le premier jour que tu nous l'a présenté on l'a adorer...
     
    Sulfus: (sourit) C'est vrai...? Même papa ? 
     
    Steffi: (sourit) C'est marrant de te voir de nouveau jeune... enfin un p'tit jeune de 20ans quoi... 
     
    Sulfus: (sourit) 21ans. 
     
    Steffi: (rigole) Ok, 21 si tu veux ! x) Mais ce que je veux dire ça me fait drôle de te revoir à cet âge là, où tu était encore un peu perdu dans ta vie, que tu ne savais pas du tout ce qu'aller être ton avenir plus tard... Alors que maintenant, enfin avant que cette guerre commence tu avait enfin une vie parfaitement ranger et réussi. 
     
    Sulfus: Sérieux ? Moi et Raf on va réussir à pouvoir vivre ensemble alors ? 
     
    Steffi: Oui... (sourit) Et vous allez avoir trois magnifiques enfants...
     
    Sulfus: (étonné) Wooo... Vraiment ? 
     
    Steffi acquiesce en souriant, je replonge mon regard vers le sol en souriant, mais il reste vide. En faite... Je suis curieux d'en savoir plus... À l'écouté on dirais que je vais avoir un avenir magnifique ce qui me rend plutôt heureux même si je sais pas du tout à quoi m'attendre, j'aimerais lui demander mais d'un côté je veux pas le savoir, je préfère me laisser surprendre par l'avenir... Alors je lui demande autre chose. 
     
    Sulfus: Et toi ? 
     
    Steffi: Quoi moi ? 
     
    Sulfus: Il n'y a pas que moi qui va avoir une vie. Qu'est ce que tu deviens dans le futur avant cette guerre ?
     
    Steffi: Ah moi... Je suis marié depuis bientôt 12ans et j'ai deux enfants qui sont en train, de dormir et je ne te les présenterais pas, pour ne pas te révéler trop de chose. Désolé ! ^^
     
    Sulfus: (sourit) Non, je comprend, et t'ai plutôt heureuse de ta vie ? 
     
    Steffi: C'était parfait jusqu'à ce que la guerre arrive. 
     
    Sulfus: Tant mieux alors... Si au moins t'a eu une belle vie avant ce désastre. Mais... Il n'y a rien que je peut faire dans le passé pour vous évité cette guerre ? 
     
    Steffi: Je pense pas... Et puis ne fais rien Sulfus, tenté de changer le coure de l'histoire n'est jamais une bonne idée, car cela peut provoquer des changements peut être bien mais aussi catastrophique, même peut être effacé l'existence de personne... Tu n'y est pour rien dans cette histoire c'est comme ça, c'était notre destin de faire face à cette guerre. Je te conseille juste d'oublier tout ça quant tu retournera dans ton époque et de vivre dans ton temps sans te préoccupé du futur. 
     
    Sulfus: Ça risque d'être difficile, après tout ce que je viens de voir et d'apprendre.. J'aurais aimais pouvoir faire quelque chose...  
     
    Steffi: (observe Sulfus) ...
     
    Sulfus: Quoi ? 
     
    Steffi: Ça me fais vraiment trop bizarre de te voir jeune... Pas que tu es vieux maintenant, car étant immortel ont est plutôt bien conserver, regarde moi j'ai 36ans et j'ai l'air d'en avoir toujours 20 ! Mais ce que je veux dire c'est que ça fais bizarre de te revoir jeune et innocent comme tout les jeunes de cette planque. 
     
    Sulfus: Et à moi alors ? T'es ma petite sœur à la base et la t'es plus vielle que moi ! Ça fais vraiment bizarre...  
     
    Elle me sourit, puis d'un coup une alarme qui proviens de la pièce principale retentit, Diabéla s'arrête de ranger les armes et s'exclame "c'est pas normal ça !" en sortant de la pièce, Steffi et moi la suivons pour savoir ce qui se passe. Tout le monde s'agitent en se rapprochant des écrans sur lesquels Raphaël et un autre garçon au cheveux bleu foncé sont en train d'essayer de faire cessaient cette fameuse alarme qui proviens de là. Jim arrive à notre droite vers Diabéla en courant presque. 
     
    Jim: Qu'est ce qui se passe ? 
     
    Diabéla: Je sais pas.. (s'approche de Raphaël et l'autre garçon) Raphaël, Jake, qu'est ce qu'il se passe ? C'est quoi cette alarme ? 
     
    Raphaël: J'en est aucune idée Diabé, mais j'arrive plus à contrôlais l'ordinateur ! 
     
    Jake: J'ai l'impression qu'on nous l'a piraté... C'est pas normal ! 
     
    Soudain l'image d'une personne apparaît sur les écrans, cette personne est une femme obscure...Qui me rappel de très mauvais souvenirs. C'est Reina. C'est une vidéo qui est sur l'écran. Elle se met à parlait tout le monde reste figé à regarder cette vidéo de Reina.
     
    Reina: Chère petits immortels où que vous puissiez vous cachez, je sais que vous me voyez en ce moment même. Ce message est diffusé sur tout les appareils électroniques de toute les cités des immortels. Nous avons installé et lancé un virus informatique pour piraté tout objet électronique qui ne sont pas à nous, pour vous livrez ce message. Mais malheureusement pour nous et tant mieux pour vous, il nous est impossible de vous localisé. Mais ce n'est pas pour ça que je vous laisse ce message...
     
    Elle marque une pause. Tout le monde à les bras croisés, tourne en rond en écoutant, se ronge les ongles en fixant l'écran... Ils ont l'air terrifié de savoir ce que veux dire Reina... Reina sourit à travers son écran. 
     
    Reina: Diabéla, je sais que tu me regarde, ou alors un de tes amis te répétera ce que je vais dire. Et tu n'a pas intérêt à ignoré...
     
    Son sourire deviens maléfique... Pleins de noirceur et de mauvaise intentions... Diabéla regarde l'écran en fronçant des sourcils en gardant ses bras croisés. 
     
    Reina: Tu as était une méchante fille Diabéla. Tu as blessé une des mes troupes entière et éliminé un de mes soldats à toi toute seule. Tu mériterait une punition mais comme, je ne peux rien te faire comme tu n'est pas capturé, ce qui est vraiment dommage, je pense... Que ton frère va être punis à ta place. Oui je pense.
     
    Tout le monde reste sans voix, mais c'est surtout Diabéla qui est déstabilisé, elle s'exclame d'un "Non !" désespéré devant ce début de menace car Reina n'a pas fini de parlait. 
     
    Reina: Alors, si tu ne veux pas que ton frère prenne cher, rend toi. Tu as 12h, passé ce délai, je serais sans pitié avec ton frère à un tel point que sa mort ne sera peut être pas évitable. Réfléchis bien. 
     
    La vidéo se coupe et les ordinateurs peuvent de nouveau être utilisé normalement. Raphaël et Jake s'exclame d'un "C'est pas vrai ! " en se remettant à pianoté sur leur écran pour remettre l'ordinateur correctement en marche. Puis je pose mon regard sur Diabéla qui reste figé le regard vide, Jim s'approche d'elle en lui demandant si ça va. 
     
    Diabéla: J'ai tuer cet homme pour le protégé... Et au final c'est en le tuant que je l'ai mis en danger... (tremble) Elle va le tuer... Elle va tuer Ciel... Je... Je dois me rendre, c'est la seule chose à faire, sinon elle va le tuer... 
     
    Des larmes perlent aux bords de ses yeux. Elle s'avance vers une des portes mais plusieurs personnes l'arrête dont Jim, Steffi et une autre fille. 
     
    Steffi: Arrête Diabéla ! Tu ne dois surtout pas te rendre, c'est un piège ! 
     
    Diabéla: Elle va tuer Ciel ! Ça te fais ni chaud ni froid ? C'est comme-ci, je te dit qu'on te menace de tuer ton frère comment tu va réagir ?! 
     
    Steffi me lance un regard rapide, puis elle soupire. Cette situation avec "ma sœur" deviens de plus en plus bizarre...
     
    Steffi: Diabéla, je suis aussi inquiète que toi, tu le sais très bien. Mais tu ne peut pas te rendre, c'est une ruse ! Crystal dit lui ! 
     
    Crystal: Diabé, fait pas la con, c'est de la ruse, Reina se sert de Ciel comme appât pour t'attiré dans ses cachots ! 
     
    Diabéla: Mais je ne peux pas le laisser entre ses griffes, elle viens de clairement me menacé ! C'est la première fois que nos ordinateur sont piratés ! C'est du sérieux cette fois ! Si je ne fais rien elle va le tuer !
     
    Diabéla les pousses légèrement pour se faufilé entre elles mais cette fois-ci c'est Raphaël qui se met en travers de son chemin. Diabéla lui demande d'un ton sec de la laisser passé mais Raphaël refuse et pose ses mains sur ses épaules.
     
    Raphaël: Diabéla ressaisie toi ! Elle dit ça pour te faire peur ! Ne marche pas dans son jeu ! 
     
    Diabéla: (en criant presque) Mais il s'agit de Ciel ! Vous comprenez rien putain !! 
     
    Raphaël: Si on comprend ! Je te rappel que Ciel et mon meilleur ami ! Tout comme tu es ma meilleure amie. Vous êtes mes meilleurs amis tout les deux, alors si je te dit ça, c'est que je suis sérieux ! Elle ment, enfin réfléchi Diabéla ! Si elle tue Ciel, elle sais très bien que là jamais tu ne te rendra ! Alors que si elle le garde en vie, il y a plus de chance pour que tu vienne à elle. C'est de la ruse ! 
     
    Diabéla: ....(tremblote) Tu es sûre ...?
     
    Raphaël: J'en suis sûre, elle ne le tuera pas.
     
    Raphaël serre Diabéla dans ses bras pendant qu'elle lâche quelques larmes. Puis il me regarde moi. 
     
    Raphaël: Et il me semble que tu dois ramenais quelqu'un chez sois au lieu de te rendre. 
     
    Diabéla pose son regard sur moi en se retirant de Raphaël. Elle me sourit très légèrement et acquiesce à Raphaël. Elle essuie ses larmes avec le dos de la main puis la fille qui s'appel Crystal viens lui faire un câlin pour la réconfortée. Une fois qu'elle la relâche, Diabéla me regarde. 
     
    Diabéla: On va allez dormir et ensuite quant la nuit sera tombé on partira te ramener à ton époque. On va te donnez une chambre c'est pas ce qui nous manque avec le monde qui s'est fait attraper... 
     
    Jim: (à Diabéla) Vous partez à quel heure ? 
     
    Diabéla: Je pense vers 21h, la nuit sera largement tombé. 
     
    Jim: Ok, je viens avec vous. 
     
    Diabéla: Non tu ne viens pas avec nous. 
     
    Jim: Si je viens, il est hors de question que tu aille jusque là bas toute seule. 
     
    Diabéla: Je serais avec Sulfus. 
     
    Jim: Pour l'allée mais pas pour le retour. Je viens avec toi. 
     
    Diabéla: Non Jim tu ne viens pas. À trois on va se faire remarquer. Tu reste ici. 
     
    Jim: Non, c'est trop dangereux. Je viens avec toi. Je resterais à distance pour pas qu'on se fasse remarquer, mais je viens quant même ! 
     
    Diabéla: (commence à s'énerver) Non Jim ! C'est trop dangereux !! 
     
    Jim: (en restant calme et souriant) Pas plus dangereux que d'être amoureux de toi. Je viens avec vous. 
     
    Il s'en va sans laisser le temps à Diabéla de répondre. Cette dernière deviens rouge de colère...
     
    Fred: Ho... °u° 
     
    Diabéla: Il m'énerve ! Faut toujours qu'il a le dernier mot ! 
     
    Fred: Mais tu l'aime ! °U°
     
    Diabéla: Oui... Et tant mieux pour lui ! Sinon je lui aurait déjà mis une raclé ! (se dirige vers la cuisine) 
     
    Steffi: Bon allez donc tous vous couchez demain ça va encore être une dure journée, tu viens Sulfus, je vais te trouvais une chambre pour passé la nuit. 
     
    J'acquiesce et je suis Steffi vers une des portes. Quant elle ouvre la porte elle rentre directe, je m'engage dans l'entrée de la porte et je jette un dernier coup d'oeil dans la salle où beaucoup d'immortel s'occupe à toute sorte de chose, je vois Diabéla manger un sandwich qu'elle viens de se préparé, elle me fait un signe de la main et me demande si je veux manger quelque chose. Je lui fais signe que non "Ok, bon bah à demain alors ! Dors bien !" me dit t'elle en continuant de manger. Je passe la porte. Je continue de suivre Steffi dans un long couloir où de nombreuses portes s'y trouvent. Ça dois être toute leurs chambres ou une partie. Steffi s'arrête à une porte et l'ouvre. 
     
    Steffi: Voilà, cette chambre est vide tu peut dormir ici, personne ne te dérangera. 
     
    ..... 
     
    Je suis allongé sur le lit l'esprit ailleurs. En faite je ne trouve pas le sommeil. Trop de chose se bouscule dans ma tête. À commencer par ce futur...qui m'attend. Voir ma soeur ici, m'a vraiment perturbé. Qu'est ce qui a bien pût arriver à mes parents et Stefanie ici ? Et aussi à moi et Raf. Je ne sais même pas ce que le moi du futur est devenu. Et tout ça me perturbe. De savoir que ça va arriver et que je peux rien faire pour l'empêcher, Diabéla semble vivre un véritable calvaire avec toute les menaces que Reina lui envois et ses amis aussi. Heureusement qu'ils sont tous solidaires... Du moins c'est ce que j'ai cru comprendre. À les voir tous j'ai l'impression qu'à leurs yeux qu'ils sois anges ou démons ça n'a aucune importance. Ils son tous pareils. Des immortels qui se soutienne.
     
    Ce qui me tracasse aussi c'est Raf. Je ne sais pas du tout où elle a atterrit. Le passé c'est tout ce que je sais. Mais quant exactement ? 20ans en arrière, 100ans en arrière. Elle a peut être atterrit à l'époque des dinosaures à tout les coups. Où en pleins milieu d'une guerre comme moi, mais une vielle guerre, comme la première guerre mondial. J'ai peur qu'il lui arrive du mal. Mais je ne peux rien faire tant que je ne suis pas retournais à notre époque. Diabéla m'a dit de ne pas m'inquiétais que Raf allait s'en sortir parfaitement mais ça ne m'empêche pas de m'inquiétais pour elle. Même si elle réussi l'épreuve rien ne dit que ça sera facile et sans danger. 
     
    Je me tourne sur le côté du lit. Je regarde le mur d'en face, malgré que je suis dans le noir, je vois que le mur est gris. Il y un casier tout cabosser de couleur noir dont la peinture est abîmer. J'ai regardais dedans tout à l'heure par curiosité, il y avait des vêtements et quelques photos sur lesquelles Ciel et d'autres personnes que je ne connais pas à part quelques visages que j'ai aperçu y figure ainsi que Diabéla. Mais il y a une photo qui m'a plutôt troublé... J'ai vu une photo de Raf en noir et blanc, elle sourit d'un sourire radieux et semble tellement heureuse, elle est à côté de quelqu'un mais la photo à brûlé au niveau du visage de l'autre personne mais ça ne m'empêche pas de comprendre qui sais. Je reconnais bien les pointes de mes cheveux et puis tout le visage n'a pas disparu, je vois un de mes yeux sur cette photo. On dirait que cette photo a était sauver d'un incendie. Bizarrement j'ai pas l'impression d'avoir changer sur cette photo et Raf non plus. On dirais une photo qui a était prise quant nous avions 20ans, maintenant quoi...
     
    Je me tourne de l'autre côté du lit, j'arriverais pas à dormir. Le mur en face de moi est gris, tout comme l'autre. Il y a une porte entre-ouverte dans ce mur. C'est une salle de bain qui se trouve de l'autre côté. J'ai était voir tout à l'heure. Il y a une douche, des toilettes et un robinet avec un miroir abîmé. Comme Steffi m'avait dit que je pouvais me servir de la chambre et tout ce qui va avec, j'en est profitais pour prendre une douche. Avec tout ce qu'on a traversais dans le sentier, le chaud, le froid, la poussière, l'eau, la transpiration et le sang, une bonne douche ne se refusé pas. 
     
    Je contemple le plafond, avec toute mes pensées qui se bousculent et mélange dans ma tête en espérant trouver le sommeil.
     
    Fin de PDV de Sulfus
    ......
    PDV de Diabéla 
     
    Sky: Diabéla... Pourquoi papa est là...? 
     
    Diabéla: Ce n'est pas papa, Sky. Enfin si, c'est lui, mais pas vraiment. C'est lui quant il était jeune et qu'il traversait le sentier des métamorphoses avec maman.
     
    Je suis allongeais dans mon lit avec Sky sous la couverture. C'est plutôt un grand lit, il y a de la place au moins pour 4 personnes, si on se serre. On est tout les deux allongés sur le côté face à face. Sky à sa petite tête posé sur son oreiller la couverture lui recouvrant presque tout l'épaule. Il me regarde dans les yeux pendant que je lui explique. La lumière est éteinte mais on distingue parfaitement tout dans la chambre, ce qui rassure Sky parfois. C'est la lumière du couloir qui passe sous la porte qui fait ça. 
     
    Diabéla: Je vais le ramener chez lui, dés que la nuit sera tomber. 
     
    Sky: Tu fera attention. C'est dangereux de retourner jusque chez nous. C'est loin d'ici en plus. 
     
    Diabéla: Ne t'en fais pas, ça va bien se passé. 
     
    Il acquiesce en regardant le bord de son oreiller. Sa main gauche est posé près de sa tête sur le matelas. Je l'a lui prend, et entrelace mes doigts avec les siens. Il regarde nos deux mains liés, puis il ouvre la bouche mais la referme aussitôt. 
     
    Diabéla: (voix douce) Qu'est ce qu'il y a bébé ? Tu voulait dire quelque chose ? 
     
    Sky:... Tu... Tu crois que Reina va faire du mal à Ciel ?... Qu'elle va le... tué...? 
     
    Diabéla: Je ne sais pas. Mais tout le monde dit, qu'elle a dit ça, pour nous faire peur.. On devrais peut être les écoutés. Et puis, ils n'ont pas tord. Reina sait très bien que si elle a le malheur de tuer notre frère, jamais on ne se rendra et on sera encore plus dur à éliminé. Je pense qu'elle le sais très bien et qu'elle va laisser Ciel tranquille. Je l'espère... 
     
    Il hoche la tête le regard perdu. Je sais ce qu'il a. Le fait d'avoir revu Sulfus, lui a donné le cafard. Nos parents lui manque et Ciel aussi. Il s'inquiète pour eux. Ce n'est plus un bébé, il est en âge de comprendre ce qui se passe et la gravité de la situation. Mais il reste pourtant si jeune pour être confronté à un tel chaos... Je passe mon autre main dans ses cheveux et je lui embrasse le front.
     
    Diabéla: Dort maintenant mon amour. 
     
    Il hoche encore la tête et blottie sa tête contre son oreiller et ferme ses yeux. Je le regarde s'endormir. Il est le dernier qu'il me reste dans ma famille. Mon petit frère... Si il lui arriverait quelque chose, je ne m'en remettrais pas. Et je ne peux pas lui causé la douleur d'être le dernier lui aussi. C'est pour ça, que je vais devoir être prudente quant je vais ramener Sulfus. Je ne peux pas me permette de me faire attrapé et que Sky se retrouve seul. Il ne sera pas seul, mes amis sont là et même ma tante Steffi, mais ça ne sera pas pareil pour lui. Il a besoin de moi. 
     
    Au bout d'une vingtaines de minutes il s'endort avec sa main toujours dans la mienne. Je reste fixé sur lui jusqu'à ce que j'entende des pas se rapprochés de la porte. Je lève la tête et j'aperçois une ombre au pas de la porte. La poignet tourne sur elle même, puis la porte s'ouvre. Je vois Jim s'engageait dans l'entrée. "Salut.." chuchote t'il en refermant la porte derrière lui. Je lui sourit en répondant pour un simple "Salut".  Il s'avance dans la chambre et va s'allonger sur le canapé juste à côté de mon lit. Il y a, à peine 1 mètre d'écart entre le lit et le canapé. Il dépose sa mitraillette au pied du canapé, c'est devenu un réflexe chez nous: On ne s'endort jamais sans une arme à porté de main. J'ai moi même mon pistolet sous mon oreiller...
     
    Jim: Ça va, toi ? 
     
    Diabéla: Normal... Et toi ? 
     
    Jim: Ça peut aller. 
     
    Je le regarde s'installer confortablement dans le canapé pour dormir, il me regarde aussi. Depuis que ma mère c'est fait attrapé, Jim viens dormir tout les soirs dans ma chambre, comme je me retrouve seule avec Sky. Il m'a dit que c'était pour nous protéger au cas où qu'on se ferais attaquer. Je me demande, si il ne commence pas à en avoir marre de dormir sur le canapé. En faite il n'a jamais essayer de s'incrusté dans le lit avec moi et Sky. Jim est comme ça, il a un certain niveau de distance, il est plutôt respectueux pour les filles. Pourtant lui et moi, on a plus rien à se caché... Mais c'est ce que j'aime chez lui, il a toujours était un peu plus timide et réservé que moi. Mais ça ne fais pas de lui un "lozer" ou un "ringard" comme penserai certains. Bien au contraire, il est aussi sûre de lui et n'a peur de rien, c'est un gentlemen, un protecteur et un charmeur. Mon charmeur. Je le regarde en souriant. 
     
    Diabéla: T'en a pas marre de dormir sur ce vieux canapé ? 
     
    Jim: (sourit) Non, ça va, il est confortable. Et puis je préfère dormir sur ce vieux canapé que de vous laissez seuls tout les deux et qu'on se fasse attaquer. 
     
    Diabéla: Oui. Mais tu sais... On ne t'a jamais obligé à dormir sur le canapé et jamais interdit à dormir dans le lit. 
     
    Jim: Dois-je comprendre que c'est une invitation ? 
     
    Diabéla: Peut être même une obligation. 
     
    Il se met à sourire et se redresse sur le canapé pour me rejoindre. Je lui fais une place en me rapprochant de Sky qui dort profondément. Il se glisse sous la couverture près de moi, et enroule son bras droit autour de ma taille et se colle à moi, son corps est tout chaud. Et ça me rassure. Je me tourne face à lui et pose ma main gauche sur sa joue et la descend doucement jusque sur son cou. Puis je le regarde dans les yeux. 
     
    Diabéla: Tu es vraiment sûre de vouloir venir demain...? 
     
    Jim: Oui, je ne veux pas te laisser aller dans ces quartiers toute seule, c'est trop loin d'ici, il pourrai t'arriver n'importe quoi. C'est trop dangereux. 
     
    Diabéla: Ok... 
     
    Je le regarde, sans vraiment le regarder. Je fixe ses lèvres en mordant la mienne, j'ai qu'une envie, c'est de l'embrassé et oublier tout mes problèmes pendant quelques instants. Je pense qu'il a compris mon envie et qu'il veut aussi, car lui aussi se mord la lèvre, et approche son visage du mien. Son front touche le mien et ses lèvres caresse les miennes. Puis nos deux bouches se joignent pour un baiser tendre et passionné à la fois. Je ne sais pas pendant combien de temps nous nous sommes embrassé, mais quelque sois le temps, c'était magique. On se regarde en souriant en reprenons un peu notre souffle après ce long baiser. Jim rapproche sa bouche de mon oreille et me souffle "Je t'aime..." en me papouillant les cheveux, ce que j'adore et qui me fais frissonné. "Moi aussi, je t'aime..." lui chuchotais-je. Il sourit et s'apprête à m'embrassé de nouveau quant on entend "Non, mais j'y crois pas !" Jim regarde derrière moi et moi je me tourne pour regarder que Sky est réveiller et nous regarde. 
     
    Diabéla: Sky ? °u°
     
    Jim: Il était pas sensé dormir ? °u° 
     
    Sky: Alors tu profite de mon sommeil, pour non seulement t'incrusté dans mon lit, mais en plus, tu te permet de pecho ma sœur et par dessus le marché juste à côté de moi ?! Non mais je rêve ! 
     
    Jim: .... °u°' Mais non Sky, j'embrasse ta sœur parce que je l'aime, mais rien de plus. Je ne suis pas fou. Je savais que tu était là.
     
    Sky: (méfiant) Ouais, ouais, je sais très bien à quoi tu pensait, espèce de pervers obsédé, je suis un garçon je sais très bien à quoi on pense en présence de jolie fille comme ma sœur. 
     
    Diabéla: Non mais c'est à mon tour de rêver là. -_- Tu as 11ans et tu te prend déjà pour un homme ? 
     
    Sky: Mais Diabéla, qu'est ce que tu crois ? J'ai déjà pecho pleins, de filles ! (sourire vicieux) 
     
    Diabéla: Alors laisse Jim tranquille espèce de pervers toi même ! 
     
    Sky: Ça passe pour cette fois. Mais je ne veux plus vous voir vous bécoté sous mon nez pendant que je dort ! 
     
    Diabéla et Jim: Promis. 
     
    On ris, puis on se rallonge bien confortablement pour dormir tout les trois. Demain va être une dur journée et je doit y être préparé. Je n'ai pas le droit à l'erreur aussi bien pour nous que pour le passé de mes parents. Sulfus doit absolument rentrée chez lui. 
     
    Fin de PDV de Diabéla. 
     
    .... 
     
    PDV de Sulfus
     
    Je me réveille d'un bond. On viens de frappé à la porte de la chambre. Je me redresse les yeux encore à moitié fermé et je lance "Ouais ?" la porte s'ouvre et la lumière du couloir me fait plissé des yeux. Je vois Diabéla et Jim dans le cadre de la porte. 
     
    Diabéla: Bien dormis ? 
     
    Sulfus: Ouais, sa va. 
     
    Diabéla: Bien, bon tu te lève, on va y allez. 
     
    Sulfus: Ok. 
     
    Je me lève, et me dirige vers eux en me frottant les yeux. Diabéla et Jim quitte le cadre de la porte pour marcher dans le couloir. Je regarde une dernière fois la chambre pleine de souvenir et mystère dans laquelle, je viens de dormir et je la laisse derrière moi en suivant Jim et Diabéla. 
     
    ....
     
    Jim: Tiens, même si tu n'a jamais touché à une arme de ta vie, tu pourra te défendre juste au cas où. C'est les flingues les plus simple à utilisé. 
     
    Je regarde le flingue que Jim viens de me donné, et le fait de tenir cette arme me rappel la sensation que j'avais eu quant le chef du gang que je faisait partis quant j'avais 15ans m'avait donné. J'aime pas ces objets là. Ils servent à des tarés pour tuer des gens facilement sans aucune pitié, mais dans le cas de Diabéla et les autres, c'est pour leur survis donc je le prend avec moins de dégoût. 
     
    Diabéla: On est armé, munitions prête, couteaux en cas de dernier recourt, toki woki chargé à bloque ! Je pense qu'on est prêt ! 
     
    Jim: Alors en route ! 
     
    On sort de la salle d'armement, pour se dirigé vers la porte de sortie. En arrivant près de cette porte, on remarque Steffi, adossé au mur les bras croisés. Elle me sourit légèrement et s'approche de nous trois. Elle rabat en arrière les quelques cheveux rebelles qu'elle a sur le front, comme elle le fait tout le temps. 
     
    Steffi: S'ayez, vous partez. 
     
    Diabéla: Oui, on a pas une minute à perdre. 
     
    Steffi acquiesce et s'approche de moi et me prend dans ses bras, je lui rend son étreinte même si elle appartient au futur, ça reste ma sœur. "Tu dira à la Steffi du passé, d'apprendre à fermé sa gueule et de regarder à quel point elle a une famille merveilleuse." me dit-elle en me relâchant. Même si j'ai pas tout suivis, je hoche la tête et on s'approche de la porte. Jim l'ouvre et on s'engage dans la sortie. Je regarde derrière moi une dernière fois ma soeur seule et séparé de sa famille dans ce futur affreux. 
     
    Steffi: Bonne chance. 
     
    La porte se referme et elle disparaît derrière elle. 
     
    ....
     
    Ça fais déjà presque 2h qu'on marche dans la ville déserte et sombre. On longe les murs, les ruelles et on tache de rester le plus possible dans l'obscurité pour ne pas se faire repéré. Je suis derrière Diabéla, Jim lui reste à distance en nous suivant, mais c'est comme si il était avec nous grâce aux toki woki. Ainsi, si lui ou nous remarquons quelques chose d'étrange ou de dangereux on peux se prévenir. 
     
    On continue de traversé les rues de cette ville complètement vide et abandonné, sans aucune présence de vie à par nous. Diabéla m'empêche d'avancer d'un coup et m'oblige à m'allonger à plat ventre parterre. Nous sommes derrière une benne à ordure et je vois des phares éclairés la route de l'autre côté de la benne. C'est un des camions des troupes de Reina, je le reconnais, c'est le même que celui d'hier. 
     
    Diabéla: Jim fait attention, Reina à du envoyer le double des équipes de nuit de celles de d'habitude. 
     
    Jim: Bien reçu. 
     
    Une fois que le camion s'éloigne assez de nous on se remet en route. On doit faire extrêmement attention, ça grouille de garde dans la ville. C'est déjà le sixième camions qu'on vois...Diabéla contourne la benne et s'engage dans une nouvelle ruelle.
     
     Une heure plus tard on arrive vers une grande place. En face de nous au bout de la place un immense immeuble reigne avec un grand écran accrocher dessus. Ça devait être un immense panneau publicitaire électronique. Diabéla semble connaître les lieux par cœur, car elle ne cherche pas du tout à savoir où elle se trouve, elle courre jusqu'au pied d'un immeuble pour le longé. Une fois que j'arrive vers elle, elle s'arrête d'avancer et elle porte son toki woki à son visage. 
     
    Diabéla: R.A.S de notre côté, et toi ? 
     
    Jim: Rien à signalé, non plus. 
     
    Diabéla: Ta position ? 
     
    Jim: Je suis en haut de l'immeuble à gauche de celui devant lequel tu te trouve.
     
    Diabéla lève la tête vers l'immeuble d'à gauche et aperçois Jim en tout petit tout en haut. Je me demande comment il est arrivé là haut si vite et pourquoi faire. Après que Diabéla met fin à leur discutions sur leurs positions, je lui pose la question. 
     
    Diabéla: C'est grâce à nos grappins, c'est super pratique et rapide, certe on ressemble à Batman en se servant de ses machins, mais bon... Et il est là haut pour nous couvrir, en tant que sniper. 
     
    Sulfus: Ah d'accord, je comprend mieux. 
     
    D'un coup alors que ce ne devrai plus fonctionné l'écran sur le grand immeuble d'en face s'allume. Diabéla et moi relevons la tête vers l'immeuble pour regarder ce qui se passe. L'écran et blanc mais plusieurs couleurs apparaissent et cela deviens de plus en plus sombre. J'ai l'impression qu'une image veut apparaître mais elle est brouillée l'écran à du mal à la rendre net. Puis d'un seule coup l'image devient enfin net et de bonne qualité, mais l'image de Reina apparaît sur l'écran. Tout autour d'elle c'est l'obscurité total. Elle sourit encore avec se sourire malfaisant... Diabéla se fige devant cette image. Ce n'est pas une simple image c'est encore une vidéo.
     
    Reina: Bonsoir à tous. Comme vous pouvez le voir c'est encore moi, avec le même piratage d'il y a quelques heures. Ça doit faire pas très loin de 20h que j'ai communiquer avec vous mes chères petits immortels. Mais cette fois-ci, je ne suis pas là pour seulement vous parlez ou vous menacez... 
     
    Elle fait une pause, pour nous laissez le temps d'enregistrer chaque parole de ses phrases, puis elle reprend tout en souriant. 
     
    Reina: Diabéla, je sais que tu me regarde et que tu tremble à chacune de mes paroles. Mais je t'avais prévenu. Tu n'en a encore fait qu'à ta tête. Tu es tellement décevante pour ton pauvre frère. Je m'attendais à quelque chose de ta part, mais rien. J'ai eu tout le temps qu'il me fallait pour le torturé. Mais ne pleure pas, il n'est pas mort, pas encore.... (diabolique) Tu veux le voir ? 
     
    Reina insiste bien sur sa dernière phrase en prononçant les mots en articulant sur un ton sadique. Qu'est ce que sa cache encore ?... Diabélà, est figé devant l'écran et tremble légèrement. Elle est terrifié. Reina sourit à travers son écran et se décale sur le côté pour nous faire découvrir un jeune garçon au cheveux blond, agenouillait au sol, les mains ligotés, visiblement blessé. Il est dans un sale état mais je le reconnais, c'est Ciel. Diabéla rate une inspiration en découvrant son frère dans cette état et tout son corps reste figé et tremble comme une feuille. Son arme lui glisse des mains est tombe au sol d'un bruit sourd. Elle n'est plus capable de rien elle est comme paralysé face à cette image.
     
    Reina reste sur le côté de l'écran à sourire et elle commence à décrire ce qu'elle a fait subir à Ciel. Mais je ne l'écoute pas, je regarde le sol en essayant de respiré correctement. Bizarrement le voir dans cette état me choque presque autant que Diabéla. Je ressent quelque chose de bizarre au fond de moi. C'est inexplicable... 
     
    Je relève mon regard vers l'écran pour regarder Ciel. Il est en train de toussé et du sang apparaît sur ses lèvres, il crache du sang. Ses yeux sont fermé et du sang coule à plusieurs endroits sur son visage et surtout en dessous de son œil droit. Il est à genoux et ses deux mains sont lié par une corde accroché au plafond: Ses bras sont relevés vers le haut, il ne peut donc pas se défendre. Visiblement la corde semble beaucoup trop serré autour de ses poignets car du sang coule aux extrémités de la corde enroulé autour des poignets et coule sur presque tout le long de ses bras. La douleur doit être atroce, sa peau doit être à vif, ses veines sont peut être même coupé à cause de cette corde, ça expliquerai pourquoi il saigne autant. 
     
    Il a était roué de coups: son corps est couvert de bleu et il tremble légèrement par moment. Il a était coupé et entaillé peut être même griffé à sang, sur plusieurs endroits de son corps. Je remarque surtout une grosse entaille qui traverse le haut de son torse de travers, elle a l'aire profonde et le sang coule à grosse gouttes. Ça me rappel les entailles que m'avait faite Raf sur le torse quant elle était transformé en démon/vampire et Ciel à exactement la même chose mais en une seule fois... 
     
    À la force que Reina parle de ce qu'elle lui a fait, elle fini par se tournait vers Ciel et lui dit "Tu ne veux pas leur dire bonjour, ou juste leur dire à quel point tu souffre ?" d'une voix moqueuse. Ciel lève doucement la tête avec beaucoup de mal et il ouvre ses yeux. Et je grimace encore plus pendant Diabéla respire de façon saccadé. L'oeil droit de Ciel est en sang. Son œil est injecté de sang, sur les extrémités du blanc des yeux, son iris aussi baigne dans le sang ce qui fait ressortir la couleur rouge sur le bleu ciel de son iris. Et tout le sang coule de sa paupière inférieur vers le bas de son visage, ses cernes sont complètement recouverte par le sang. Comment ils ont fait pour lui faire ça ?! Même avec quelques bons coups de poings, on ne peut pas avoir un œil dans cet état là... Ils lui ont fait quelque chose de bien plus pire... Le regard de Ciel est épuisé ça ce vois, je sais pas depuis conbien de temps il est attaché de cette façon mais ça doit faire un moment. 
     
    AFS.Ciel torturé
     
    Reina: Bien, maintenant que je vous est montré son état, il est temps pour moi d'en finir...
     
    Reina prend un pistolet qui est posé sur une table noire, proche d'elle et s'approche de Ciel. Je sens mon rytme cardiaque s'accéléré, elle ne va pas faire ça ?! Diabéla respire de plus en plus fort et les larmes lui éclate des yeux. Reina saisie Ciel par les cheveux et lui relève la tête, elle braque son pistolet sur sa tempe droite pas loin de son œil blessé. Ciel rouvre ses yeux sur le moment puis les refermes par la fatigue. 
     
    Reina: Diabéla, comme tu as tuer un de mes soldats, je pense qu'il est temps que je marque un point de mon côté pour qu'on sois à égalité. Ce point ça sera Ciel, c'est une bonne idée, tu ne pense pas ?
     
    Diabéla est en larme et lâche un "non" désespéré. Ses mains son devant sa bouche et elle pleure de plus en plus en réalisant que Reina est sur le point de tuer son frère sous ses yeux. Reina appuie le flingue contre la tempe de Ciel. Ce dernier doit réalisé lui aussi qu'il va mourir car il tremble et son visage grimace: il se renfrogne et il pince les lèvres, les yeux fermés. Reina resserre ses doigts autour de la gâchette et là elle retire le flingue de la tête de Ciel en ricanant. En voyant ça il reprend une grande inspiration et relâche sa tête vers le bas. Il s'était carrément arrêter de respiré par le stresse et la peur qu'elle le tue...
     
    Reina: (en riant) Je parie, que tu es en train de pleurer comme une gamine de 5ans ! Tu y a vraiment cru, je parie et tout les autres aussi. (à Ciel) Même toi, tu croyait que j'allais le faire. Mais non. (en tournant autour de Ciel) En faite j'ai encore besoin de toi. 
     
    Elle tourne autour de Ciel lentement et gracieusement comme un prédateur autour de sa proie. Ciel tremble de tout son corps et sa respiration est saccadé. Il est impuissant et Reina peut faire ce qu'elle veut de lui. Elle passe une main dans le dos de Ciel et la fait glissé en marchant autour de lui, à ce contacte il se tend en gémissant. Quant Reina retire sa main de son dos, du sang s'y trouve... Elle se tourne vers l'écran.
     
    Reina: Comme je te l'ai expliquer tout à l'heure, ton frère s'est pris de nombreux coups de fouets qui lui ont mis le dos à sang. C'est pas très beau à voir. Mais toute ses blessures sont des blessures guérissables qui n'aura aucune trace une fois guéris. Mais si tu t'obstine à ne pas vouloir te rendre, cette fois-ci ses blessures pourrons avoir des impacts plus grave sur sa vie plus tard. Et je ne ment pas. Je peux lui faire subir bien pire que ça ! Et si le torturé ne suffit pas, il mourra et après ce sera au tour de tes parents. J'espère que tu m'a bien comprise.  
     
    Elle se tourne vers Ciel, "Allez c'est fini, pour l'instant, détachez-le." ordonna t'elle à des gardes. Deux d'entre eux s'approche du pauvre Ciel et coupe la corde au dessus de lui d'un coup de couteau. Il s'écroule au sol, le corps vidé de toute énergie. Malgré qu'il est détaché du plafond ses deux mains sont encore attachés, mais un des gardes s'occupe aussitôt de les retirés. Puis ils laissent Ciel au sol et attendent les ordres de Reina. Celle-ci ne s'occupe même pas de Ciel qui pourrait paraître pour mort sur le sol et regarde de nouveau l'écran. 
     
    Reina: En tout cas tu as un frère courageux il n'avait cas nous révélé votre cachette pour qu'on arrête de le torturé. Il a préféré souffrir que de nous le dire. Il n'a même pas lâcher un seul indice. Il n'a vraiment pas peur de se faire démolir la gueule. Ciel, tu veux dire quelque à ta soeur ou à tes amis, si des fois ce serait la dernière fois qu'ils te vois en vie ? 
     
    La caméra fais un zoom sur le visage ensanglanté de Ciel. Il a la partie gauche de son visage collé au sol et respire avec peine tout en tremblant. Il ouvre à moitié ses yeux dont celui qui est en sang... Il ouvre la bouche et prononce d'une voix étouffé "Diabéla... Ne les écoutes pas... Ne..ne te rend surtout pas..." Reina s'esclaffe comme-ci ce qu'il venait de dire était ridicule... Mais il ne cherche qu'à protéger sa sœur en lui disant de ne pas se rendre. 
     
    Il se tait un moment puis sans bouger il regarde un peu partout rapidement et d'une façon craintif comme si on aller le frappé si il parlait... Comme-ci il voulait nous dire quelque chose mais qu'il risqué gros... Il inspire toujours collé au sol puis il ouvre la bouche mais la referme aussitôt. Puis il expire et là il parle:
     
    Ciel: Façade nord, section 9, allée 38, code 1078R4..... (d'une voix basse et étouffé) S. 
     
    Quant Ciel prononça la lettre "S" il montra 4 doigts discrètement avec sa main puis la reposa le plus discrètement possible pour ne pas que ses ennemis le voient faire ce signe... Mais bien sûre les gardes l'avaient entendus répété la série d'information et s'étaient précipité vers lui sous les ordres de Reina pour le faire taire. Comme il devait le craindre Reina ordonne aux gardes de le frappé avec leurs matraques puis ils le saisissent par les épaules pour le mettre debout. Reina s'approche de lui l'aire furieuse et lui décolle une violante gifle qui lui fait tourner la tête sur le côté. 
     
    Reina: Alors là, je peut te dire que pour ce que tu viens de faire tu va passer un sale quart d'heure ! (aux gardes) Ramenez le à sa cellule j'ai hâte de voir la tête de ses parents quant ils le verrons. Mais avant je dois arranger le problème qu'il viens de crée.
     
    Les gardes traînent Ciel jusqu'à la sortie puis Reina regarde de nouveau l'écran "Rend-toi ou ça va très mal se passé pour ton frère" dit-elle d'un ton frustré. La vidéo se coupe. Il me faut un moment pour encaisser ce que je viens de voir. Diabéla reste silencieuse en sanglotant le regard vide et elle se laisse glisser contre le mur derrière elle jusqu'à ce qu'elle sois entièrement assise parterre replié sur elle même en pleurant. Elle est encore sous le choque des images qu'elle viens de voir... Et c'est normal... Même moi ça ma remuer l'estomac de voir tout ça. La voix de Jim retentit du toki wiki de Diabéla, "heu...Diabéla...Ça va ?..." dit-il doucement. Diabéla sanglote toujours en essayant de se calmé. Elle a le côté gauche de son visage contre le mur et elle essuie ses larmes d'une main tout en tremblant. 
     
    Diabéla: Je vais la tuer, Jim... Je vais la tuer. Elle et tout ceux qui aurons participé à torturé Ciel. (d'une voix pleine de haine) Ils vont tous crevés ! 
     
    Jim: Diabé...
     
    Diabéla: Non Jim, ne dit rien. Je comptais faire les choses bien, juste les arrêtaient et les jeter en prison, mais là non. Je vais faire les choses correctement : Elle va mourir. C'est moi qui la tuerais de mes propres mains ! Elle n'avait pas le droit de faire ça...(tremble) Elle n'avait pas le droit de le toucher ! (re éclate en sanglot) Tu as vu son œil...? (tremble encore plus) Qu'est ce qu'elle lui a fait à son œil ?... Elle n'avait pas le droit de lui faire des horreurs pareils et de l'attacher comme ça... Elle n'avait pas le droit !! Et encore moins le droit de se servir de son allergie pour le faire souffrir et l'affaiblir... 
     
    Sulfus: Son allergie ? 
     
    Elle relève la tête vers moi pour me regarder, les yeux rouges et gonflés, brillant de larmes.
     
    Diabéla: Tu n'a pas entendu ? Elle lui a injecté de l'eau bénite dans le corps, c'est pour ça qu'il craché du sang, elle venait juste de lui en injecté, elle l'a dit au tout début. Ciel est allergique à l'eau bénite. 
     
    Sulfus: Il est allergique ?! Mais c'est un ange ! Il peut pas être allergique à ça ? 
     
    Diabéla: Si, quant nous étions encore dans le ventre de notre mère quelques unes de nos gènes de démons et d'anges se sont échangés, c'est pour ça qu'on est pas comme tout les anges et démons normaux. Ciel craint l'eau bénite, alors que moi ça ne me fait strictement rien... Et Reina lui en a injecté, non seulement pour le faire souffrir mais en plus c'est que ça aurait pût vraiment être dangereux pour lui, il ne réagis pas toujours pareil à l'eau bénite des fois c'est pas trop grave et des fois il est à deux doigts de mourir. Parce que c'est une allergie, c'est pas comme les démons: Ça les affaiblis et les fait souffrir et à très grande dose les tue, mais Ciel c'est différent il est allergique. Lui il peut en mourir par une simple dose. Comme quant t'ai allergique à un aliment et que tu en mange alors qu'il ne fallait pas...
     
    Sulfus: ....Elle est complètement folle..
     
    Diabéla: (fronce les sourcils) Et sans pitié... Elle savait très bien que c'était risqué qu'il aurait pût en mourir tout de suite... Surtout qu'elle ne doit pas avoir de soin médicaux à par ses engins de torture... Elle n'aurait même pas pût intervenir et lui donné un traitement contre son allergie.... Quelle garce... J'vais la tuer !! 
     
    Elle ramasse son arme et se lève rapidement d'une façon agressif comme elle aller buté la première personne qu'elle croise. 
     
    Jim: Diabéla calme toi, on doit d'abord ramenais Sulfus chez lui. Garde ton calme. 
     
    Diabéla pousse un juron et frappe le mur avec son poing comme pour évacuer toute sa rage. Son poing saigne tellement elle a tapé fort contre le mur et c'est comme si elle n'avait rien sentit... Puis là elle répond à Jim dans son toki woki en regardant le haut de l'immeuble sur lequel il se trouve comme s'ils étaient face à face.
     
    Diabéla: Mais bordel ! Vous me fatiguer tous !! Je sais que je dois ramener Sulfus, j'ai pas perdu la tête à ce point là ! Mais comment vous pouvez tous être aussi indifférèrent en sachant et en voyant maintenant que Ciel se fait défoncé pendant qu'on se cache comme des mauviettes dans les égouts ! Ça me met hors de moi, je peux plus supporter cette situation !! Je veux sauver mon frère ! Je veux sauver mes parents ! Je veux sauver ma famille ! Je veux tous les revoir en vie !! 
     
    Elle jette son flingue parterre ainsi que le toki woki et elle plaque ses deux mains contre son visage et elle prend de grande respirations, elle est complètement à fleur de peau.
     
    Jim: Diabéla. Tu sais très bien que personne ne s'en fou de ce qui se passe. Je te rappel que beaucoup de monde aime ton frère. Et ton frère c'est devenu un frère pour moi tu le sais ? 
     
    Diabéla: Oui... 
     
    Jim: Et je suis prêt à tout pour le sortir de là, mais le problème c'est qu'on ne peux pas faire n'importe quoi, une chance, on en aura qu'une pour les battre et sauver tout le monde. On dois bien tout prévoir et organisé pour ne leur laissé aucune chance de nous arrêté. Mais ton frère nous a ouvert une porte: La série d'information qu'il a citait tout à l'heure.
     
    Diabéla: (reprend le toki woki) Qu'est ce que ça peut être à ton avis ? 
     
    Jim: Un passage pour s'infiltré. 
     
    Diabéla: Et quant il a dit "S" et qu'il a montré 4 doigts ? 
     
    Jim: Je sais pas, mais je suis sûre que Jake et Raphaël trouverons. Ils ont sûrement dû voir la vidéo eux aussi. 
     
    Diabéla: J'espère que Sky n'a pas vu ça... 
     
    Jim: J'espère... 
     
    Diabéla: (ramasse son flingue) Perdons pas de temps, remettons nous en route... 
     
    .....
     
    Il pleut. Rien de très violant une simple brume. Et nous avons marcher à travers la ville pendant plus de 3h après le message de Reina. Nous avons aperçut quelques véhicules de patrouille pendant notre chemin, mais aucun ne nous a repéré. Nous sommes arrivé dans un petit quartier plutôt calme et agréable, enfin... Ça devait être la sensation qu'on avait en venant ici avant cette guerre. Jim nous a rejoins en arrivant dans le quartier, il n'y a pas d'immeuble et nous suivre de loin serait inutile par ici. On tourne à droite à l'angle d'une rue et on arrive dans une longue rue où derrière les maisons du coté gauche de la route un début de forêt est présent. Toute les maisons ont l'aires plutôt grandes et spacieuses avec de beaux jardins et cette petite forêt derrière rend le décor magnifique. Enfin c'est encore l'image que je me fais de ces lieux avant qu'ils ne sois ravagés par la guerre. 
     
    Diabéla: Ça me fais bizarre de revenir ici. Et aussi mal...
     
    Jim: Je sais...
     
    Ils s'arrête devant une maison: grande, de couleur blanche avec un toit noire. Une très belle maison, mais abîmé: les fenêtres son brisés, les marches devant l'entrée sont presque toute cassé, la pelouse est desséché pleine de mauvaises herbes et la grande porte métallique du garage à moitié relevé, est pleine d'impact de balle comme-ci on avait tiré dessus avec une mitraillette. Diabéla se tourne vers moi et Jim.
     
    Diabéla: Bon, Sulfus et moi on rentre dedans je récupère le collier du temps et après on sort et j'active le collier pour faire rentré Sulfus, pendant ce temps Jim tu te planque dans un jardin aux alentours et tu surveille que personne n'arrive.
     
    Jim: Ça marche, à tout de suite.
     
    Il s'éloigne de nous et de la maison pour se mettre en position. Quant à Diabéla elle se tourne vers la maison et inspire profondément. Puis elle s'avance pour monté les marches puis franchi la porte d'entrée. 
     
    Dans la maison tout est en désordre et pas mal de chose sont cassé. Il fait sombre mais la lune éclair un peu la pièce par les fenêtres. J'ai l'impression que cette pièce c'est la cuisine la salle à manger et le salon tout ensemble. C'est grand et spacieux la maison parfaite pour y vivre. Je regarde Diabéla qui regarde tout ce qui l'entoure en marchant d'un aire absent. Ça maison doit lui faire remonté pleins de souvenirs avec Ciel et sa famille... D'un coup je la vois prendre un cadre photo et le jeter parterre. 
     
    Sulfus: Pourquoi tu...
     
    Diabéla: Ne regarde pas ce cadre stp, c'est tout ce que j'ai à dire. 
     
    Je préfère ne pas la contrarié, sa soirée à était assez pénible comme ça. Elle monte des marches qui se trouve vers sa droite et je la suis. Arrivé en haut, elle rentre dans une pièce et me demande de l'attendre ici. Elle referme la porte et je me retrouve seul sur le pallié du première étage. Je regarde les murs et je vois un cadre photo avec une photo d'elle et de ses deux frères. Ils sont dans une piscine gonflable dans leur jardin, elle et Ciel sont cote à cote et ils porte tout les deux Sky qui essaye de faire une sorte de figure acrobatique, ils sont tout les trois mort de rire. Je reste un moment à regarder cette photo en imaginant leur vie avant cette guerre, puis Diabéla ouvre la porte et ressort de la pièce. 
     
    Diabéla: C'est bon je l'ai ! 
     
    Je vois le collier du temps dans sa main, la seule chose qui peut me ramener chez moi. Son toki woki s'allume et la voix de Jim en sort.
     
    Jim: Diabéla tu me reçois ?! 
     
    Diabéla: Oui, c'est bon, je l'ai, on descend tout de suite ! 
     
    Jim: Non Diabé ! Des patrouilles arrivent ils nous on repéré par des caméras qui sont dans le quartier ! Renvois Sulfus chez lui et sort de là ! Ils arrivent ! Il sont au bout de la rue ! 
     
    D'un coup on perd la communication avec Jim et plusieurs coups de feu se font entendre. Diabéla se fige encore une fois puis elle sort son flingue de sa ceinture. Un énorme fracas se fait entendre au ré-de-chaussé quelqu'un viens de défoncé la porte d'entrée. Pleins de bruit de pat se font entendre. "Ils sont trop nombreux. Et on a pas de temps pour activé le collier." dit-elle en se jetant à terre et en ouvrant une trappe dans le mur. "Rentre là dedans ! Vite!" m'ordonne t'elle à voix basse. La trappe à une forme carré et elle est très étroite mais je peut passé dedans quant même. Alors je le fais car Diabéla sait ce qu'elle fait. Je rentre dedans et elle me suis et referme la trappe derrière elle. On est à l'étroit là-dedans et on est obligé de resté allongé, une personne claustrophobe serait en pleine panique ici. La trappe à une petite grille pour laisser passé l'air ce qui nous donne un peu de lumière. 
     
    Les bruits de pas montent les escaliers. J'aperçois pleins de pieds passé devant la trappe à travers la grille. Ils nous cherchent. Diabéla est à côté de moi et elle respire de façon saccadé et elle tremble sous la peur et l'adrénaline et je me rend compte que moi aussi je tremble: mes mains tremblent et j'ai le cœur qui bat à cent à l'heure. Les personnes qui nous cherche balancent "Ils ne sont pas là, ils ont du s'échappé par une des fenêtres !" d'un tons énervé. Ils redescendent les escaliers et Diabéla se dépêche de ressortir de la trappe sans faire de bruit. Je la suis, en essayant d'être le plus discret possible. 
     
    Diabéla: C'est bon je te renvois maintenant. 
     
    Sulfus: Attend, Diabéla, non ! Je part pas d'ici temps que je suis pas sûre que tu sois en sécurité avec Jim. 
     
    Diabéla: T'occupe pas de moi, on a plus le temps pour la "cérémonie d'au revoir" faut que tu te tire d'ici ! 
     
    Elle commence à activé le collier et pendant qu'elle le fait son toki woki se rallume et Jim reparle de nouveau en panique. 
     
    Jim: Diabéla ! Dépêche toi ! Ils ont encerclé la maison et des soldats de niveau 1 vienne de rentraient ! Ils vont fouiller toute la maison pour te retrouver dépêche toi ! 
     
    Diabéla viens juste de faire apparaître le portail pour me faire rentré. Il a des nuances de couleur bleu, mauve et blanche qui se mélangent lentement. "Allez vas-y ! Avant qu'il ne sois trop tard." me lance t'elle en rechargeant son flingue. Mais je refuse, pas temps qu'elle ne sera pas sortie de cette maison. Et je lui dit. 
     
    Diabéla: C'est de la folie ! Rentre dans ce foutu portail Sulfus ! Et garde le flingue qu'on t'a donné, tu en aura... (dans sa tête) *Ne jamais tenté de changer le cours de l'histoire...* 
     
    Suflus: Quoi ? 
     
    Des bruits de verres brisés et d'objets projetés au sol, retentissent et Diabéla me regarde dans les yeux et me prend le flingue des mains. 
     
    Diabéla: Oublie ce que je viens de dire ! Rentre dépêche toi ! 
     
    Sulfus: Non, je t'aide à sortir de là et après j'y vais ! 
     
    Diabéla: Sulfus, rentre là dedans !!
     
    Sulfus: Non, laisse moi t'aider.
     
    Elle ouvre la bouche pour riposter mais la referme et soupire "Bon d'accord, mais fais attention !" me lance t'elle en pointant son pistolet vers les escaliers. Les soldats arrivent, je les entends. Je m'apprête à dire quelque chose quant Diabéla dit "Je suis Désolé." elle fait volte-face vers moi et sans chercher à comprendre elle me pousse et je tombe en arrière, mais en faite elle m'a poussé dans le portail. Je me fais aspiré dans le portail et je ne peux plus en sortir. La dernière chose que je vois avant que les couleurs du portail n'enveloppe complètement tout autour de moi, c'est Diabéla en train de crié "Venez !! Je vous attend !" en commençant à tiré sur les permiers soldats qui arrivent. Puis tout devient noir et me revoilà encore balancé à travers le temps... 
     
    Je tombe sur un sol dur et mouillé. Et je sens qu'il pleut... J'ouvre les yeux et regarde autour de moi. Je suis de retour dans le sentier. Exactement à l'endroit même où j'étais avant d'être envoyer dans le futur... J'en reviens toujours pas... Mais je suis seul. Personne n'est là pas Saï, ni Tyco et encore moins Raf... On dirais que je suis le premier à être rentré. J'aime pas ça... Malgré que je m'inquiète pour eux trois, mon esprit est encore dans le futur... J'espère que Diabéla va bien et s'en est sorti... J'espère qu'à cause de moi et mon arrivé dans leur monde ne l'aura pas conduite à ça capture... Sinon je m'en voudrais énormément... Le problème c'est que je ne le saurais jamais... À par quant le jour de cette guerre sera venu... 
     
    Fin du PDV de Sulfus
     
    Sulfus garda un regard vide. Il en était convaincu, jamais il n'oubliera ce qu'il venez de voir et ça allez le hanté. Mais il ne dira jamais rien comme Steffi lui avait dit. Révélé tout ça amènerai à une panique générale. Et changer le cours de l'histoire n'est jamais bon, même si nous avons de bonnes intentions. 
     
    ..... 
     
    Pendant ce temps dans le futur. Il pleuvait fortement. La petite brume c'était transformé en grande averse. Et les routes de la ville étaient désertes. Mais une seule voiture se trouver sur la route et roulé sous la pluie. C'était une porche noire décapotable. (une voiture qui ne contient pas de toit) Elle roulé sur un grand axe routier et traversé un grand pont d'autoroute. Diabéla et Jim était dedans, c'était Diabéla qui conduisait la voiture. Ils étaient trempés. Ils restaient à fixé la route droit devant eux sans prononcer un seule mot. Diabéla avait une tête absente et les sourcils légèrement froncés, quant à Jim, il paraissait fatigué. Ils arrivèrent vers un feu tricolore qui passa de la couleur verte à rouge. La ville était déserte plus personne n'était là pour conduire, plus aucune règle ne s'appliquer, elle aurait très bien pût continuer sans se préoccupé de rien et pourtant elle s'arrêta au feu rouge, alors qu'elle n'avait pas besoin de le faire. Elle resta concentré sur sa route même si la voiture était à l'arrêt. Jim tourna la tête vers elle. 
     
    Jim: Ça va ? 
     
    Il savait que non, mais c'était une habitude pour lui de lui demander ça. Et il savait que c'était le moment de parlait vu qu'elle s'était arrêter. 
     
    Diabéla: J'avais qu'une envie c'était de me jeter dans ses bras...
     
    Jim: Je sais bien... 
     
    Diabéla: Mais je ne pouvais pas faire ça. Il aurait forcément compris. 
     
    Jim acquiesça. Diabéla avait la main posé sur le levier de vitesse. Jim lui pris et la pressa dans le sienne. Elle tourna la tête vers leurs mains puis le regarda dans les yeux. L'eau de la pluie ruisselé sur leurs visages.
     
    Jim: On les sauveras, je t'en fais la prommesse. 
     
    Diabéla acquiesça en prenant une grande respiration comme pour évacuer toute ses émotions confuses entre chagrin et haine. Le feu passa au vert et ils se remirent en route pour affronté leurs destins. 
     
    À suivre... 
     
     
    * * * * * * * * * * * *
     
    Bonjour tout le monde ! 
    Oui je sais ça fais plus d'un mois que je n'est pas poster de chapitre mais j'ai étais déborder ces dernières semaines et je m'en excuse. Entre mon permis à passé et les visites régulière de ma famille pendant le moi de mai et juin j'ai pas eu beaucoup de temps pour ma fic ! ^^' Mais je me suis concentré hier soir pour finir ce chapitre ! J'ai veiller jusqu'a 3h du matin ! xD Donc j'espère que malgré l'attente vous serez toujours là pour lire la fic! En plus pour me faire pardonné j'ai écrit un très long chapitre comme vous avez put le constaté ! x) 
    Donc bref, sinon j'espère que se petit séjour dans le futur vous aura plut ! J'ai vraiment essayer de rendre la lecture intéressante pour que vous rentriez dans l'ambiance sinistre de ce futur ! Alors on peut enfin voir un peu notre fameux Jim ! Il viens de faire sa première apparition et j'espère que vous l'aimez déjà ! *v* Quant à Diabéla je pense que mmalgré son changement de comportement vous l'aimez toujours autant ! ^^ Et pour les fan de Ciel je sais vous devez avoir la rage ! XD Mais c'est ainsi, je trouvais que faire que Ciel était retenu là bas était une super idée ! *u* Du moins dans ma tête ! 
    Quant à Sulfus il ne sais plus tout où il en est avec l'apparition de sa petite soeur Steffi qui est maintenant plus vielle que lui et qui lui révèle pas mal de choses faut le dire ! x) Et en sachant que tout ça l'attend il est pas prêt d'oublier tout ça, mais je pense que par la suite, je vais faire que ses souvenirs s'évapore peu à peu sur ce futur, enfin je sais pas je vais voir.
    En tout cas j'espère que le chapitre vous à plut et n'hésitez pas à laissé un commentaire, on se revois tous pour un prochain chapitre ! 
    Bisous bisous ! ^3^

    11 commentaires

  • Chapitre 9: Dernière épreuve

    Par AngelsFriendsStyle le 16 Mai 2015 à 22:24
    fanfic 3 chapitre9

     

    Dernière épreuve


    Au milieu d'une mer ou personne ne s'aventure, une mer dont l'existence en est presque oublier, une mer qui cache de nombreux secrets, dans cette mer là un bateau au allure de pirate flotté. Il sembler être abandonné, aucun signe de vie, de plus la coque du bateau était abîmé et moisie. Les voiles déchirés que le vent faisait danser avait jauni. La plupart des carreaux étaient brisés et recouvert de crasse. Le bateau grincé quant les vagues le secouer... Ce bateau était vieux et dans un sale état, mais malgré tout ça, il y avait bien quelqu'un à l'intérieur. 
     
    Dans une des salles sombre du bateau, un homme était assis sur un ancien fauteuil en cuire noir, aux coins déchirés. De nombreuse tables en bois usé étaient présentes dans la salle, des dizaines de globes terrestres et de boules de cristal, de toute tailles, était posé dessus, recouvert d'une épaisse couche de poussière. Des centaines de cartes était accrochés au mur dans tout les sens. Devant l'homme il y avait un bureau, remplis de globe terrestre et de boule de cristal également, et pleins d'autre objet de tout genre comme des clefs, des bijoux anciens, de l'ancre noir et une plume pour écrire sur de vielles feuilles qui ont jaunis avec le temps. 

    L'homme était sur son fauteuil, immobile et silencieux, sa tête était appuyé contre le poing de sa main gauche, et sa main droite était posé sur l'accoudoir de son fauteuil. Visiblement cet homme s'ennuyer ou attendait que le temps passe. Il avait la peau noir, et de petite rides qui montré que les années commencés à ce voir sur son visage. Il avait son œil gauche caché par un bandeau noir, et de nombreuse cicatrices étaient présentent sur son visage. Ses cheveux, gonflé mais abîmé qui arrivé presque à ses épaules était d'un noir corbeau intense. Il porté comme un manteau court de couleur rouge bordeaux très foncé avec des boutons doré. Il avait un pantalon noir en toile et des bottes en cuire de la même couleur. Une cape noire relié par une petite croix en argent devant, et des épaulettes noire faite avec des plumes rouges était accroché à son dos et ses épaules. 

     

    AFS. fan art pirate


    De sa main droite recouverte par un gant de cuire noir tout comme celle de gauche, il tapotait le rebord de l'accoudoir de son fauteuil. Soudain sur son bureau une des boules de cristal se mise à brillé. Il leva lentement son regard sombre en direction de la boule puis dirigea sa main droite dessus. Il souffla d'une voix grave et lasse...

    ???: Que se passe t'il...? 

    La boule de cristal montra quelque chose à cet homme. 

    ???: Le sentier des métamorphoses... Et alors ? Des gens sont en train de le parcourir, je ne vois pas ce qu'il y a d'innormal. 

    Il continua d'observait dans sa boule de cristal en silence, puis il fronça des sourcils et rapprocha son visage de celle-ci pour mieux voir. Il vit la mystérieuse femme à la cape noire qui suivait Raf et Sulfus depuis le début du sentier, elle était actuellement en train d'avancer sur des marches en pierre recouverte de lierre qui monté jusqu'en haut d'une haute montagne. 

    ???: Qu'est ce que ça veux dire ? Elle n'est pas sensé être ici, elle n'est même pas sensé être quelque part... Et qu'est ce qu'elle fabrique dans le sentier ? Empêcher ces jeunes gens de continuer ?... Qu'est ce qu'ils manigancent encore ?...

    Il s'adossa à son fauteil en réfléchissant à ce qu'il venait de voir, cela le perturbé beaucoup. Les yeux de l'homme se posèrent finalement sur un vieux cadre poussiéreux posé sur son bureau. Il y avait une vielle photo abîmé dedans, sur la photo figuré presque une trentaine de personnes qui se trouvaient justement sur le pont de ce bateau qui paraissait beaucoup moins vieux et abîmé qu'aujourd'hui. Il était sur cette photo au milieu de tout ses gens, l'air heureux et souriant contrairement à maintenant. Il regarda la photo puis se redressa sur son fauteuil avec un regard noir.

    ???: Il est temps de mettre fin à toute ces plaisanteries.

    Il se leva de son fauteuil.  "Darknes viens ici !" appela t'il d'une voix froide et sec. Un corbeau noire fit éruption dans la salle et se posa sur l'épaule de cet homme. Il sortit de cette pièce en empruntant les escaliers en vieux bois qui aller bientôt craquer. Il arriva sur le pont de son bateau. Il leva une main en l'air et les voiles déchirés se réparèrent en un instant, plusieurs piliers de bois se redressèrent, les carreaux se reconstituèrent en quelques minutes, le bateau n'était pas neuf et rayonnant mais réparé pour pouvoir voyager. 

    Une fois tout ça fait, il fixa le ciel au dessus de lui et un violant vent apparut soudainement, grâce à la seule pensée de cet homme. Il se dirigea jusqu'à la barre de son bateau et posa ses deux mains dessus et commençant et la tourné à fond pour changer de direction. 

    [Alors juste pour ceux qui aurait un petit doute comme je l'ai moi même eu, la barre du bateau c'est tout simplement le volant. ^^]

    Son corbeau croissa dans son oreille. L'homme le regarda puis replongea son regard vers l'horizon de cette mer infinie. 

    ???: Oui, Darknes, il est temps que nous reprenons du service pour mettre fin à tout ce cirque. 

    Il dirigea son bateau sur la mer, bien décidé à changer les choses...

    ....

    Raf: (ris) Sulfus ! Fait attention, je vais tombais ! Va moins vite! 

    Sulfus: (mort de rire) Accroche toi bien ! Je ne compte pas ralentir ! x) 

    Nos quatre héros étaient toujours sur le chemin de leur rêve. Cela faisait déjà 8 jours qu'ils marchaient dans le Temple de la Destinée. Cela commencer à faire long mais Tyco et Saï avaient expliquaient à Raf et Sulfus que c'était justement en partie une épreuve, réussir à parcourir un très long chemin sans abandonné. Du coup comme il n'y avait aucun danger à côté de cette longue marche dans un temple vide ou il ne fais pas vraiment froid avec un ciel plutôt dégagé et agréable à regardé Raf et Sulfus était de bonne humeur. 

    Ils étaient en train de s'amusaient tout les deux. Sulfus portait Raf sur son dos. Cette dernière s'accrocher à lui en enroulant ses bras autour de son cou, et lui tenait les jambes de Raf pour ne pas qu'elle tombe. Il courrait comme un dingue avec Raf qui rigolé mais qui avait peur aussi de tomber parterre quant il tourné sur lui même ou quant il tourné dans un virage. Ils s'amusaient tellement qu'ils en oubliaient presque qu'ils étaient dans le sentier. Saï et Tyco les regarder de loin en marchant tranquillement. 

    Saï: Ils ont beau avoir 20 et 21 ans, ils restent des enfants. (sourit)

    Tyco: C'est beau d'être jeune et insouciant comme eux. (sourit également) 

    Saï: (sourit) Oui. Qu'ils en profitent...

    Tyco: Qu'est ce qui t'arrive ? 

    Saï: Nous arrivons bientôt à la fin Tyco... J'ai peur qu'on échoue à nouveau...

    Tyco: (caresse le bras de Saï jusqu'à sa main) Cette fois-ci ce sera différent, prenons en compte les erreurs que nous avons fais chacun de notre côté la première fois. Et cette fois-ci on y arrivera. Je le sens, fais moi confiance. (sourit) 

    Saï: (sourit également) D'accord, je te fais confiance mon amour. 

    Il s'enlacèrent un moment, puis se remirent vite en route, en voyant que Raf et Sulfus continuer de courir et jouer sans les avoir remarquer... Pendant ce temps la femme à la cape noire les observé tous dans sa boules de cristal. Elle souriait. 

    ???: Je dois reconnaître que cette blondasse et son beau gosse de mec sont plutôt doué, ils on vraiment franchis le sentier rapidement, déjà presque à la fin. Je comprend mieux pourquoi Skar s'est fait défoncé. En même temps leurs deux amis les on bien aidé... Mais tant mieux, le moment que j'attend arrive à grand pas ! Mais contrairement à Skar... (charge de nouveau un pistolet) Mes méthodes sont plus efficaces. Il faudra juste que je me débarrasse de ses deux immortels de la préhistoire pour m'occuper d'eux. Rendez-vous à l'arrivé Raf et Sulfus. 

    Elle ricana diaboliquement en pensant à la fin qu'elle attendait avec impatience. 

    ..... 

    Saï : Vous avez bientôt terminer de reprendre votre souffle ? 

    Tyco: Ça fais 1 quart d'heure qu'on n'avance plus... x) 

    Sulfus: (essoufflé) Ah non mais là j'en peux plus ! 

    Sulfus était appuyait contre un des murs de pierre, il avait ses deux mains appuyer sur ses genoux, il respiré fortement, la tête baissé. Raf était assise carrément parterre en reprenant son souffle elle aussi. 

    Tyco: En même temps ça fait 1 heure que vous courrez partout. 

    Raf et Sulfus se lancèrent un regard complice en souriant puis il annoncèrent à Tyco et à Saï:

    Raf et Sulfus: Ouais, mais c'était marrant ! 

    Saï: Ouais, mais la suite va être moins marrante, j'aurais étais vous j'aurais garder mes forces pour la suite ! 

    Sulfus: (en souriant) Pourquoi ? Cette fois-ci on va tomber sur un monstre en pierre ? 

    Tyco: Non, mais on va devoir monté ses marches jusqu'en haut de cette montagne. 

    Tyco leur montra du doigt le début des marches qui suivait la hauteur de la montagne au loin. En voyant ça Sulfus en était bouche bée et tomba parterre en position assise à côté de Raf. "Ho....noooon !" s'exclama t'il en se laissant tomber en arrière sur Raf. Cette dernière se mise à sourire en le voyant faire. 

    Sulfus: Mais ça va prendre une éternité de monté jusqu'en haut ! La flemme ! Raf, j'suis fatigué !... 

    Raf: Moi aussi, mais voit le bon côté des choses au moins, on aura rien à combattre, seulement de la marche ! ^^ 

    Sulfus: (les bras croisés) J'aurais préférais affronté un monstre de pierre que de me tapé une marche pareille ! 

    Raf: Ça ira, on fera des pauses quant on sera trop fatiguer ! ^^ 

    Saï: Allez mettons nous en route y'a encore du chemin avant l'épreuve final ! 

    Sulfus: Quoi ? La prochaine épreuve c'est déjà la dernière et après c'est fini ?! 

    Raf: (étonné).... 

    Tyco: Oui, mais c'est également la plus difficile... 

    Raf: Mais pourquoi ? On doit combattre quelque chose ? 

    Saï: Non c'est très loin d'être un combat... Mais c'est bien plus difficile. 

    Sulfus: (en se relevant) Quoi qu'il en sois, c'est la dernière épreuve et j'ai hâte d'y être maintenant pour enfin réussir et devenir humain et sortir d'ici ! 

    Raf: (se lève aussi) Moi aussi ! C'est la dernière ligne droite entre nous et notre rêve ! (lance un regard à Sulfus) On y est presque... 

    Sulfus: (sourit) Alors on y va. 

    Ils se remirent en route, arriver en bas des marches, ils regardèrent en haut. Ça s'annoncé difficile, il y avait des centaines de marches.  

    Sulfus: Hé ! Mais on est con ! Pourquoi on vole pas ? 

    Tyco: (en commençant à monté les marches) T'es un rigolo toi. Ça serait beaucoup trop facile, notre capacité à volé est détruite pour le moment. 

    Sulfus: (soupire) Je hais ceux qui ont crée ce sentier ! 

    Ils commencèrent tout les quatre à montaient les marches. Au bout d'une centaine de marche ils commencèrent à s'essoufflaient et à avoir les jambe qui tire. Ils décidèrent de faire une pause vers les 200ème marches. 

    Sulfus: Ho... C'est pas facile... On en est même pas à la moitié ! 

    Raf: J'ai soif... (prend la gourde dans le sac) Quelqu'un en veux ? 

    Ils secouèrent tous la tête en signe que non. Raf se mise à boire un peu, pendant que Tyco regardait vers le haut. 

    Tyco: Je pense qu'on a déjà fais le premier quart ! 

    Saï: (assise) C'est déjà ça.

    Après 10 minutes de pause, ils se remirent en route. Plus ils montaient plus le joli ciel bleu commencé à viré au gris. Et du vent se leva, ils en étaient à la moitié. 

    Sulfus: Pourquoi le temps commence à s'assombrir ? 

    Saï: Plus on monte plus le temps va devenir orageux. C'est normal, ça avait était pareil la première fois. 

    Raf: Tu veux dire qu'il va pleuvoir ? 

    Tyco: Oui. 

    Ils continuèrent, le vent était de plus en plus violant, Sulfus et Raf marchaient en se tenant par la taille pour essayer de se stabilisé ensemble pour ne pas se faire emporté par le vent. Au bout d'un moment les nuages étaient devenus noirs et la pluie tomba. D'abord une petite averse puis une gigantesque. Sulfus essayer de protégeait Raf du mieux qu'il pût. Le vent et la pluie qui rendait les marches glissante, n'arranger rien à leur situation. Ils étaient tous trempés et leurs jambes tremblés sous l'effort. Ils étaient presque tout en haut, ils étaient épuisaient, mais s'arrêter pour ce reposé était impossible dans des circonstances pareils.

    Puis d'un coup la pluie s'arrêta doucement ce qui leurs permirent de levais la tête pour regarder au-dessus d'eux et là ils écarquillèrent les yeux. Ils étaient tout en haut de la montagne. Devant eux le haut de la montagne formé comme un cercle autour duquel plusieurs grands rochers se dressés et s'empilaient les uns sur les autres qui formé comme des portes ou des ponts. Sa ressembler à un monument ancien et mystérieux. 

    Saï: S'ayez... Nous sommes arrivés. 

    Raf: Qu'est ce qui va se passait maintenant ? 

    Tyco: L'épreuve final va vous êtes expliquez de toute façon... Allons-y. 

    PDV de Sulfus

    Saï et Tyco commencent à avançaient vers le milieu de tout ces rochers. Je tourne ma tête vers Raf, elle les regardes avancer sans vraiment savoir quoi faire, elle semble craindre ce qui va suivre. Tout comme moi. Le vent souffle dans ses cheveux mouillés par la pluie. Je me rapproche d'elle et lui prend la main que je serre dans la mienne. Elle me regarde dans les yeux. L'air un peu paniqué, je tente de lui sourire pour la rassuré même si cela ressemble plus à une grimace. Je commence à l'enlacé dans mes bras, elle passe ses bras autour de ma nuque. Elle colle son visage contre moi. 

    Raf: Si jamais on échoue...Et qu'on est séparé... Tu...tu sais que je t'aime... Et que je t'aimerais toujours...  

    Sulfus: Hé... (prend le visage de Raf entre ses mains) Ça n'arrivera pas... Je te le promet, on va passais cette épreuve et on va devenir humain, et on va enfin vivre ensemble et s'aimer librement. (sourit) 

    Raf me sourit d'un tout petit sourire inquiet, je regarde ses yeux bleu, ses lèvres rouge, ses cheveux blonds... Puis son auréole et ses ailes.... Ce qui montre et qui fait qu'elle est un ange... C'est peut être l'une des dernière fois que je la vois en ange. Et bizarrement ça me fais un pincement au cœur... Me dire que je ne l'a reverrais plus en ange, on abandonne une partie de nous en devenant humain. Mais si on peut enfin s'aimer librement, ça vaux le coup. On s'écarte l'un de l'autre en gardant nos mains liés et on avance vers le milieu pour rejoindre Tyco et Saï. 

    On se retrouve tous au milieu. Moi et Raf nous, nous tenons la main en regardant un peu partout autour de nous. D'un coup la pluie s'arrête totalement. Une voix qui ressemble à celle d'un homme en écho sort de nul part. Elle semble venir du ciel. 

    Voix: Félicitation, vous êtes arrivez à l'épreuve finale. Si vous parvenez à l'accomplire vous pourrez devenir humain. Je suis le gardien de l'ultime et dernière épreuve. 

    Cette phrase me fait froid dans le dos. On dirais qu'il va falloir combattre un titan, vu la façon que cette voix nous annonce ça. Bizarrement on a tous le regard vers le ciel. J'ai vraiment l'impression que cette voix viens de là haut. 

    Raf: Et... Que devons nous faire pour réussir ? À quoi consiste l'épreuve ? 

    Voix: L'épreuve consiste à vous envoyez dans une autre époque à travers le temps, tout seul. Passé ou Futur. Une fois dans une autre époque vous devrez trouvez une solution pour revenir à notre époque, ici, en seulement 48heures. Si vous dépassez le délai vous serait condamné à vous séparé. 

    Sulfus: Mais comment on reviens ici ? On a pas de pouvoir pour ça, et il n'y a rien pour nous ramenais qu'on doit retrouvais ? 

    Voix: Non, vous devez vous débrouillez par vous même. 

    On reste figé Raf et moi. Comment on peut revenir ici, si il n'y a rien pour nous ramené ici ?! Je sais que je dois restais, fort mais là, je suis déstabilisé, c'est beaucoup plus qu'un simple combat... Comment on peut réussir une chose pareil, sans rien pour nous aider ? 

    Raf: Et... On sera dans quel époque ? 

    Voix: Il n'y aura pas de "on" vous serez tous seul pour cette épreuve. Le passé est réservé pour les anges et le futur aux démons, mais aucun ne sera envoyer à la même époque exactement. 

    Sulfus: Attendez ! Quoi ?! 

    Un tourbillons se forme dans les nuages au-dessus de nous et des éclairs grognent. C'est pas bon tout ça. 

    Voix: C'est l'épreuve. 

    Sur ce dernier mot, quatre éclairs gigantesques nous fonce dessus et nous frappe de pleins fouet. Mais bizarrement je ne sens rien, aucune électrocution, mais je ne peut plus bougé complètement paralysé par cet éclair. Je vois Raf face à moi, l'éclair à séparé nos mains, elle ne peut pas bougé non plus, elle est terrifiée. Je tente de me rapproché d'elle mais c'est impossible. Un vent violant se met à soufflé et la pluie se remet à tomber se qui brouille notre vision.

    D'un coup je sens que mes pieds ne touche plus le sol. Je regarde en bas et tout autour de moi, les éclairs sont en train de remontés dans les nuages et nous emporte avec eux. Et on ne peux rien faire. Le vent me fait tourné sur moi même et puis d'un coup les nuages noires nous enveloppe complètement, je ne vois plus rien et plus personnes, et les nuages au dessus de moi forment un tourbillons énorme qui m'aspire vers lui. L'éclair m'a relâcher mais je suis maintenant prisonnier d'un tourbillons qui m'entraîne je ne sais où. 

    Je suis secoué dans tout les sens, et j'ai du mal à distinguer ce qui se passe autour de moi tellement, je suis balançais dans tout les sens. Puis d'un coup le tourbillons cesse et je retombe vers le bas ! Mais je ne peut toujours pas volé ! Je vais m'écrasais sur le sol ! Les nuages m'empêchent de voir si je suis loin ou près du sol. Puis d'un coup mon corps heurte quelque chose de dur... 

    ..... 

    J'ouvre mes yeux, première chose que je vois, c'est le béton sur lequel je suis allongé. Front au sol. Je me redresse lentement, je porte directement ma main vers ma bouche, j'ai un mal à la mâchoire. Quant je regarde ma main, je vois que je saigne un peu de la bouche. Je me suis explosé au sol à cause de ce tourbillons... Mais ça c'est le cadet de mes problèmes. Je sais pas du tout où je suis. Le futur ? 

    Je regarde partout autour de moi. J'ai atterris en pleins milieu d'une route, dans une rue, remplit par de grands immeubles, à ma droite un trottoir et des immeubles, à ma gauche un trottoir et des immeubles.... Je suis plutôt dans une petite rue. De nombreux déchets traînent parterre et se font emporter par le vent. Le ciel est gris foncé, même limite noir, les immeubles semblent être vide et abandonné... On dirais que je suis atterris dans une ville fantôme, on dirais qu'il n'y a personne ici. C'est donc ça le futur ? Mais, je suis atterris à quelle époque pour que ça change autant ? 

    Bizarrement je n'est pas l'impression d'être sur terre. On dirais.. Une cité... Mais à la fois pour les anges et les démons. Parce que on dirais un mélange des deux cités... C'est vraiment bizarre. Je me relève entièrement et faisant quelques pas en tournant sur moi même pour observé tout autour de moi. C'est complètement désert. Je me met à criais "Y'a quelqu'un ?!" mais ma voix se transforme en écho et se perd dans tout ses grands immeubles, et personne ne me répond. Comment je vais faire pour retourné dans le présent si, je ne trouve personne, pour juste me dire où je suis ? Je me met à avancé dans cette rue, toujours en pleins milieu de la route.

    Soudain j'entend un bruit de moteur, qui se rapproche. J'en entend même plusieurs. Je regarde au bout de la rue un camion de guerre se gare à l'entrée de la rue, j'entend du bruit derrière moi, je jette un coup d'oeil rapidement par dessus mon épaule et je vois un autre camion se garé. Cette ville n'est peut être pas si déserte que ça. Mais j'ai pas l'impression que c'est bon signe... Je reporte mon attention sur le camion qui est arrivé en premier, des hommes habillaient tous de la même tenue grise foncé, en sortent armé de la tête au pied. J'ai comme un mouvement de recul. Ils se rapprochent de moi en pointant leurs pistolets sur moi, je recule légèrement.

    Sulfus: Hé, du calme ! Je suis pas armé !...Et.. Je suis pas là, pour vous attaqué !

    Ils continuent de se rapprochaient en gardant leurs arment braqué sur moi. Je commence à leur montrais mes mains pour essayer de les calmés, que je suis "venu en paix" mais ça les fais pas réagirent, ils continuent de s'avançaient vers moi. 

    Homme 1: Les mains en l'air ! Ne posez aucune résistance.

    Je lève lentement mes mains en l'air, je ne tient pas vraiment à me faire tiré dessus, en plus j'ai aucune chance de m'échappé, ils m'ont déjà encerclé. Un des hommes pointe un objet dans ma direction, ça ressemble à un scanner portable mais un truc futuriste... Une lumière bleu qui sort de cet objet se pose sur moi et me scanne de la tête au pied, et affiche un résulta à l'intérieur du scanner de cet homme. Ça fais aucun doute, je suis vraiment dans le futur là... 

    Homme 2: C'est étrange, il dois y avoir une erreur dans les registres... 

    Homme 1: Qu'y a t'il ? 

    Homme 2: Le scanne affiche que le sujet est déjà dans les registres. Et aucune fuite n'a était déclaré. 

    Homme 3: Sûrement une erreur dans le programme, emmenons le, nous vérifierons là bas. 

    Je ne comprend rien de tout ce qu'ils racontent... L'homme devant moi se tourne et commence à se dirigé vers son camion. Un des hommes qui se trouve derrière moi, appuie son flingue dans mon dos, je me fige. Il continue de l'appuyer dans mon dos "Avance !" me lance t'il. Je n'ai franchement pas le choix, donc je commence à avancer de quelques pas. Mais qu'est ce qu'ils me veulent ? En tout cas rien de bon à mon avis... Le camion qui s'est garé de l'autre côté de la rue derrière moi, viens de repartir avec ses hommes. Et apparemment moi je vais avec les hommes du premier camion... Ils sont une dizaine autour de moi... Je ne peut strictement rien tenté pour m'échappais.

    Soudain, alors que j'avance en suivant ses hommes avec un autre derrière moi qui tient une arme appuyé dans mon dos, un coup de feu retentit dans la ruelle et un des hommes s'effondre parterre, touché à l'épaule. Tout les autres se mettent sur leurs gardes, sauf celui qui est derrière moi qui garde son flingue dans mon dos. 

    Homme 1: Amène le capturé, dans le camion et passe lui les menottes on s'occupe de ça. 

    Ils pointes tous leurs pistolets dans plusieurs directions en essayant de voir d'où se tire provenait. L'homme derrière moi appuie de plus belle son flingue dans mon dos et m'oblige à avancer vers le camion. Mais un autre coup de feu retentit, et je ne sens plus le canon du pistolet appuyé dans mon dos. Je me retourne et je vois l'homme qui me tenait en otage, il y a encore 1seconde, parterre une balle dans la jambe. Tout les autres se tournent en voyant l'homme à terre, puis ils se remettent sur leur gardes. 

    Homme 2: (parle dans un tokiwoki) Code rouge, tireur non identifié, envoyez du...

    Un autre coup de feu détruit son appareil, pour communiqué, je commence à regarder vers le haut d'un immeuble car on dirait que tout les tires viennent de là haut. En plissant les yeux j'aperçois une silhouette noire, trop loin pour distinguer quoi que ce sois. Puis un câble se projette du haut de cet immeuble et va s'accrocher à un des balcons des immeubles d'en face. La personne en haut de cet immeuble se jette dans le vide en s'accrochant au câble. Elle se rapproche à une vitesse phénoménale de tout les gardes. Arriver à leur hauteur, cette personne ne lâche pas le câble et leur inflige deux coup de pied de béton, car deux hommes tombe parterre par la puissance de l'impact. Le câble continue son chemin vers l'immeuble d'en face et cette personne ne le lâche toujours pas. 

    Mais maintenant je me rend compte que cette personne est une fille. Les formes de son corps le prouve, et elle a de long cheveux brun, bleuté qui me rappel étrangement les miens. Arriver à l'autre immeuble elle lâche le câble et atterrit en sol en faisant plusieurs saltos avant. Mais je ne vois toujours pas son visage puisqu'elle viens d'atterrir dans un endroit sombre. Les hommes se précipitent vers elle avec leurs pistolets et ouvre le feu. Mais elle a déjà surgit et foncé vers eux en esquivant leurs balles. Elle en met plusieurs K.O rien qu'en les frappant à main nu et à coup de pied dans le visage. Elle est de dos à moi et elle sort 5 lames de sa poche qu'elle déplie dans ses mains comme des griffes, elle courre vers eux et eux pointent leurs flingues sur elle pour lui tiré dessus, mais elle se jette à terre en glissant sur le sol et passe entre les jambes d'un homme elle se retrouve donc derrière eux en une fraction de seconde, ils sont tous déstabilisé par sa rapidité et là cinq d'entre eux s'écroule au sol. 

    Je vois enfin son visage. Je suis carrément choquais... "Diabéla..?" dit-je sans vraiment le vouloir, c'est sortit tout seul. Mais elle ne m'a pas entendu elle est déjà repartit se battre contre le reste des hommes. Je vois les cinq qui sont à terre devant moi, c'est carrément bluffant ils ont tous était touché par une lame au même endroit exactement: sur le côté gauche du ventre. Mais c'est une précision de malade ! Comment elle a fait ça ?! Je reporte mon regard sur elle et les trois hommes qui reste. 

    Elle pointe son pistolet sur un homme pour lui tiré dessus mais aucune balle ne sort, cartouche vide. Mais même ça ne la déstabilise pas, comme elle est proche de l'homme elle en profite pour lui mettre une droite avec son pistolet avec lequel elle a du leur tiré dessus tout à l'heure, l'homme tombe à terre et elle s'empare de l'arme de ce dernier. Elle se retourne et ouvre le feu sur les deux autres, ils tentent d'échappaient au tire mais, ils ne sont pas si agile que Diabéla. L'un est touché à la jambe et l'autre à l'épaule et elle leur inflige le coup de grâce et ils tombent tout les deux dans le coma. Celui à qui elle a pris l'arme se relève face à elle. Elle lui jette un regard noire, j'ai jamais vu Diabéla avec un tel regard... Elle s'approche de lui en pointant l'arme sur lui. Il lève les mains en l'air, il n'a plus que ça à faire, il n'est plus armé. 

    Diabéla: Genoux à terre... À terre j'ai dis !! 

    L'homme s'exécute, les deux genoux à terre, les mains en l'air. Diabéla garde le pistolet braqué sur lui. 

    Diabéla: Où se trouve les prisonniers où vous les enfermés ?! Quel est le code d'entré ?!

    Homme 1: Je ne vous le dirais pas. Je préfère mourir que de révélé ces informations. 

    Elle lui tire une balle dans le pied, l'homme tombe parterre en se tenant le pied et en gémissant. Diabéla garde son air imperturbable et froid. 

    Homme 1: (en gémissant) Je ne dirais rien !

    Diabéla: Tu va parlait !! (braque le pistolet sur sa tempe) 

    Homme 1: (en ricanant) Tu peut bien me tuer, je n'en est rien à faire. Diabéla. Tu es la cible numéro 1 de Reina, ils ne tarderons plus à t'attrapé toi aussi. Et ils te tuerons comme tout les autres, vous allez tous mourir ! Et sûrement ton frère en premier vu ce qu'il subit au moment même où je te parle. (sourire démoniaque) 

    Diabéla: (en tremblant de colère) Qu'est ce que vous lui avez fait espèce de monstre ?! 

    Homme 1: Sache que plus tu traîne à te rendre plus le sang de ton frère coule. Réfléchit bien si tu ne veux pas qu'il meurt. (sourire de sadique) À moins qu'il sois déjà mort...

    Le visage de Diabéla se déforme par la colère. Elle tremble et ses doigts resserrent le pistolet et appuie sur la gâchette. Je tourne la tête, pendant que le coup de feu se transforme en écho... Je regarde de nouveau. Une marre de sang s'élargit sur la route de la tête de cet homme inerte qui vient de mourir. Je pose mon regard sur Diabéla. Elle est toujours fixé sur cet homme, le regard pleins de haine, elle inspire et expire, essoufflé par son combat mais surtout par sa colère soudaine et sa dernière action... Je la regarde de la tête au pied, elle est vêtu d'un pantalon gris foncé même voir noir, d'épaisse bottes en cuire noire pour militaire, et d'un t-shirt qui s'ouvre en fermeture éclaire devant de couleur noire. La seule chose qui casse sa sombre tenue est sa ceinture bleu foncé mais quant même vif.

    Ensuite elle n'a rien d'autre ses cheveux son libre elle ne porte aucun bijoux ou marque spécial. Il y a juste un truc qui a changer dans son visage qui me trouble vraiment... Ses yeux ne sont pas rouge comme d'habitude mais ambre comme les miens. Elle décroche son regard de l'homme et elle me regarde. Elle me regarde d'un air, que je ne saurais ni décrire, ni comprendre, elle semble énervée, choquée, étonnée puis blasé. Son arme touche presque le sol.

     

    AFS. Diabéla Warm


    Diabéla: J'ai deux questions: Comment et pourquoi ? 

    À suivre...

     

    * * * * * * * * * * * *

    Bonsoir mes très chères lecteurs que j'aime tant ! *^* 

    En ce semadi soir de printemps 2015, je vous annonce que je suis d'exellente humeur ! Pourquoi ça ? Car je viens d'avoir la réponse de mon examen du code de la route et..... *roulement de tambour* J'ai réussi cette épreuve ! 8D Ouais je voyais ça comme une épreuve et encore la pire reste à venir : la conduite ! °^° Car je conduit comme une chaffarde ! C'est vraiment flippant ! Je vous jure l'autre jour j'ai presque écrasé un mec ! °^° ... Bref je m'égare un peu là ! x)

    Donc comment avez-vous trouvez ce chapitre ? Il faut dire que beaucoup de mystère reste mais pas mal de révélation et de nouveauté sont arrivé ! Déjà le nouveau et mystérieux homme aux allure de pirate. Alors oui je sais que vous allez dire "ce mec ressemble étrangement à quelqu'un..." et bien oui je me suis totalement inspiré du pirate dans le clip de Black M "Sur ma route" en faite je réfléchissez depuis des mois à ce nouveau personnage qui allez arrivé et puis quant j'ai revu le clip de Black M ce personnage et ce style m'ont carrément inspiré à 100% ! Et pour la peau noire je me suis dit que c'était carrément parfait et je tenait vraiment à gardé cette apparence donc bien sure le costume n'est pas exactement pareil mais c'est mieux car j'ai quant même fais quelque chose à ma façon ! x) Donc j'espère qu'il vous plait et je tiens à dire qu'il sera très important par la suite !

    Et puis oui je sais, vous m'adoré (ironie) car c'est le grand retour de Diabéla dans ma fic ! Depuis le temps qu'on ne l'avait pas vu, la voici dans un futur très... Apocalyptique on va dire ! Mais vous en saurais beaucoup plus dans le prochain chapitre ! Pour savoir ce qui est arrivé à Raf il faudra attendre un moment car le prochain chapitre sera basé seulement sur Sulfus et ce futur ravagé. Je suis en train de travailler là dessus j'espère que ça vous plaira ! ^w* 

    Sur ce je vous laisse, passez une exellente soirée et lâchez vos com's ! ;) 


    28 commentaires

  • Chapitre 8: Des épreuves de tordus

    Par AngelsFriendsStyle le 1 Mai 2015 à 16:58
    fanfic 3 chapitre8
     
    Des épreuves de tordus
     
     
    PDV de Sulfus
     
    Raf: (ouvre ses yeux) .... 
     
    Sulfus: (voix douce) Salut mon amour...
     
    Raf: (sourit faiblement) Salut... 
     
    Sulfus: T'a bien dormit ? 
     
    Raf: (se frotte un oeil) Mmh... Oui, sa va... J'ai dormit combien de temps ? 
     
    Sulfus: Quelques heures, je dirais. (lui caresse la joue)
     
    Je la vois regarder ma main glissé le long de son visage puis regarder son épaule droite, elle fronce les sourcils, visiblement y'a un truc qu'elle comprend pas en regardant son épaule qui est bandé d'un nouveau bandage et d'un t-shirt moins taché de sang. 
     
    Raf: Tu m'a soigner ? 
     
    Sulfus: Oui, t'avais d'énormes plaies à cause des dents du serpent, devant et derrière ton épaule, j'ai préféré te soigner pendant que tu dormait, pour pas que tu es mal. 
     
    Raf: Tu m'a retiré, mon haut alors ?
     
    Sulfus: Bah, j'avais pas trop le choix, et puis comme on est déjà passer par ça, je me suis dit que ça servait à rien d'attendre ton réveil pour le faire. 
     
    Raf: (mal à l'aise) Les autres mon vu... Sans mon haut...?
     
    Je ne peut m'empêcher de sourire. Ma Raf me fera toujours sourire dans sa façon d'être... Je secoue la tête pour la rassuré. 
     
    Sulfus: Seulement Saï, c'est pas pareil, c'est une fille. Elle m'a aider à te soigner. Mais t'inquiète pas, Tyco ne t'a pas vu, il s'occupait de trouver du bois pour faire un feu, et puis de toute façon je ne l'aurais pas laisser te regarder ! C'est moi le seul qui peut ! 
     
    Raf: (pour le chercher) Hé ! Je ne t'appartiens pas encore ! 
     
    Sulfus: Ça va, je sais ! x) Et puis Saï était un peu jalouse, elle a interdit à Tyco de s'approcher pendant qu'on te soigner, elle voulait pas qu'il regarde une autre fille qu'elle... x) Donc entre moi et Saï tu peut être sûre que Tyco ne t'a pas vu ! 
     
    Raf: (sourit) Ok. Et ils sont où ? 
     
    Je lui montre d'un coup de menton par dessus mon épaule, derrière moi près du feu ils sont tout les deux en train de dormir, blottie l'un contre l'autre. Raf se redresse un peu et les regarde quelques instants. Puis elle me regarde en souriant légèrement. 
     
    Raf: Pourquoi tu ne dors pas toi ? 
     
    Sulfus: Je voulais attendre que tu te réveille et je monté la garde aussi. Même si y'a personne dans se désert. 
     
    Raf: D'ailleurs où on est ? C'est quoi cette porte dans ce grand rocher ? 
     
    On est juste à côté des fameux rochers noirs, ils sont beaucoup plus grand que ce que je pensais, l'un d'eux, se trouve avec une grande porte qui s'ouvre en deux incrusté dans lui. Mais ce rocher est formé bizarrement. Un peu en forme de vague, ce qui nous protège de la neige qui tombe et qui garde notre feu allumé. On a en quelque sorte un toit. Et on est tous allongé contre les petites roches arrondis qui sont parterre. 
     
    Sulfus: C'est la porte où se trouve la suite. Mais on a décidé de faire une p'tite pause avant de continué. 
     
    Je m'allonge à côté d'elle sur un des petits rochers sur lequel elle est elle même allongé. Elle me regarde puis elle se colle à moi en posant sa tête sur mon épaule. Je tourne ma tête vers elle et mes lèvres se pose sur son front que j'embrasse longuement. De sa main droite elle cherche la mienne. Puis la caresse: d'abord la paume, puis le dos, puis me regarde dans les yeux. 
     
    Raf: Qu'est ce qui est arrivé à tes mains ? Elles sont à vif...
     
    Sulfus: C'est rien, j'ai mis des coups de poings au serpent pour tenté de te libéré de sa gueule, mais comme il était en glace, mes mains ont saigner un peu. Mais ça cicatrise déjà, regarde j'ai des croûtes. x) C'est juste que ça gratte. 
     
    Raf: (baisse le regard).... 
     
    Sulfus: Hey... Qu'est ce qui se passe ? 
     
    Raf: Je suis désolé, d'avoir était aussi nul... Dans ce combat, j'ai strictement servis à rien. Et même ça, ça aurait était mieux... Non seulement j'ai servis à rien mais en plus je me suis fais attraper et je vous est encombré plus qu'autre chose...
     
    Sulfus: Mais non, arrête... Tu n'a pas servis à rien. Tu sais ce qui s'est passé réellement ? 
     
    Raf: Non...
     
    Sulfus: Ton épaule. 
     
    Raf: Quoi mon épaule ? 
     
    Sulfus: Ton épaule était à peine soigner, que t'a était secouer dans tout les sens, dans une eau gelée. C'est un peu normal, que tu as eu du mal à tenir le coup, surtout qu'en plus le serpent à sentit ta faiblesse et que c'est pour ça qu'il t'a attaqué, alors ce n'est pas toi le problème mais ta blessure à l'épaule. Sans cette blessure tu t'aurait battu comme une chef ! 
     
    Raf: Tu pense....? 
     
    Sulfus: Oui. Enfin Raf, je sais de quoi je parle ! Moi, il m'a fallu un temps fou avant de pouvoir faire quelque chose sans avoir mal à mon épaule. Imagine toi, j'arrivais même plus à portait ma petite sœur ! Même un sac de course un peu lourd, je pouvais pas le soulever sans que mon épaule me pousse à laisser tomber... Alors arrête de pensé que tu es nul, tu n'est pas nul, t'es juste blesser. Compris mon amour ? (penche la tête pour la regarder) 
     
    Raf: ... (le regarde dans les yeux) Compris. 
     
    Je sourit et je repose ma tête contre le rocher près de la sienne. On se blottie l'un contre l'autre en se tenant les mains. On dégage tout les deux une chaleur qui nous réchauffe tout les deux, c'est apaisant et rassurant. Raf caresse les contours de mon visage puis sa main descend sur mon épaule, mon bras et reviens se placé sur mes mains...Je ferme mes yeux et je m'endors avec Raf à mes côtés. 
     
    ......
     
    ....: Réveillez-vous ! 
     
    Je sens une main posé sur mon épaule me secoué. J'ai pas envie de me réveiller, je voudrais dormir encore un peu, mais j'ai pas vraiment le choix car cette main persiste à me tiré de mon sommeil. J'ouvre mes yeux. Je regarde en hauteur derrière mon épaule les yeux encore à moitié fermer. Je vois Tyco me regarder et Saï un peu plus loin regarder la grande porte.
     
    Tyco: Sulfus, Raf, faut qu'on se remette en route! 
     
    Sulfus: (se frotte les yeux) Pourquoi, qu'est ce qui se passe ? 
     
    Tyco: Ça fait un moment qu'on dors, et une tempête de neige approche, il serait préférable de partir et de continuer la traverse du sentier. 
     
    Sulfus: (s'étire) Ok... (se tourne vers Raf) Raf, réveille toi mon ange, faut qu'on parte. 
     
    Raf: (se réveille doucement) mm...
     
    ......
     
    On est tout les quatre devant la grande porte qui sépare les Crevasses Gelées à la suite qui nous attend. Je lance un regard sur Raf, elle se tient devant la porte comme nous tous en regardant droit devant elle. Je regarde son épaule droite. J'espère que la suite ne lui causera pas de douleur... 
     
    Tyco s'approche de la porte et l'ouvre. Je retient mon souffle jusqu'à découvrir ce qui se cache derrière cette porte. La porte est ouverte. On s'avance et je regarde tout de suite partout pour analysé tout ce qui s'y trouve: Une pièce plutôt grande des murs de couleur bordeaux, le sol est en carrelage blanc. Au milieux de la salle il y a un grand récipient vide en pierre beige d'au moins deux mètres de diamètre, posé à même le sol. Pour le moment, je ne repère rien de vraiment menaçant. On continue de s'approché du centre de la salle où se trouve le récipient de pierre et c'est là que je vois deux lame posé au bord du récipient. Qu'est ce que ça veux dire ? 
     
    Quant je détache mes yeux des deux lames, je vois une lueur noir et rouge se formé derrière le récipient, les lueur finissent par faire apparaître un démon qui ressemble à un fantôme noir malfaisant. 
     
    Démon: Je suis le gardien du passage entre les Crevasses Gelés et le Temple de la Destinée. 
     
    Le Temple de la Destinée ? Qu'est ce que ça va être encore ? Qu'est ce qui va se passer dans cet autre monde ?... J'arrête de pensé à ça quant ce démon désigne Tyco puis Raf du doigt. 
     
    Démon: Mais avant de passer vous devez réussir cette épreuve. 
     
    Tyco: Mon amie est épuisé à cause du dernier combat. Puis-je faire l'épreuve à ça place, même si cela conssite à ce que ça dure plus longtemps ou plus difficile ? 
     
    Démon: Il en est hors de question. 
     
    Je serre les dents et les poings. Je ne sais pas ce que c'est l'épreuve mais de savoir que Raf va être obliger de le faire me met déjà en rogne...
     
    Tyco: Et pourquoi ? 
     
    Démon: Car même que vous faite cette épreuve même pour deux, aucun ange ne peut passer sans avoir fait cette épreuve, c'est obligatoire.
     
    Sulfus: Mais...(se fais couper la parole)
     
    Raf: C'est bon Sulfus je vais le faire. 
     
    Ah non pas ça ! Maintenant elle m'imite ! Elle relève quant même l'épreuve alors qu'elle est affaiblie... Comme moi pour l'eau bénite. Mais je veux pas.. Je sais qu'elle fais ça, car elle veux montré qu'elle ne sert pas à rien. Mais elle ne sert pas à rien, il faut qu'elle se sorte ça du crâne ! 
     
    Sulfus: Mais Raf..
     
    Raf: Attendons de voir ce qu'il faut faire ce n'est peut être pas aussi dur que ton épreuve à toi. 
     
    Sulfus:... 
     
    Démon: L'épreuve consiste à mêler votre sang angélique à de la magie noir obscure dans se récipient. Vous devrez vous servir de ses deux lames posé ici pour vous entaillé la paume de la main. 
     
    Quoi ? Mais il est malade celui là ! Raf m'a expliquer que quant Skar l'a transformer il a manipulé une sorte de magie noir... Faire cette épreuve reviendrais au même ! Il est hors de question qu'elle fasse ça ! Elle commence à s'avancer vers le récipient, je lui attrape le poignet et la tire vers moi.
     
    Sulfus: Tu va pas faire ça ! 
     
    Raf: Pourquoi ? Il le faut bien ! Sinon on passera pas ! 
     
    Sulfus: Mais Raf, de la magie noir ! C'est comme ce que tu m'avais expliquer quant Skar t'avait transformer ! Tu ne fais pas ça ! 
     
    Raf: Mais arrête ! C'est presque pareil mais pas vraiment. Et puis je vais pas me transformer en monstre ! C'est une épreuve ils peuvent pas faire ça. 
     
    Sulfus: .... Je le sens pas. 
     
    Raf: Ne t'inquiète pas. (s'éloigne de lui et se rapproche du récipient.)
     
    Tyco: Sulfus si après l'épreuve je deviens... Agressif. Au point de vouloir frappé l'un d'entre vous surtout ne te retient pas de me mettre K.O... 
     
    Sulfus: Quoi ?! 
     
    Tyco: Saï, tu sais pourquoi. (s'éloigne d'eux et rejoins Raf au récipient) 
     
    Je comprend pas là. Je tourne la tête vers Saï elle regarde le sol sans rien dire... Je la sens de moins en moins cette épreuve.... Je regarde de nouveau Tyco et Raf. Ils sont en train de se positionné chacun d'un côté du récipient et prennent chacun une lame. Je commence à angoisser... Le démon est en train de leur dicté ce qu'ils doivent faire. D'un geste il fait apparaître quelque chose dans le récipient. Vu la matière fumante et la couleur noir, je pense que c'est la fameuse magie noir... Raf et Tyco mettent tout les deux une main au-dessus du récipient et commence à s'entailler la paume au dessus du récipient. Tyco grimace un peu, mais Raf gémit vraiment. Je détourne mon regard d'eux. Je peut pas. Regarder Raf se couper la paume de la main pour une épreuve me retourne l'estomac. Surtout que je peut rien faire. Ce genre d'épreuves là on peut rien faire pour triché ou esquivé. On a pas le choix faut le faire... 
     
    Démon: C'est bon. La plaie est assez longue est profonde pour que la magie noir entre et se mélange à votre sang. Maintenant mettez chacun votre main entailler dans se nuage de magie noir. 
     
    Tyco le fait immédiatement. Quant à Raf elle hésite un moment puis elle avance doucement sa main droite vers la magie noir en tremblant. Quant sa main touche à peine la magie noir, elle pousse un petit cris étouffé en retirant sa main. 
     
    Démon: Si vos retirez votre mains je considèrerais que vous avez raté l'épreuve. 
     
    Raf:... D'accord je la remet... 
     
    Raf replonge sa main dans le récipient pleins de magie noir et se retient de retiré sa main. Je sais pas quel genre de douleur elle ressent, mais ça à l'air très douloureux. Elle gémit en retenant ses cris. Quant à Tyco il ne réagis pas vraiment mais je vois à son regard que la douleur est vraiment atroce. 
     
    Puis soudain les veines de leurs bras ressorte. On les vois vraiment à travers leurs peaux...Elles sont teintés de noir, Tyco et Raf grimace de plus en plus... Je vois même quelques gouttes de sueurs se formé en haut de leur front. Raf pousse un cris qu'elle tente d'étouffé dans un gémissement. Je vais devenir fou à la regarder se torturé comme ça... 
     
    Ils tombent tout les deux à genoux en gardant leurs bras dans le récipient.  Je me retient d'intervenir et d'arrêter leur souffrance mais si je fais ça non seulement on aura raté l'épreuve, mais en plus ils aurons souffert pour rien. Alors je reste là, les dents serrés devant cette scène. 
     
    D'un coup le démon lève sa main en hauteur. Et la magie noir qui se trouve dans le récipient s'évapore. Raf et Tyco ne réagissent pas, ils sont appuyer sur le récipient les yeux fermer. Je m'avance d'un pas un peu hésitant, Saï me suis, on s'arrête à un mètre d'eux. 
     
    Démon: Vous avez réussi. Votre sang s'est parfaitement mélanger à la magie noir. Maintenant, vous pouvez passez, pour vous rendre au Temple de la Destinée. 
     
    Sulfus: C'est vraiment fini ? 
     
    Démon: Oui. (sourit) Mais pas les effets secondaire. (disparaît) 
     
    Sulfus: Hein ?! Quel effets secondaires ?
     
    Saï:... Ah toi l'honneur... Vas voir Raf. 
     
    Je regarde Saï d'une tête horrifié. Qu'est ce que ça veux dire encore ? Je tourne ma tête vers Raf. Elle est toujours appuyer contre le récipient de pierre les yeux fermés. Visiblement affaiblie. Je m'approche d'elle, et m'agenouille à sa hauteur, puis lui caresse la joue en prononçant son nom... Elle ouvre ses yeux brusquement ce qui me surprend et me fais sursauté. L'expression qu'elle à sur le visage ne me rassure pas. Elle a l'air énerver...
     
    Sulfus: Ça... Ça va ? 
     
    Raf: ..... (se relève sans même lui répondre ni le regarder) 
     
    Elle me tourne le dos et avance vers la porte de sortie.... Je regarde Saï qui n'a pas l'air étonné, Tyco ouvre les yeux à son tour et se relève. Il regarde d'abord Saï puis moi et se tourne vers la sortie lui aussi. Je suis perdu là... Puis d'un coup Tyco ouvre brusquement la porte d'un coup de botte et s'engage dans la sortie suivis de Raf...
     
    Saï: Voilà les effets secondaires... Ils vont être comme ça pendant un moment. 
     
    ..... 
     
    On avance dans un couloir de pierre grise. Raf et Tyco avance chacun d'un côté devant nous... On dirais limite qu'ils se la joue solos... Ils restent silencieux à marcher d'une démarche agacé, comme si on les déranger de les suivre... J'ai tenter plusieurs fois de parler avec Raf, mais à chaque fois elle m'ignore ou m'envoie balader comme une merde... C'est franchement énervant. J'ai l'impression de revivre ce que j'ai vécu il y a 2ans en arrière... Bien sûre c'est pas du tout pareil, elle est toujours un ange et elle ne cherche pas à me tuer, mais elle est désagréable, énerver, agressive... Donc j'ai l'impression de revivre un peu ça et c'est vraiment... Pas énervant. Plutôt triste, je me sens seul là. Je lance un regard à Saï. 
     
    Sulfus: Ça va encore duré longtemps ? Je sens que je vais craquer. 
     
    Saï: Je sais pas vraiment... Mais ne t'inquiète pas ils vont redevenir comme avant. 
     
    Sulfus: Tu me rassure. 
     
    Saï: Heureusement, sinon je sais pas si j'aurais supporter Tyco plus longtemps ! x) Je suis tomber amoureuse de lui, pour son caractère, sa façon d'être. Donc je n'aurais pas supporter qu'ont le change complètement pour toujours du jour au lendemain ! 
     
    Sulfus: (soupire) C'est clair... 
     
    Tyco: Vous voulez pas la fermez vous deux ?! On entend que vous ici ! 
     
    Sulfus et Saï: ..... 
     
    On se tais, vaut mieux ne pas l'énerver pendant qu'il est sous les effets secondaires.  Je regarde Raf au loin qui marche... Elle active son pouvoir du feu, mais pourquoi faire ? Puis là, elle s'arrête de marcher et elle brûle la plaie qu'elle a sur sa main droite avec sa main gauche qui est pleine de flamme ! Je courre vers elle et je saisie ses deux poignets pour écarté ses deux mains l'une de l'autre. 
     
    Sulfus: Raf ! Mais qu'est ce que tu fabrique ?! 
     
    Raf: (retire brutalement ses mains de celles de Sulfus) Mais occupe toi, de tes affaires ! Je saigne encore je veux ressoudé ma plaie avec du feu comme ça, ça arrêtera de coulé ! (re brûle sa main) 
     
    Je suis carrément choquer. En temps normal elle aurait hurler par la douleur alors que là elle fronce des sourcils et s'acharne à recollé ça peau coupé. Je l'empêche de continuer une nouvelle fois. Sa main est à vif. 
     
    Sulfus: Mais enfin Raf ! On a tout ce qu'il faut pour te soigner et désinfecté ! Te brûle pas la main ! On va te faire un bandage.
     
    Raf: (retire encore ses mains) Mais j'en veux pas de tes pansements pourris ! Fout moi la paix ! 
     
    Je reprend ses mains pour l'empêcher de continuer. Il faut qu'elle arrête. Ça l'énerve que je l'empêche de faire ça, je le vois à son regard. Elle me fusille du regard. Puis d'un coup elle arrive à retiré ses mains de mon emprise et elle me pousse violemment ce qui m'oblige à faire quelques pas en arrière pour ne pas tomber. 
     
    Raf: Laisse moi tranquille maintenant espèce d'idiot ! Tu me fatigue ! Arrête de me collé espèce de looser !! Je me demande franchement ce qui m'a passer par la tête quant j'ai accepter de te suivre dans ce sentier ridicule ! Tu n'en vaut vraiment pas la peine !  (tourne les talons et s'en va) 
     
    Je reste sans voix. Je crois que Raf ne m'a jamais balancé un truc pareil en pleine face. Elle continue d'avancé sans se soucié de savoir si je la suis ou non... Saï arrive à côté de moi. 
     
    Saï: Hou... Ça fais mal, hein ? Tyco m'avait balancé le même genre de phrase la première fois. 
     
    Sulfus: C'est carrément décourageant... Et... Blessant ... 
     
    Saï: Ne t'en fais pas. Elle ne pense pas ce qu'elle dit. Elle est sous l'effet de la magie noire. Il faut attendre qu'elle se dissout de son corps et après elle reviendra à elle. 
     
    Sulfus: Vivement alors.... 
     
    On se remet en route. On a perdu du terrain Tyco et Raf on continuer d'avancer sans nous attendre. Même si c'est à cause de la magie noire, ce que viens de me dire Raf m'a foutu un coup de cafard... Ça fais mal de se recevoir ça en pleine gueule de la personne qu'on aime... En plus qu'est ce qui me dit qu'elle ne le pense pas vraiment ? Peut être que la magie noire fait qu'elle ose tout dire maintenant... Pfff... J'en sais rien.... D'un coup on entend Raf et Tyco se disputé au loin. 
     
    Saï: Houla par contre là faut intervenir ils sont tout les deux sous l'effet de la magie noire du coup aucun ne voudra se laisser faire ! 
     
    J'acquiesce et on courre pour vite les rejoindre, quant on arrive, ils sont tout les deux face à face en se menaçant de se taper dessus. Alors là j'ai jamais vu ça de ma vie ! Deux anges qui veulent se battre. Saï et moi on courre se mettre entre eux deux pour pas qu'ils se battent. 
     
    Saï: (en faisant de grands gestes) Wo Ho Ho !! On se calme vous deux ! 
     
    Tyco: Non je me calme pas ! D'où elle se permet de me parler comme ça, cette petite idiote ! 
     
    Raf: Quel culot c'est toi qui me cherche! Espèce D'ABRUTI ! (se rapproche d'un pas agressif) 
     
    Sulfus: (en empêchant Raf d'aller plus loin) Arrêtez ! Vous allez quant même pas vous battre ! 
     
    Tyco: Je vais me gêner de lui donné une bonne correction ! 
     
    Raf: Et bah vas-y approche ! Tu me fais pas peur espèce de moins que rien ! 
     
    Tyco s'énerve et s'approche dangereusement de Raf. Saï et moi essayons de l'empêcher et de le convaincre d'arrêter mais il ne nous écoute pas, il nous pousse chacun d'un côté avec ses deux bras. Il a une force incroyable, ses bras sont fait que de muscles, je suis presque tomber parterre. Je le regarde quant je suis de nouveau stabilisé, il est tout près de Raf et la menace de la frappé, mais elle ne recule pas, elle n'est même pas un peu intimidé par Tyco. Il serre le poing pour la frappé ! Si il la touche il va la mettre K.O même voir pire ! Je courre vers eux et je me glisse entre eux deux pour les séparés, mais Tyco s'est déjà élancé pour la frappé avant que j'arrive, je me reçois le coup sur le côté droit du visage au niveau de la tempe. Je m'effondre parterre sans rien pouvoir faire. Quant j'ouvre les yeux je vois que je suis déjà à terre. Je me suis même pas sentit heurté le sol... 
     
    Tout autour de moi les bruits sont sourds et étouffés. Je suis complètement sonné, j'ai même la tête qui tourne... J'entend une voix crié "Vous êtes complètement malades !!" sûrement Saï... Ma vision est brouillé comme par des flashs... Je crois que c'est la première fois que je me prend un coup pareil à la tête... J'ai la partie gauche de mon visage collé au sol et j'arrive même pas à bougé à moins que ça sois mon cerveau qui sois trop sonné pour me permettre de bougé. Je sens quelque chose coulé le long de mon visage, mais même ça je suis même pas capable de dirigé mon bras vers mon visage pour touché... C'est du sang c'est évident. 
     
    Je sens plusieurs mains me saisir l'épaule droit pour me mettre sur le dos. J'ai le regard qui part dans tout les sens, je contrôle plus rien. Je vois flou. Je fini par distinguer Saï et Raf agenouillé au dessus de moi. Elles sont toute les deux paniquaient, j'ai l'impression que Raf n'est plus sous l'effet de la magie noire... Je vois sa bouche qui n'arrête plus de bougé, elle n'arrête plus de parler mais je n'entend strictement rien. Saï me secoue par l'épaule mais j'ai l'impression de bouger au ralenti. Mes yeux roules dans plusieurs directions sans que je les contrôles. Un peu plus loin derrière Saï, je vois Tyco. Il me regarde sans bougé en inspirant et expirant, on dirais qu'il reviens à lui, lui aussi. J'ai l'impression d'avoir la tête en feu, et les flashs qui trouble ma vision vont finir par me rendre fou... Je fini par tourné de l'oeil et pleins de petits pixels noirs me plonge dans le noir... 
     
    .....
     
    Je sens des doigts très fin me caresser doucement les cheveux que j'ai sur le front. C'est doux et chaleureux, c'est agréable. Il y a beaucoup de lumière où on est, je le sens avec mes paupières que je ne suis pas dans un endroit sombre. J'ouvre enfin mes yeux, je suis un peu aveuglé à cause de toute cette luminosité, je plisse un peu les yeux, puis je vois le visage de Raf au dessus de moi. Elle me sourit mais elle a quant même une expression inquiète sur le visage. 
     
    Raf: Sulfus.. Ça va ? 
     
    Sulfus: ...ho..ma tête... Où on est...? 
     
    Raf:... Au temple de la Destinée.... Comment tu te sens ? 
     
    Je me rend compte qu'elle est assise parterre et que je suis allongé parterre près d'elle et que ma tête est posé sur ses jambes. Elle garde appuyer une compresse mouillé sur ma tempe. Je commence à me redressé lentement j'ai l'impression d'avoir la tête dans le coton. J'ai aussi la tête qui vibre c'est assourdissant... Je tourne la tête vers Raf qui me regarde. 
     
    Sulfus: Pouah... J'ai mal à la tête... Qu'est ce qui s'est passé ?
     
    Raf: Tu t'es pris un coup de poing à la tête de Tyco par ma faute... Puis tu as perdu connaissance on a donc continuer d'avancer en te portant jusqu'ici... 
     
    Sulfus: Ah.. Oui.. C'est vrai. (se masse le crâne) Ho putain... 
     
    Raf: (regarde le sol pas fière du tout) Je suis vraiment désolé Sulfus... C'est de ma faute... J'ai honte de m'avoir comporter comme ça.. Je me suis embrouiller avec Tyco au point de se battre et c'est toi qui a tout pris pour me protégé alors que je me suis comporter comme une garce avec toi... (tremble) 
     
    Elle regarde le sol en tremblant, elle n'ose même pas me regarder dans les yeux... Je perçois même des larmes se crée dans ses yeux. La première commence à coulé le long de sa joue et tombe de son visage. La deuxième arrive et coule aussi le long de sa joue mais je l'arrête avec mon pousse. Elle lève les yeux vers moi pour me regarder. Je lui sourit légèrement. 
     
    Sulfus: Te met pas dans cet état là. C'est pas grave Raf. Et puis je préfère que ça sois moi qui me prenne un coup pareil, à la place de toi. Du moment que tu es enfin redevenu comme avant, c'est le principal.
     
    Raf: Et puis ça aussi... Quant je t'ai dit que tu n'était qu'un idiot, que je me demander pourquoi j'avais accepter de venir avec toi ici, que tu n'en valait pas la peine.... C'est faux ! Je ne pense rien de tout ça. Tu en vaut la peine, je veux traverser ce sentier avec toi, mais surtout je t'aime Sulfus... Quant je t'ai vu t'effondré parterre à ma place, j'ai eu comme un déclic, c'est comme si on m'avait jeter un seau d'eau sur le visage qui m'a ramener à moi. J'en revenais pas que par ma faute tu était parterre et que tu était complètement sonné par le coup... Même peut être pire... J'ai eu vraiment peur... (se retient de pleuré)
     
    Sulfus: Hey... C'es rien. Tu était sous l'effet de la magie noire, je sais très bien que tu n'aurais jamais fait ça. 
     
    Raf: (n'arrive plus à retenir ses larmes et se jette dans les bras de Sulfus) Je suis, vraiment, vraiment désolé Sulfus !... 
     
    Ses deux bras sont enroulé autour de ma nuque et sa tête est posé au niveau de ma clavicule. Elle pleure le visage collé contre moi. J'enroule mes bras autour d'elle puis je la serre contre moi et lui caressant les racines de ses cheveux blonds que j'aime tant. 
     
    Sulfus: C'est bon, arrête de pleurer... Tu sais très bien que je ne t'en veux pas et que je t'aime encore plus qu'avant. (sourit) 
     
    Elle se calme doucement puis elle me regarde avec ses grands yeux bleu innocents. Je lui sourit encore puis elle laisse s'échapper un tout petit sourire sur ses lèvres que je rêve d'embrassé. On s'assied tout les deux contre le mur de pierre que Raf était adossé dessus pendant que j'étais encore dans le coma. En regardant autour de moi je vois que cet endroit est vraiment étrange car on dirais qu'on est carrément sortit du sentier car en regardant en haut on vois le ciel. Et puis un beau ciel... Bleu avec des nuages blancs. Tout autour de nous il y a des murs et des structures de pierre recouverte par du lierre. On dirais un espèce de temple ancien gigantesque. Avec pleins de petit chemin à prendre mais il y a une grande allée qui continue tout droit... C'est sûrement par là qu'il faut aller. 
     
    Au loin je vois deux personnes arrivés. En regardant bien je vois que c'est Tyco et Saï. Quant Tyco me vois ses yeux s'écarquillent légèrement puis il s'accroupit près de Raf et moi, quant ils arrivent à notre hauteur. 
     
    Tyco: Sulfus ça va ?! Je suis vraiment désolé vieux, je contrôlais rien, je me suis même pas rendu compte de ce que je faisais ! C'est seulement après que je t'ai touché que je suis revenu à moi doucement... 
     
    Sulfus: T'inquiète pas, c'est pas grave. (se met à sourire) Mais si tu pourrait éviter de m'en remettre un, ça serait super, t'a une force de cheval j'ai encore la sensation d'avoir la tête qui vibre. x) (pose sa main contre son front) 
     
    Tyco: Ça risque pas. Il n'y a plus aucune épreuve qui pourra nous rendre agressif comme ça. 
     
    Raf: Tant mieux... 
     
    Saï: Par contre t'a un méga bleue sur le visage. 
     
    Sulfus: J'm'en remettrait. 
     
    Raf: Vous avez trouvez ? 
     
    Saï: Oui, il y avait une fontaine comme on te l'avais dit. Du coup la gourde est pleine, on peut se remettre en chemin maintenant que Sulfus est réveiller. 
     
    Raf: D'accord.
     
    Fin de PDV de Sulfus 
     
    PDV de Raf
     
    Je me lève et je tend ma main à Sulfus pour l'aider à se relever, il me regarde puis me la prend. Une fois debout on se remet tous en route. Tyco marche devant nous avec Sulfus, ils sont tout les deux en train de parler tout en avançant, moi je suis avec Saï. Mais contrairement aux garçons, on ne se dit rien. En faite je suis encore troublé par ce qui s'est passé tout à l'heur... Je m'en veux terriblement. Et puis je ne sais pas si Sulfus est vraiment franc avec moi quant il me dit que c'est pas grave et qu'il ne m'en veux pas... Comment j'ai pût me laisser autant contrôler par de la magie noire ? En l'espace de quelques temps, je suis devenu la pire des pestes qui puisse existé... Et Sulfus s'est tout pris dans la gueule...dans tout les sens du thermes... 
     
    Je prend une profonde inspiration sans ouvrir la bouche. J'avance les yeux fixés sur le sol en pierre. J'ai tellement honte de ce que j'ai fait que je voudrais disparaître. Tyco aussi était pas bien tout à l'heur mais il semble moins mal maintenant. En même temps ce n'est pas vraiment de sa faute mais en partie de la mienne, je ne sais même plus comment notre embrouille à démarrée mais j'ai vraiment chercher... Saï penche la tête vers moi pour que je la remarque. Je tourne la tête vers elle.
     
    Saï: Qu'est ce qui t'arrive ?
     
    Raf:... J'me sens bête... J'ai très mal agis... Je...
     
    Saï: Encore ?! Mais combien de fois il va falloir te dire que ce n'est pas de ta faute ? 
     
    Raf: ....je me sens coupable quant même...
     
    Sulfus: (qui a entendu leur conversation) ... (se tourne vers elles) Raf... Arrête... 
     
    Mince... Il nous a entendu. Il s'approche de moi, Saï s'écarte sur le côté pour le laisser passait. Il s'arrête à quelques centimètres de moi, et fait glissé ses mains chaudes le long des mes épaule, mes bras, puis mes mains. Il me regarde dans les yeux, mais je fuis son regard. Je sens ses mains se posé délicatement sur mes joues, il colle son front au miens et me sourit en me disant "Arrête de t'en vouloir comme ça..." mais je n'y arrive pas. Je baisse le regard... Mais d'un coup je sens deux mains m'attraper et me soulever ! C'est Sulfus qui me porte comme une mariée... Je le regarde, il me sourit d'un sourire de coin. 
     
    Raf: Mais qu'est ce que tu fait ?! 
     
    Sulfus: Mon ange est toute triste, et je déteste la voir comme ça alors va falloir amélioré tout ça ! 
     
    Raf: Et me porté changera quoi ? 
     
    Sulfus: Pas grand chose à moins que tu efface tes idées noires de la tête ! Parce que la tu n'est plus méchante mais déprimante... 
     
    Il me regarde avec une bouille de malheureux et de grand yeux... Il essaye de me faire sourire, et il va pas tardé à réussir. Je peut pas lui résister quant elle me regarde avec des têtes qui ne lui ressemble pas. Je commence à sourire mais je détourne la tête mais il m'a déjà vu.
     
    Sulfus: (en rigolant) Aah...pas la peine de tourné la tête t'a sourit ! x) Allez au lieu de caché ton sourire fait le moi voir. (essaye de faire tourné la tête de Raf)
     
    Raf: (les deux mains sur son visage) Arrête ! x) (retire ses mains) Bon voilà t'es content ? 
     
    Il éclate de rire et m'embrasse la joue. Il me repose sur le sol et m'ébouriffe les cheveux j'essaye de l'arrêter mais il a plus de force que moi ! Et le pire c'est qu'il n'arrête pas de rigoler! Je crois qu'il est d'humeur à m'embêter maintenant ! Il s'arrête et passe son bras autour de mon cou et commence à avancer ce qui m'oblige à avancer aussi. Je le regarde, il tourne la tête vers moi en me souriant. Finalement, je me sens mieux... Sulfus est vraiment la seule chose dans ce monde qui peut me faire changer d'humeur... C'est... L'homme de ma vie...
     
    ..... 
     
    Ça fait quelques heures qu'on marchent tout les quatre. Mais rien n'a changer du décore mais d'un côté nous avons l'habitude maintenant dans le sentier avec tout ces endroits interminables à franchir. D'un coup alors qu'on passe sous un mini pont de pierre. Un bruit sifflant remet tout nos sens en alerte on regarde tous autour de nous puis une fumée rose pâle sortie de nul part nous envahis. Je commence même à perdre les autres de vu.
     
    Sulfus: Qu'est ce que c'est que ça ?!
     
    Saï: J'avais oublier cette épreuve ! 
     
    Tyco: Raf ! Sulfus ! Surtout ne vous laissez pas..... 
     
    La fumée les as complètement enveloppé ! Tyco n'a pas eu le temps de finir sa phrase... Je ne vois plus personne et surtout je n'entend plus personne. Je commence à courir partout et a crié leurs prénoms, je ne sais même plus de quel sens on est arrivé, ce brouillard rose m'empêche totalement de me repairé. Mais qu'est ce qui se passe à la fin ? Je n'arrête plus d'appeler Sulfus. Puis soudainement au milieu de cette panique et de ce brouillard rose j'aperçois des cheveux bruns bleuté... Sulfus ! En regardant bien je vois que c'est bien lui. Il y a au moins une vingtaine de mètres qui nous sépare. Quant il me voit à son tour, je cris son nom et il fait pareil. Je courre vers lui et il courre vers moi. Puis soudainement sans savoir pourquoi, lui et moi on s'arrête de courir et on reste à se fixé... Il y a plus que 5 mètres qui nous sépare... Je le regarde de la tête au pied et il fais de même... 
     
    C'est drôle... Rien ne semble avoir changer sur lui mais... Je sais pas... Et puis quelle importance ? Je continue de le regarder. D'abord normalement puis profondément... Plus je le regarde et plus je me rend compte à quel point il est beau... C'est vrai non ? Il n'est pas magnifique ? Ses cheveux bruns qui lui tombe devant le visage... Ses yeux perçant... Son corps fin et musclé là où il faut... Je regarde son visage ses lèvres... Je reste un long moment fixé sur ses lèvres. J'ai envie de l'embrasser... En plus il embrasse si bien... Et c'est pourtant tellement rare qu'on s'embrasse... Pourquoi d'ailleurs ? C'est vrai qu'est ce qui nous retient ? Mais rien à vrai dire... Je me met à sourire. Je suis bête c'est pour gardé l'étincelle entre nous... Si on s'embrasse tout le temps ça deviens banal ! Mais oui c'est ça, qu'elle idiote... Je suis presque en train rire.  
     
    Sulfus me regarde aussi avec un regard absent, en faite il doit pensé à la même chose que moi. Pourquoi on ne s'embrasse jamais pourtant on s'aime tellement... Il fait un pas vers moi et je me rapproche de lui en marchant. L'amour, l'envie et le désire de l'embrassé s'empare de moi. Je le regarde avancer lui aussi, il est si beau. Quant on arrive à quelques centimètres l'un de l'autre je pose mes deux mains sur son torse, la chaleur de son corps traverse le tissu de son vêtement. Sulfus pose ses mains sur mes hanches et les remonte doucement jusqu'en haut de mon dos, sous mon haut. C'est sensuel. La chaleur de ses mains posé sur mon dos me fait frissonné, mais c'est tellement agréable.... 
     
    Je lève mes bras doucement et il me retire mon haut qu'il jette aussitôt parterre. Il caresse mon épaule droite par dessus le bandage qu'il m'a fait puis m'embrasse le cou en descendant vers ma poitrine lentement. J'enroule mes bras autour de lui que je descend en bas de son dos. J'agrippe le bas de son haut avec mes deux mains et je le remonte lentement, quant son haut est remonté jusqu'en haut de son dos, il s'écarte légèrement de moi, pour le retiré, puis le jette parterre comme le miens. Je repose les mains sur son torse mais cette fois-ci il n'y a aucun tissu seulement sa peau, chaude, lisse et ferme... J'embrasse le torse de Sulfus en remontant jusque dans son cou, lui me caresse le dos avec ses mains bouillante. 
     
    L'envie monte de plus en plus entre moi et Sulfus, il m'attrape les bras et me plaque contre un mur... Je regarde le mur gris qui est légèrement brouillé par ce brouillard rose...Mais c'est jolie ça me met de bonne humeur. Je sourit en voyant tout ça pendant que Sulfus m'embrasse le cou, il s'arrête doucement et me regarde dans les yeux il est tellement beau et attirant, je vois son bleue qu'il a sur le côté droit de son visage... Je passe mes deux mains dans ses cheveux et j'attire sa tête vers moi, mes lèvres caresse son bleue pendant qu'il descend sa tête vers ma poitrine qu'il embrasse chaudement. Mes cheveux s'hérisse sur ma nuque... Avec ses mains Sulfus parcours mon dos délicatement jusqu'en bas, il semble même vouloir allez plus loin. Mais il se contente de gardé ses mains en bas de mon dos à la limite de mon short... 
     
    Il s'arrête d'embrassé ma poitrine et remonte jusqu'à mon visage. Ses lèvres sont entre-ouvertes comme les miennes, il penche sa tête légèrement sur le côté et rapproche son visage du mien. Je pose ma main droite sur son cou et l'autre sur son torse. Nos visages ne sont plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre, je ferme mes yeux... Mes lèvres n'attendent plus que celles de Sulfus. Je sens ses lèvres effleurée les miennes... 
     
    AFS.Raf et Sulfus tentation
     
    Soudain... Doucement... Une drôle de sensation me submerge... J'ouvre mes yeux lentement. Sulfus à les yeux fermés et, s'apprête à posé ses lèvres sur les miennes pour m'embrassé. Qu'est ce qu'on fabrique ? On ne peut pas... Je pose mes mains sur ses épaules et le repousse doucement... 
     
    Raf: Sulfus... Stop... On ne doit pas faire ça..
     
    Sulfus: (à moitié endormis toujours élancé pour l'embrassé) Hein..?
     
    Ses yeux sont à moitié fermés, sa bouche et ses lèvres sont toujours prêtent à m'embrassé et il semble complètement ailleurs comme si on l'avait drogué. Il fini par ouvrir les yeux pour me regarder, d'un regard qu'il aurait si il viendrait de se réveillait. Il se redresse lentement en posant sa main sur son front. Il me regarde bizarrement, visiblement il ne comprend pas ce qui se passe. 
     
    Sulfus: Qu'est ce que... Pourquoi j'était sur le point de t'embrassé ? Pourquoi je nous est à moitié déshabillé ? Qu'est ce qui nous a pris ? 
     
    Raf: Je ne sais pas... Je... 
     
    ...: Raf ! Sulfus ! 
     
    On regarde tout les deux en direction de la voix qui nous appel, je la reconnais c'est celle de Saï. Elle fini par apparaît au milieu de se brouillard avec Tyco, ils s'approchent tout les deux de nous mais ils sont encore loin.
     
    Tyco: Vous ne vous êtes pas embrassé j'espère ?! 
     
    Sulfus: Non... Mais presque... 
     
    Saï: Ouf... Ça aurait était une catastrophe sinon !... Heu... Raf...
     
    Ils arrivent vers nous, Saï me lance un regard, comme un code secret mais elle semble vouloir me dire que c'est urgent... Puis d'un coup je me rend compte que je suis en soutient gorge ! Je pousse un cris de panique en rabattant mes bras vers ma poitrine et je me cache derrière Sulfus. C'est peut être idiot d'avoir crié mais là c'est mon intimité ! Je suis sûre que je suis rouge comme une tomate... Quelle honte, devant tout le monde... 
     
    Sulfus: C'était quoi cette épreuve bizarre là...? 
     
    Tyco: Cette fumée rose contenait un genre de filtre d'amour très puissant. Mais pas un filtre qui vous fait tomber amoureux, mais qui provoque une forte attirance incontrôlable si les deux personnes s'aiment. 
     
    Saï: Ce qui est notre cas pour moi et Tyco ou pour veux deux. 
     
    Raf: (toujours caché derrière Sulfus) J'en est marre de se sentier et de ces épreuves sadiques ! T^T Deux fois en une journée qu'ils me font faire des choses que je ne contrôle pas ! T^T 
     
    Saï: Cette fois-ci moi et Tyco nous n'avons pas était incontrôlable car comme on le savais déjà on s'est contenté de résisté. 
     
    Tyco: Une chance vous ne vous êtes pas embrassé... 
     
    Sulfus: Pourquoi qu'est ce qui ce serait passé ? 
     
    Pendant que je me cache derrière Sulfus, j'écoute Saï lui répondre, en penchant ma tête sur le côté du bras de Sulfus pour la regarder. 
     
    Saï: Si vous vous serez embrassé vous aurez étais aspiré à l'endroit même où se passe la catastrophe que votre baiser aurez provoquer et vous aurez étais illiminé à l'intérieur....
     
    Sulfus: Et comment tu sais ça ? 
     
    Tyco: Quant on va continuer d'avancer on va tomber sur un mot écrit dans la pierre nous informant que nous avons réussi cette épreuve et à quoi on a échapper donc ça. 
     
    Sulfus: Mais c'est de l'arnaque ! Comment on pouvais le savoir qu'il ne fallait pas s'embrassé rien ne nous a prévenu ! 
     
    Saï: C'est le but, cette épreuve consiste à voir si vous gardé tout de même les idées en place et une logique. Et apparemment un de vous deux s'est réveiller avant de s'embrasser. 
     
    Sulfus: C'est Raf. Parce que j'étais encore en train de vouloir l'embrasser pendant qu'elle me disait d'arrêter... 
     
    Raf: (les bras autour de sa poitrine) Quel épreuve de tordus ! >~< 
     
    Saï se dirige vers nos hauts qui traînent parterre en rigolant elle ramasse le mien et s'approche de Sulfus et moi et me le tant. 
     
    Saï: Moi au moins la première fois j'étais seule avec Tyco... x) 
     
    Je prend mon haut en la remerciant et je le remet en un éclair ! Je peut enfin m'en allez de derrière Sulfus. Maintenant qu'il peut bougé puisqu'il ne me sert plus de cachette, il part ramasser son haut et le remet également. Même si j'ai récupéré mon haut, je suis toujours gêné mais surtout frustré par cette épreuve ! Je me demande vraiment qui est le ou les tordus qui ont créé se sentier ! Je croise les bras et j'avance pour continuer notre chemin. Sulfus arrive vers moi et me demande ce que j'ai. Je ne lui répond pas, trop énerver et embarrassé pour répondre. Il se met à rigolé. Je le regarde méchamment, c'est pas drôle du tout ! Non seulement j'ai l'air ridicule et en plus on a échappé à ça, de se faire tuer sans rien comprendre ! 
     
    Sulfus: (lève les mains en l'air) Houla ! Tu semble contrarié ! x) 
     
    Raf: Et pas qu'un peu ! 
     
    Sulfus: Allez calme toi, c'est pas grave, on a réussi ! En plus ça devrais être moi qui sois énerver, j'ai rien vu arriver ! C'est encore toi qui nous a sauver en te réveillant de l'emprise de cette fumée ! 
     
    Raf: Ouais... 
     
    Sulfus me prend dans ses bras et me secoue un peu en me disant "Aller c'est rien, mon ange !" puis il m'embrasse la joue. Je ne résiste pas longtemps à lui sourire et à lui ébouriffé les cheveux pendant qu'il m'embrasse la joue... Il relève sa tête en la secouant et en ricanant.
     
    Sulfus: Arrête ! x) 
     
    Raf: C'est toi qui a commencer ! xP
     
    Sulfus me sourit et passe son bras autour de mes épaules. Tyco et Saï eux arrivent vers nous en souriant également et on se remet tous en chemin, pour la suite de notre chemin. Que va-t'il encore se passé ? Ça je n'en est aucune idée. Mais tant que je suis avec Sulfus tout se passera bien. 
     
    À suivre...
     
    * * * * * * * * * * * *
    Bonjour, bonjour tout le monde ! ^w^ 
    Bon 1er mai ! *v^ 
     
    Alors comment avez-vous trouvez ce chapitre ? En tout cas j'espère que les épreuves vous on plut ! x) 
    Il faut dire que l'épreuves consacré qu'aux anges m'a donner du file à retordre car je n'avais pa trop d'idée puis j'ai pensais à un changement de coportement temporaire ! °w° Et ça à donné ça ! x) 
    Mais je pense que vous avez surtout aimez l'épreuve du brouillard rose, surtout les fans de Raf et Sulfus ! *U* 
    En tout j'espère que tout cela vous à plut et attendez vous à une suite très bluffante ! Vous ne serez pas déçu ! ^w* 
    Sur ce passez une très bonne fan de journée et laissez moi un p'tit commentaire au passage ! Bisous ! ^3^ 

    8 commentaires

  • Chapitre 7: Rencontre inattendu

    Par AngelsFriendsStyle le 12 Avril 2015 à 00:37
    fanfic 3 chapitre7
     
    Rencontre inattendu
     
    Sulfus: Non, Stefanie continue des études approfondis à l'académie d'argent, et Steffi elle en est toujours à ses stages d'apprentis démons gardiens dans la même école que Stef. 
     
    Raf: C'est pour ça que je ne les est jamais vu. (trébuche sur la glace) Ah!
     
    Sulfus: (la rattrape) Fait attention, ne va pas te cassé quelque chose. (sourit) 
     
    Raf: (sourit) Merci. 
     
    Raf et Sulfus étaient tout le deux en train d'avancer dans les crevasses, mais ils étaient arrivés dans un coin où des grandes parties de parois s'étaient écroulés sur leur chemin. Cela formé presque des murs de plusieurs mètres de haut, heureusement pour eux, cela formé aussi une pente ce qui leur permettaient d'avancer en escaladant cette pente. Ça ne posé aucun problème à Sulfus mais Raf avait un peu plus de mal à cause de son épaule. Par moment elle trébuché sur les morceaux de glace mal empilé, c'était difficile pour elle d'enjambé tout ça avec des talons. Elle avait remis son haut et la couverture était enroulée autour de ses épaules, ainsi elle avait moins froid. À chaque pente de glace qu'ils traversaient, il marchaient de nouveau sur un sol plat jusqu'à qu'une autre pente de glace se présente à eux. Ce schéma se représenta 7 fois. Quant ils arrivèrent à la moitié de la 8ème pente, il entendirent un bruit sourd. 
     
    Au début petit, au point de se demander s'ils n'avaient pas rêvés et imaginés ce bruit. Puis le bruit perça dans le lointain en un cris de douleur. De pure douleur comme si on torturé quelqu'un avec des objets de tortures. Raf et Sulfus se figèrent. Qui pouvait bien crier comme ça ? Ils pensèrent toute suite la même chose:
     
    Raf et Sulfus: (en se regardant) Notre agresseur ? 
     
    Raf:.... Qu'est ce qu'on fait ? Tu crois que c'est elle ? 
     
    Sulfus: ...On va voir ! 
     
    Raf: Tu es sûre ? 
     
    Sulfus: De toute façon c'est sur notre chemin. Autant allez voir ! De toute façon cette fois-ci, si c'est elle, je l'explose d'entré ! 
     
    Raf: Très bien, allons voir ce que c'est ! 
     
    Ils commencèrent à descendre la petite pente, Sulfus aida Raf à descendre comme elle avait du mal à descendre. Une fois en bas de la pente, ils avancèrent vers le bruit d'un pat rapide, plus ils se rapprochaient, plus le bruit était fort. Les cris et les lamentations venaient bien de la voix d'une femme. Raf sentit son estomac se tordre. La personne qui lui avait fait du mal avec aucune pointe de pitié était en train de crié et même pleuré de douleur ? Que se passait t'il ? Les cris persisté en se transformant en sanglot. Raf ne savait pas pourquoi mais tout ça lui faisait de plus en plus peur. Sulfus commença à courir et Raf fit de même: ils voulaient enfin savoir qui et pourquoi crié autant. Quant ils comprirent qu'au prochain virage, ils tomberaient sur la personne qui crié, Sulfus serra les poings et du feu les entourés: prêt à bondir en cas de danger. 
     
    Ils tournèrent à l'angle des murs de tout leurs élans prêt à enfin découvrir qui crié comme ça. Quant ils découvrirent enfin, ils se stoppèrent tout les deux, les yeux écarquillés. Ils leurs fut un moment pour comprendre la situation, ils étaient choqués. Choqué de les voir. C'était eux. Tyco et Saï. Réellement. Ça sembler à la fois impossible et possible. Mais la situation dans laquelle ils étaient ramena vite Raf et Sulfus à la réalité. Saï était enseveli sous d'énormes morceaux de glace, seulement sa tête, ses bras et le haut de son buste n'était pas écrasé par la glace. C'était donc ça les cris et les pleurs qu'ils avaient entendus. Tyco se tenait à côté d'elle en lui tenant les mains. 
     
    Saï: (en larme) Tyco j'en peut plus !! 
     
    Tyco: Accroche toi, je vais réessayais ! 
     
    Saï: Non, ça fait trop mal ! Et ça ne sert à rien...
     
    Sulfus et Raf coururent vers eux, Tyco se retourna quant il les entendis prononcé son prénom. Saï les regardaient avec des yeux de chien battus pendant que Tyco écarquillait les yeux en voyant Raf et Sulfus. 
     
    Tyco: Raf ? Sulfus ? Qu'est ce que vous faite là ? 
     
    Sulfus: On traverse le sentier! Quelle question ! 
     
    Raf: (en regardant Saï) Qu'est ce qui s'est passer ? 
     
    Tyco: On avancé calmement jusqu'à ce que les parois se sois écroulés, Saï s'est fait piégé par l'éboulement. Et je n'arrive pas à la dégagé ! 
     
    Sulfus: T'a essayer de la tiré ?
     
    Tyco: Oui, bien sûre. Mais sa jambe est bloqué entre plusieurs morceaux de glace, ce qui lui fais plus mal qu'autre chose... 
     
    Sulfus: Et de retiré la glace au dessus d'elle ?
     
    Tyco: Oui, mais ils sont trop lourd, et quant je les lèves de quelques centimètres ils écrasent la cheville de Saï ! C'est trop dangereux pour sa jambe ! 
     
    Sulfus: (réfléchis) ... J'ai peut être une idée mais ils va falloir faire vite. 
     
    Tyco: Je t'écoute. 
     
    Sulfus: On va se mettre chacun d'un côté et soulevé entièrement le bloc. Comme ça il n'y aura pas un coin du bloc qui écrasera sa cheville puisque qu'on ne le soulève pas que d'un seul côté. Et comme ça Saï pourra se hissé hors de la glace. 
     
    Tyco: Ça vaut le coup d'essayer. 
     
    Saï: (gémit) Je vous en supplie, faite vite ! 
     
    Tyco: Très bien ! On y va ! 
     
    Sulfus et Tyco se mirent chacun d'un côté du bloc de glace qui écrasé la pauvre Saï qui se trouvait au milieu de eux deux maintenant. Ils saisirent chacun de leur côté le dessous du bloc et commencèrent à le soulevé de toute leur force. Pendant les premières secondes rien ne se soulevé malgré leur effort pour le retiré. Puis au bout de quelque seconde à forcé le bloc commença à se soulevé d'une dizaine de centimètres. Saï en profita pour essayer de se dégager tant bien que mal. Il fallait qu'elle se dépêche car les garçons pouvaient très bien lâcher le bloc avant qu'elle s'en aille. Mais elle avait du mal à se hissé hors de là dessous. Raf arriva vers elle et lui saisit les deux poignets, et la tira vers elle de tout son poids malgré la douleur dans son épaule. Une fois Saï complètement sortie de la-dessous, Raf s'agenouilla près d'elle en regardant les garçons. 
     
    Raf: C'est bon! Vous pouvez lâchez ! 
     
    Ils lâchèrent aussitôt le bloc parterre. Raf aida Saï à se redresser pour s'assoir, cette dernière la regarda avec un regard remplis de gratitude et l'a remercia puis tourna la tête vers Tyco et Sulfus qui arrivèrent et s'assirent près d'elle.
     
    Saï: (essoufflé) Merci... 
     
    Tyco: (lui caresse la joue) Ça va ? 
     
    Saï: (acquiesce faiblement) Mieux maintenant. Mais ma cheville me fait mal... 
     
    Raf: Ne vous inquiétez pas pour ça, on a ce qu'il faut pour soigné. Sulfus à un pouvoir fait pour ça, et j'ai pleins de matériel de soin. 
     
    Tyco: (assis derrière Saï et enroule ses bras autour des ses épaules) Merci beaucoup. 
     
    Saï: (dans les bras de Tyco) Alors.. C'est vous Raf et Sulfus ? 
     
    Raf et Sulfus: (acquiesce) 
     
    Saï: Tyco m'a beaucoup parlait de vous. (sourit) Et il a raison, vous êtes des personnes très aidante. 
     
    Raf: On n'allais quant même pas vous laisser coincé là-dessous. ^^ 
     
    Saï: (ricane) Oui.. Mais tu peut me tutoyer Raf. Je n'aime pas qu'on me parle avec le mot "Vous" c'est stressant. ^^
     
    Raf: D'accord Saï. ^^' On va s'occuper de ta cheville avant tout. 
     
    La cheville de Saï saignais et elle avait l'air d'être foulé. Pendant que Raf s'occuper de soigner Saï et lui faire un bandage bien serré, Tyco et Sulfus était tout les deux en train de parler tout en regardant plus loin au dessus des blocs de glace qui s'était effondrait. 
     
    Tyco: Je suis content, de vous revoir toi et Raf. Ça faisait longtemps.
     
    Sulfus: Oui, moi aussi. Ça fais déjà quelques années... 
     
    Tyco: Non ça doit seulement faire 1an qu'on s'est pas vu. 
     
    Sulfus: Ah non Tyco ça va faire presque 5 ans que vous êtes là-dedans. Il s'est passé énormément de chose depuis qu'on s'est vu. 
     
    Tyco: Tu es sûre ? Je n'est pas l'impression d'être rester ici 5ans... 
     
    Sulfus: Et pourtant... Ça fait bien 5ans... J'allais bientôt avoir 17ans quant on s'est vu la dernière fois et maintenant j'en est 21. 
     
    Tyco: (étonné) Vraiment ?! 
     
    Sulfus: (acquiesce) heu..oui.
     
    Tyco: C'est étrange... Car pour moi le temps n'a pas passer aussi vite..enfin je veux dire j'ai l'impression que ça fais à peine 1an que je suis là... 
     
    Sulfus:... À moins que le temps ne s'écoule pas de la même manière dans le sentier et la réalité. Peut être que 1ans ici ça fais 5ans sur terre ? 
     
    Tyco: Peut être. Ça expliquerait pourquoi il s'est passer autant de temps de votre côté et beaucoup moins pour nous. 
     
    Sulfus: Ouais.. Donc moi et Raf... ça doit faire une semaine qu'on est dans le sentier... Du coup sur terre.. Wooo...(se gratte la tête) Pour les autres ça doit déjà faire un moment qu'on est partit...  
     
    Ils restèrent comme ça à réfléchir et penser sur ça. Puis ils retournèrent vers Raf et Saï. Tyco et Saï semblaient plutôt faible, pâle, et maigre, Raf leur proposa de manger un peu. Avec un peu d'hésitation ils acceptèrent après que Raf est insisté et leur ai dit que ça ne les gênés pas à elle et Sulfus. Ils s'étaient assis tout les quatre en rond avec un feu au milieu d'eux pour se réchauffé, et mangèrent ensemble pour reprendre des forces et se reposer un peu. Sulfus et Tyco expliquèrent à Raf et Saï ce qu'ils avaient "découvert" sur le temps qui s'écoule différemment entre le sentier et la terre. Elles étaient plutôt étonné mais avec tous ce qu'elle avaient déjà traversaient ce n'était pas la chose la plus incroyable à leur yeux. Puis Raf et Sulfus expliquèrent à Tyco et Saï tous ce qui s'était passé depuis 5ans, l'attaque de Skarcia, ensuite Kubral et Casssdi avec l'aide de Blue, et enfin Skar... Tout leurs problèmes et joie. 
     
    Raf: Et cette année... (regarde Sulfus avec un p'tit sourire) Sulfus m'a demander en mariage. (fait voir sa bague à Saï) Et depuis nous traversons le sentier. 
     
    Saï: Woua, elle est magnifique ! 
     
    Sulfus: Et vous alors ? Comment ça se fait que vous êtes dans les Crevasses Gelées ? Alors que Saï avait était obligé de rester vers la fin ? 
     
    Saï: Quant Tyco à était obligé de partir, je me suis retrouvais seule, et je n'avais pas vraiment le choix. Mais après quelques jours l'endroit dans lequel j'étais a rouvert un passage qui m'a permise de revenir en arrière. J'avais l'espoir de retrouver Tyco ! Il m'a fallu beaucoup de temps pour revenir en arrière, c'était long et difficile mais j'ai fini par revenir au Crevasses Gelés et c'est là que j'ai retrouver Tyco ! C'était un instant merveilleux. Je me sentais tellement seule dans se sentier... 
     
    Tyco: C'était pareil pour moi quant j'ai retrouver Saï.. (sourit) Et depuis nous sommes dans ces crevasses, car nous ne trouvons plus la sortie ou l'entrée.. Je crois que nous avons perturbé le sentier à revenir en arrière moi et Saï. Jusqu'à ce que les crevasses se mettent à bouger dans tout les sens il y a quelques heures. C'est sûrement le fait de votre présence qui a causer tout ça. Vous avez sûrement remis les crevasses dans "l'ordre"... 
     
    Raf: Tant mieux alors, non ? 
     
    Saï: Oui, car on va peut être enfin trouver la sortie, pour arriver à l'épreuve suivante. 
     
    Sulfus: C'est quoi l'épreuve suivante ? 
     
    Tyco: ... Je ne préfère pas en parler pour l'instant vous le découvrirez bientôt.
     
    Raf: En faite Tyco... Tu n'a pas eu trop de mal à refaire le sentier seul ? Avec le dragon, les loups, le cobra, les araignées ? 
     
    Tyco: Non car je savais déjà tout ce qu'il y avait, à quoi m'attendre et comment les battre. Par contre je n'est pas vu de cobra. 
     
    Sulfus: T'es sûre ? Tu n'en a même pas aperçu un ? 
     
    Tyco: Non pas du tout.
     
    Raf et Sulfus: (se regarde)...
     
    Saï: Pourquoi vous lui demandez ça ? 
     
    Raf: Ça deviens encore plus étrange cette histoire de cobra... 
     
    Sulfus: Ouais... Juste comme ça... Est ce que vous avez vu une personne plutôt étrange, qui porter une grande cape noir avec une capuche qui lui cacher son identité ? 
     
    Tyco: Vous l'avez vu vous aussi ?! 
     
    Sulfus: Pour l'avoir vu, on l'a vu, elle a tiré sur Raf ! 
     
    Saï: (écarquille les yeux) Vraiment ? 
     
    Raf hocha la tête en faisant glissé sa couverture de son épaule droit pour leur montré le bandage qui dépasser de son haut. 
     
    Tyco: Nous elle ne nous a rien fait... On l'a même croisé.. Elle nous a vu mais elle a tracé son chemin sans rien dire sans nous regarder... C'était trop étrange. Au début on croyais qu'on avais rêver, tellement on tourné en rond dans ce labyrinthe mais on s'est dit que c'était pas possible puisque nous l'avons vu tout les deux. 
     
    Raf: (inquiète) Sulfus je suis sûre que cette personne en à après nous. C'est pas normal... 
     
    Sulfus: (reste silencieux).... 
     
    Saï: En tout cas maintenant vous êtes avec nous, vous serez moins exposé aux dangers. 
     
    Raf: Pourquoi ? 
     
    Sulfus: Bah, on est plus seulement 2, on est 4 maintenant on forme un groupe en cas de danger on est plus nombreux pour s'aider et se protéger. (sourit) 
     
    Raf: (sourit) Mais oui c'est vrai ! Je me sens rassuré d'un coup ! 
     
    Saï et Tyco: (sourit) 
     
    Pendant ce temps sur terre, à l'académie d'or, Kiara, Miki et leurs deux petits amis était dans la chambre de ces deux derniers en train de jouer aux cartes ensemble tout les 4. Ils étaient plutôt de bonne humeur.
     
    Kiara: (lance un regard à Peter) ...
     
    Peter: (lui renvois son regard en souriant) ...
     
    Kiara et Peter: Double Kem's !! 
     
    Kiara: Ouiiiii !! 
     
    AFS.Kiara, Peter, Miki et Max
     
    Max: Encore ? ÔwÔ 
     
    Miki: Vous êtes vraiment fort à ce jeu ! C'est la troisième fois que vous faite un double Kem's ! *°*
     
    Peter: (à Max) Tout est dans le regard mec ! 
     
    Kiara: On fait une autre partie ? *v* 
     
    Miki: Oui. ^^ (mélange les cartes) 
     
    Peter: Au faite... Ça fait presque 2 mois que Raf et Sulfus sont partit non ?
     
    Kiara: Oui... Ça commence à faire long, je trouve... 
     
    Miki: (en mélangeant les cartes) Trop long... Surtout qu'on a aucun moyen d'avoir des nouvelles d'eux, on sais pas ce qu'ils deviennent...
     
    Max: J'espère juste qu'ils ne sont pas à court de provision. Le sac que Urié leur a donné dois être vide depuis presque 2 mois. 
     
    Miki: Je n'en sais rien.... 
     
    Petit silence. 
     
    Peter: Bon. On va arrêter de parler de ça, car on est en train de se cassé le moral. 
     
    Kiara: Tu as raison... Allez commençons la partie ! ^^ (cache son inquiétude) 
     
    Ils jouèrent de nouveau. Une petite demie heure plus tard, ils arrêtèrent et décidèrent d'allez se couché il était presque minuit. Miki était partis avant Kiara pour rejoindre la chambre qu'elle partagé avec Dolce. Elle avait embrassé Max après lui avoir dit que c'était dommage qu'à l'école leur droit de dormir ensemble n'était plus possible. Max avait rit en lui disant qu'il était pressé de terminer cette semaine de stage approfondis pour retourner chez eux.  Kiara elle, dormait dans la même chambre que Urié puisque Raf n'était plus là. Elle n'était pas partit avec Miki car Peter voulait lui parler avant qu'elle parte se couché. Ils sortirent tout les deux de la chambre laissant Max seul, pour discuté un peu. Ils marchèrent le long des couloirs pour se rendre à la chambre de Kiara. 
     
    Peter: Ne t'inquiète je suis sure qu'ils vont bien. 
     
    Kiara: Et comment tu peut en être sûre ? Tu les vois pour le dire ? Non. 
     
    Peter: (soupire) Je sais, mais tu es mieux placé que moi pour savoir que Raf et Sulfus se sont toujours débrouillaient pour se sortir des mauvaises situations. (souris) 
     
    Kiara: Oui, mais là c'est différents. Le sentier est un véritable mystère. On ne sais pas du tout à quoi s'attendre en y mettant les pieds. C'est ce qui m'inquiète. 
     
    Peter: Écoute... 
     
    Peter pris la main de Kiara et s'arrêta de marchait ce qui poussa cette dernière à s'arrêter également. Elle leva la tête vers lui pour le regarder dans les yeux, il lui sourit pris son visage entre ses mains et l'embrassa tendrement. Kiara répondit à son baiser d'une tendresse irréel. Puis au bout d'une minute ils s'écartèrent l'un de l'autre pour reprendre leur souffle.
     
    Peter: Il faut que tu sois patiente et que tu leur fasse confiance. Ça prendra peut être du temps, mais un de ses jours, tu verra Raf et Sulfus revenir ici, sous la forme d'humain mais cette fois-ci, ils le seront vraiment. (sourit) 
     
    Kiara: Je sais... Mais c'est pas ça... J'ai un mauvais pressentiment. Très mauvais. Comme-ci quelque chose de très dangereux suivez Raf et Sulfus... Quelque chose qui ne fait pas partie du sentier... 
     
    Peter: De quel genre ? 
     
    Kiara: J'ai eu comme une vision, des flash.. Avant la rentrée. Mais je pensais que ce n'était seulement qu'un rêve bizarre, rien de plus. Jusqu'à ce que Raf me dise qu'elle et Sulfus allaient traversaient le sentier... 
     
    Peter: Pourquoi ? 
     
    Kiara: Dans cette vision, j'ai vu Raf parterre qui semblé avoir mal. J'ai vu une étrange femme qui portait une cape, elle était diabolique... Elle manipulé des armes. Je voyais du sang partout sur un parterre de pierre dans un autre flash. Raf et Sulfus courir. Une collier étrange dans la main de cette femme, ainsi qu'une boule de crystale. Des rires, des cris, des pleurs... Et un coup de feu. 
     
    Peter: Et...
     
    Kiara: Et c'était dans le sentier...
     
    ..... 
     
    Sulfus: T'ai sûre que c'est par là ? 
     
    Tyco: (enthousiasme) Oui, je m'en rappel ! S'ayez on approche de la sortie ! 
     
    Sulfus: (grand sourire) Génial ! 
     
    Raf: (essoufflé) Les garçons, c'est super de s'approcher de la sortie mais vous ne voudrez pas ralentir le rythme un peu j'ai du mal à vous suivre...
     
    Saï: (grimace) Je suis bien d'accord avec Raf.. Arrêtez de courir, pensez à ma cheville et l'épaule de Raf ! 
     
    Tyco et Sulfus s'arrêtèrent de courir et se tournèrent pour regarder Raf et Saï qui venaient de s'arrêter complètement essoufflé, quelques mètres plus loin derrière eux. Sulfus s'élança pour rejoindre Raf.
     
    Sulfus: (arrive vers Raf) Excuse-moi ma princesse, à quoi je pensez ? (passe son bras délicatement autour des épaules de Raf) Ça va ? Tu n'a pas trop froid ? 
     
    Raf: (le regarde) Heu non.. Ça va. Qu'est ce qui t'arrive d'un seul coup ? C'est pas que tu n'est pas intentionné d'habitude, mais là... °^° 
     
    Sulfus: Non, c'est juste que je pète la forme ! Et qu'on se rapproche de la sortie ! 
     
    Raf: Ah... ^^' 
     
    Saï: Je serais toi, je ne serais pas aussi enthousiasme... La suite n'est pas mieux.. 
     
    Sulfus: Je m'en doute mais du moment qu'on se casse des Crevasses Gelées, moi ça me va ! 
     
    Saï: Et bien la suite va refroidir ton enthousiasme... Dans tout les sens du terme. 
     
    Raf: Qu'est ce que ça veux dire ? 
     
    Saï: Qu'on va se les gelés encore plus qu'ici ! 
     
    Tyco: En faite, c'est la dernière grande épreuve avant de sortir des Crevasses Gelées. C'est difficile, fatiguant et surtout saisissant à cause de la température glaciale, mais si moi et Saï avons réussi une première fois, on y arrivera encore une fois tout les 4 ensemble. 
     
    Sulfus: Très bien. Et c'est quoi exactement ? 
     
    Tyco: Un combat semblable à celui du dragon. Mais pas dans le même environnement bien sûre. 
     
    Sulfus: Ok, si ils veulent de la bagarre, il va en y avoir ! 
     
    Tyco: (sourit) Tient, toi prêt, ce combat est beaucoup plus difficile que le dragon surtout que tu aura beaucoup de mal à volé. 
     
    Sulfus: Je peux pas volé tout court, mes ailes sont gelées. 
     
    Tyco: Oui mais là-bas étrangement tu récupère un peu ta capacité à volé même si elle reste médiocre. 
     
    Sulfus: Bon de toute façon peu importe le combat, je vais tout donné et on va partir d'ici. 
     
    Raf: (retire la couverture de ses épaules) 
     
    Saï: Qu'est ce que tu fait ?
     
    Raf: Puisqu'il va faire encore plus froid et que c'est un combat autant que je m'habitue à la température maintenant et que je ne sois pas encombré de la couverture. (la range dans le sac que Sulfus porte à ça place) 
     
    Sulfus: Tu sais.. Raf... C'est peut être pas une bonne idée que tu te bat. Ton épaule est encore en sale état... Tu risque de te faire du mal. 
     
    Raf: Ça ira. Il faut bien passer cette épreuve ! 
     
    Sulfus: ouais...
     
    Ils continuèrent à marchaient en suivant Tyco, qui reconnaissais de plus en plus les environs. Puis enfin. La fin du dernier couloir donné sur une énorme grotte de glace qui était entièrement envahi d'un lac d'eau avec beaucoup de bloc de glace qui flottés à la surface. Il y avait seulement un tout petit chemin tout autour du lac pour marcher. Et également des genres d'escaliers sur les côtés pour monté sur des plateformes de glace en hauteur.
     
    Tyco: Nous y voilà. 
     
    Saï: Ça n'a pas changer...
     
    Raf: Et... On doit combattre quoi ? 
     
    Tyco: Il faut s'avancer pour que ça commence. 
     
    Ils s'avancèrent et sortirent totalement du dernier couloir du labyrinthe. Derrière eux un murs de glace se forma pour les empêchés de revenir en arrière. Un léger tremblement se fit ressentir sous leurs pieds. Une lumière bleu turquoise brillé sous l'eau de plus en plus fort. Raf et Sulfus étaient intrigué par ce qui se passé là-dessous et surtout voulaient savoir ce que c'était. Saï et Tyco eux savaient déjà ce qui allait se présenter à eux. Puis une énorme créature sortie de l'eau, elle était bleu clair comme de la glace. Sont corps était long et fin. Et deux têtes terrifiantes avec une mâchoire et des dents plus que menaçantes. Cette créature était un serpent de mer géant en glace avec deux "tête de lion" en glace également. C'était même irréel: Comment une créature entièrement faite de glace avec deux têtes pouvait vivre ? Le corps de la créature baigner encore dans l'eau, Raf se demander combien de mètre pouvait mesuré cette créature. De plus leur corps partait en V à un certain endroit pour que chaque tête ait un cou pour bougé librement. Cette fois, Raf en était sûre, elle n'avait jamais vu un truc pareil ! 
     
    Serpent: Nous sommes les gardiens des Crevasses Gelées. Présentez vous. 
     
    Les deux têtes parlaient en même temps, leur voix ressemblés à un échos.
     
    Tyco: Je m'appelle Tyco et avec moi, il y a Saï, Sulfus et Raf. 
     
    Serpent: Bien, si vous, voulez continuez votre chemin et sortir des Crevasses Gelées, vous devraient réussir à nous battre. Si vous échouez, vous deviendrez des statues de glace pour toujours. 
     
    Raf frémis. Des statues de glace, pour toujours. Ce défis semblé tellement dur à gagner, et pourtant perdre n'était pas une option. Si ils perdaient c'était fini pour de bon pour eux. Sulfus glissa sa main dans la sienne et la pressa. Il se pencha à son oreille.
     
    Sulfus: Ça va allez. T'inquiète pas. 
     
    Raf: (acquiesce)
     
    Ils se lancèrent tout les 4 un regard entendu et Tyco déclara qu'ils étaient prêts. Le serpent à deux têtes se redressa et poussa un crie qui signalé le commencement du combat. 
     
    Tyco: (à Raf et Sulfus) Bon écoutez, vous n'y échapperez pas: On va tous finir dans cette eau gelée. Mais je sais comment le battre. Saï et Raf contentez-vous de vous protégé et d'affaiblir et d'occuper se serpent. Toi Sulfus tu va m'aider à le battre. 
     
    Sulfus: Ça marche! 
     
    Tyco: Allez c'est partie ! 
     
    Les deux têtes du serpent foncèrent vers eux. Ils esquivèrent tous en partant sur les cotés, Saï et Tyco d'un côté et Raf et Sulfus de l'autre. Les deux têtes frappèrent le sol sur lequel ils étaient avant de partir. L'impact avait déclenché une secousse qui avait presque fait tomber Raf dans l'eau avant que Sulfus la rattrape. Le sol commença à se brisé à cause du serpent. Ils coururent sur le chemin qui se brisé derrière eux jusqu'à Saï et Tyco qui couraient aussi pour ne pas tomber dans l'eau. Une chance pour eux, un des escaliers était présent juste là, ils montèrent pour allez sur les plateformes plus haut. 
     
    Tyco: Bon écoute Sulfus, se serpent est très puissant, mais le fait qu'il est deux têtes ne le rend pas plus intelligent. Il est complètement débile. Le meilleure moyen de le battre est d'embrouiller ses deux têtes et de frappé très fort quant c'est le moment ! 
     
    Sulfus: Ok ! Je vois ce qu'il faut faire !
     
    L'une des têtes du serpent remonta vers eux et leur cracha des stalactites de glace sur eux, Sulfus et Tyco avait le temps de se jeté à plat ventre pour esquiver mais pas Saï et Raf. Saï attrapa le bras de Raf et l'entraîna avec elle dans le vide pour échapper aux stalactites, elle tombèrent dans l'eau gelé toute les deux. Raf fut saisie par la température glaciale de l'eau et la douleur dans son épaule s'était réveiller. Elle nagea du mieux qu'elle pouvait pour remonter à la surface. Quant elle y arriva enfin elle eu du mal à se repéré puis elle vit Saï un peu plus loin qui venait de remonté elle aussi. Saï nagea vers elle. 
     
    Saï: Raf ! Monte sur le bloc de glace à côté de toi ! 
     
    PDV de Raf 
     
    Je tourne la tête et je vois un assez gros bloc de glace flotté à côté de moi. Je nage malgré que je suis en train de congelé, et j'agrippe à deux mains le bloc de glace. Mais c'est froid et glissant à cause de l'eau, je glisse et je retombe encore dans l'eau. Je ressort de l'eau en prenant une grande respiration. J'essaye toujours de m'accrocher à ce bloc de glace mais je n'arrive pas à monté dessus je glisse, je coule, je m'épuise. J'ai l'impression que mes mains sont pleines d'écorchures à la force de glisser contre ce bloc de glace. D'un coup pendant que je peine à m'accrocher à se bloc une main me saisi la mienne et me fais monter sur le bloc. Saï.  Je lui adresse un petite sourir de remerciement. 
     
    Saï: Ça va ? 
     
    Raf: (en reprenant son souffle) Oui... 
     
    Saï: Il faut absolument qu'on.. ATTENTION !!! 
     
    Je me retourne, je n'ai même pas le temps de voir clairement la tête du serpent nous foncé dessus que nous sommes déjà projeter dans l'eau. Je cherche absolument à remonter à la surface mais je n'y arrive pas, j'ouvre les yeux pour voir où je suis dans l'eau et la je suis paralysé: Je vois la queue du serpent elle est gigantesque ! Plus longue qu'un immeuble ! Et le fond du trou d'eau et gigantesque aussi, je ne vois même pas le fond. Cette vision me terrifie ! Je veux juste remonter à la surface ! Soudain une queue de glace pousse sur le corps du serpent comme pour lui donner un bras. Et ce "bras" s'approche de moi et m'attrape me serrant très fort. Je pousse un cris sous l'eau ce qui me fait perdre tout mon air, puis le bras me remonte à la surface et me propulse hors de l'eau. Je retombe dans l'eau, j'ai même pas eu le temps de reprendre mon souffle que je suis de retour sous l'eau. Mes bras sont à bout de force à la force de les remuer dans tout les sens. Et mon épaule me déchire le bras a cause de la douleur... Puis je sens des mains me prendre par la taille et me remonter. Quant ma tête ressort de l'eau, je prend une énorme respiration, pendant qu'on me tire quelque part, je regarde par-dessus mon épaule droit: Sulfus. Il me tient fermement par la taille d'un bras et de l'autre il nage. 
     
    Sulfus: Raf, ça va ? 
     
    Raf: Qu'est ce que tu fait dans l'eau ?
     
    Sulfus: Je suis tomber, Tyco a raison on ne peut pas ne pas tomber dans l'eau se serpent est une calamité ! Et quant j'ai vu que tu n'arriver plus à remonter à la force d'être propulsé partout, je me suis dit qu'il fallait peut être venir t'aider. 
     
    Raf: (sourire faible) Peut être, oui. 
     
    On se dirige vers un coin de la grotte là où par chance un morceau du chemin ne s'est pas détruit. Je vois plus loin le serpent et ses deux têtes se battre contre Saï et Tyco. Quant on arrive au bord Sulfus me soulève pour me posé sur le morceau de chemin. Lui, il se contente de se tenir au bord.
     
    Sulfus: Ça va ton épaule ? T'a drôlement était secoué là...
     
    Raf: (ment) Oui, oui ça va t'inquiète pas.. 
     
    Sulfus: Ok... Bon il faut que je le détruit une bonne fois pour toute ! 
     
    Raf: Et comment du coup ? 
     
    Sulfus: En faite pour le battre il faut que les deux têtes, sois attiré par quelque chose qui se trouve à l'opposé, ainsi elle fonce toute les deux dans des directions opposés ce qui les bloquent à un moment puisque leurs coups se rejoignent en un seul corps. Si elles foncent trop vite chacune de leur côté, leur corps va se craquer puis c'est là que j'interviens: Avec de l'élan et mon pouvoirs de pulvérisation mêler à mon pouvoir du feu, je vais complètement les détruires et là on aura gagner ! 
     
    Raf: Tu pense y arriver ? 
     
    Sulfus: Ça va le faire ! Fait attention à toi maintenant ! 
     
    Il repart à la nage vers le serpent, il grimpe sur des blocs de glace pour sauter de bloc en bloc je le regarde faire avec admiration... Je suis complètement inutile... Lui il tient la route comme Saï et Tyco.. Moi je suis passer à la limite de me noyer sans rien pouvoir faire. C'est pathétique... Je me relève. Je dois les aider ! Il faut que j'arrête de servir à rien comme ça. Je saute sur un bloc de glace qui flotte près de moi par chance, je ne tombe, pas. Je tente de me rapprocher d'eux le plus vite possible. Saï attire l'intention d'une des têtes en hauteur sur une des plateformes en haut. Elle lui balance des boules de feu se qui a l'air d'énerver cette tête. Quant à Sulfus et Tyco ils essayent d'attiré l'autre tête mais elle se contente de les regarder en grognant on dirait qu'elle se méfie... Comme-ci elle se douté de ce qu'ils allaient faire... 
     
    Je m'approche de plus en plus, quant d'un coup la tête me regarde. Et elle me regarde vraiment elle est fixé sur moi. Et là elle me fonce dessus ! Je ne peut aller nul part pour lui échapper, je suis sur un tout petit bloc de glace. Elle ouvre sa gueule et me saisis par l'épaule droit. Une douleur insoutenable s'empare de moi quant ses crocs rentre dans mon épaule. Je hurle jusqu'à ce qu'elle m'entraîne sous l'eau. Je n'arrive pas à retenir ma respiration puisque je n'est pas pût en prendre une avant d'aller dans l'eau puisque je hurler. Je m'étouffe, j'avale de l'eau en essayant de respiré et mes poumons s'en remplisse, je suis en train de suffoquer, et cette douleur atroce dans mon épaule à cause des dents du serpent me font de plus en plus mal... 
     
    Fin du PDV de Raf
     
    Sulfus: RAF !!! (fonce , vole et saute sur plusieurs blocs de glace pour plonger au même endroit que le serpent et Raf) 
     
    Tyco: (en criant) Sulfus, va sauver Raf et fait en sorte que le serpent tire très fort on va l'avoir! 
     
    Sulfus: (sans se retourner) D'accord ! (plonge) 
     
    Sulfus plongea dans l'eau, il longea le cou du serpent pour atteindre sa tête le plus rapidement. Il chercher désespérément des yeux Raf, quant il vit un énorme nuage de sang dans l'eau, il fonça dedans il savait que c'était Raf qui saigner comme ça. Il avait peur de voir dans quel état il allait la retrouver, il nageait sans s'arrêter. Jusqu'à ce qu'il atteigne enfin la tête du serpent. C'est là qu'il vit Raf prisonnière dans la gueule du serpent, l'épaule mordu et maintenu par les dent de se monstre. Il compris rapidement que Raf avait perdu connaissance, il fallait faire vite. Il commença à cogner le serpent avec son poing en flamme pour tenté de lui faire du mal même sous l'eau pour qu'il ouvre sa gueule pour récupéré Raf. Mais le serpent ne réagissait pas il persistait à garder Raf dans sa gueule. 
     
    Sulfus commença à manquer d'air mais il continuer à frappé, il fallait qu'il sauve Raf ! À la force de frappé le serpent de glace ses poings était à vif, il saigner... D'un coup le serpent se stoppa et ouvrit sa gueule pour pousser un hurlement atroce, tout son cou se brisa en milliers d'éclats de glace, Sulfus compris que Tyco et Saï avait réussi. Le serpent se désintégra entièrement. Maintenant Sulfus devait vite s'occuper de Raf ! Il la chercha et la vit couler. Malgré qu'il commencer à vraiment manquer d'air il se mis à nager encore plus vers le fond pour récupérer sa bien aimer. Arriver à la hauteur de Raf il l'attrapa par la taille et remonta aussi tôt du mieux qu'il pût. Il fallait qu'il remonte vite, il commencer à se noyer lui aussi, et Raf c'était pire. 
     
    Après quelques longues secondes, à s'étouffé, il arriva enfin à la surface. Il pris une énorme respiration en crachant un peu d'eau et il nagea vite vers la rive où se trouver Tyco et Saï. Arriver au bord ces deux là, l'aidèrent à remonter avec Raf. 
     
    Sulfus: (en reprenant toujours son souffle) Merci... Ho.. (tousse) J'suis vidé. 
     
    Tyco: Tu t'es presque noyer !
     
    Sulfus: Ouais, mais j'avais pas le choix, Raf était au fond de ..... RAF ! (se jette parterre près d'elle) Raf ! Pitié ouvre tes yeux ! (la secoue) Non ! Non ne me fait pas ça ! Pas maintenant, pas ici ! Jamais ! (panique) Elle respire plus ! Elle respire plus! 
     
    Saï: Elle a du avalé de l'eau ! Il faut absolument la faire respiré, il n'est peut être pas trop tard ! 
     
    Sulfus: Oui mais comment ?! 
     
    Saï: Massage cardiaque, et bouche à bouche !
     
    Sulfus: Oui mais le V.E.T.O ?! 
     
    Tyco: Non tu peut le faire ! Sur vous il ne se passera rien! Quant vous vous toucher il ne se passe rien, c'est seulement quant vous, vous embrasser que ça provoque une catastrophe ! Le bouche à bouche ne rentre pas en compte ! 
     
    Sulfus: (paniquer) D'accord, bon bah, je vais le faire!... 
     
    Sulfus commença déjà par le massage cardiaque, Saï et Tyco s'agenouillèrent à côté de lui tout aussi paniquer de voir que Raf ne respiré plus. Après avoir essayer désespérément de la ranimé avec le massage cardiaque, Sulfus rapprocha son visage de celui de Raf, et commença le bouche à bouche... Il n'avait jamais vraiment fait ça, mais on lui avait déjà expliquer, et puis vu ça situation, il n'avait pas le choix de tout faire pour y arriver. Il s'arrêta et recommença le massage cardiaque puis le bouche à bouche et encore le massage cardiaque, il répéta cette action plusieurs fois sans s'arrêter. Raf ne réagissait toujours pas, il commença vraiment à avoir peur, Raf ne pouvait pas mourir, pas comme ça...
     
    Sulfus: Allez respire... Allez ! (plaque ses lèvres contre celles de Raf et recommence le bouche à bouche) ..... (s'arrête) Je t'en supplie Raf ! (recommence le massage) Allez !
     
    Raf: (crache de l'eau en reprenant une immense respiration) !!.... (inspire et expire)
     
    Sulfus: Raf ! (la serre dans ses bras) T'es vivante !.. 
     
    Raf: (en reprenant de grande inspiration faiblement les yeux presque fermer) Sulfus... 
     
    Sulfus: (la desserre de son étreinte et lui caresse les joues doucement) Vas-y respire... Respire... Respire mon amour... 
     
    Raf: (reprend toujours son souffle) On... On a réussi...? 
     
    Sulfus: (sourit) Oui, on a réussi... c'est fini.
     
    Il colla son front à celui de Raf en fermant ses yeux, leurs nez se touché et se frôlé, ils respiraient le même air... Sulfus souriait pendant que Raf prenait de petites inspirations rapides qui se ralentissaient au fur et à mesure que ses poumons récupéré de l'oxygène. Ses yeux était totalement fermer et elle sembler même avoir perdu connaissance une nouvelle fois. 
     
    Sulfus: Raf ? 
     
    Saï: Ne t'inquiète pas elle viens de reperdre connaissance mais cette fois-ci elle respire, elle est tiré d'affaire. (sourit)
     
    Tyco: (en donnant une tape à l'épaule de Sulfus) Bravo Sulfus ! Tu lui as sauver la vie, tu t'es super bien débrouiller ! 
     
    Sulfus: (sourit) Merci... (caresse une mèche de cheveux de Raf) J'aurais pus la perdre...
     
    Tyco: Ne t'inquiète pas la suite des épreuves est difficile mais pas aussi violante. 
     
    Saï: Et pour la suite, suite, Raf aura le temps de se reposé. 
     
    Sulfus: Ah oui ? 
     
    Tyco: Oui, enfin je pense. 
     
    Sulfus: Ça veux dire quoi ? 
     
    Saï: Il va y'a avoir une épreuve entre les Crevasses Gelées et le prochain monde, qui concerne que les anges. 
     
    Sulfus: Commença que les anges ? 
     
    Tyco: Tu as bien eu une épreuve réserver qu'aux démons à réussir ? 
     
    Sulfus: Hum.. Oui. L'eau bénite.
     
    Tyco: Et bien il y en a une que pour les anges. Mais peut être que je pourrais la faire seul comme la dernière fois, peut être que je peut évité à Raf de le faire. 
     
    Sulfus: Et c'est quoi l'épreuve ? 
     
    Saï: C'est plutôt sanglant. (prend le sac de Raf et Sulfus) Tu verra quant on y sera. 
     
    L'eau commença à faire des bulles et de la glace en sortie. Puis la glace commença à se former en un long bâton qui épaississais, Sulfus se demander ce qui se passer encore, puis la glace en question commença à se former de plus en plus comme le serpent... Mais c'était bien ça, le serpent de glace se reconstituer sous leur yeux. Une fois qu'il fut entièrement reconstituer, il regarder les quatre immortels ici présent pour accomplir leur rêve de vivre ensemble. Et approcha ses deux têtes d'eux. 
     
    Serpent: Vous nous avez battu. Vous avez gagner cette épreuve. Vous pouvez passez. 
     
    Les deux têtes du serpent lancèrent comme un laser de glace en haut de la grotte. Le dessus de la grotte se mis à fondre pour ouvrir un passage au dessus de leurs têtes, où un escalier de glace commença à apparaître en descendant vers eux. Il s'arrêta juste devant eux. Les deux têtes du serpent étaient chacune d'un côté et invité Tyco, Saï, Sulfus et Raf qui était inconsciente à monté. Tyco et Saï s'avancèrent et commencèrent à montés les escaliers. Sulfus pris Raf dans ses bras et les suivit. Ils montèrent jusqu'en haut. Une lumière blanche les aveuglé en haut de l'escalier, Sulfus fut obligé de plissé les yeux. 
     
    Une fois arriver tout en haut des escaliers et sortit du haut de la grotte, Sulfus regarda les environs, il en croyez pas ses yeux: ils étaient retourner dans le désert de neige dans lequel ils étaient avant d'être tomber dans les crevasses. Sauf que cette fois-ci il n'y avait pas de vent , ni de neige qui tomber. C'était plutôt calme, mais même trop calme puisqu'il n'y avait rien autour d'eux.
     
    Sulfus: C'est pas vrai ! On est de retour ici ! Je croyez qu'on quitter les Crevasses Gelées là ! 
     
    Tyco: On va les quitter. C'est juste qu'il faut marcher jusqu'aux rochers noirs là-bas. (pointe son doigt dans une direction) Tu les vois ? 
     
    Sulfus plissa les yeux, puis il vu au loin d'énorme rochers noirs, apparemment la sortie et la suite se trouvées là-bas. Il regarda Raf dans ses bras qui était toujours inconsciente. Son épaule droite saignée beaucoup à cause de la morsure du serpent, il le voyait au sang et aux trous sur le haut de Raf. Il tourna la tête vers Saï. 
     
    Sulfus: Passe moi la couverture dans le sac stp. 
     
    Saï: (lui donne) 
     
    Sulfus enroula la couverture autour de Raf, et la cala correctement contre lui pour la portée plus facilement. Non seulement il faisait froid mais Raf était trempé, il ne voulait pas qu'elle attrape froid, même si c'était peut être déjà le cas. 
     
    Sulfus: Bon allez perdons pas de temps, on se gèle ici. Vivement qu'on sorte. 
     
    Ils avancèrent sur un sol de neige blanc en direction des rochers noirs là où la suite de leurs épreuves les attendaient... 
     
    À suivre... 
     
    * * * * * * * * * * * *
    Bonjour à touuuus ! *v* 
    Alors après une petite attente de presque 1 mois je vous offre enfin le chapitre 7 ! °v°
    Donc quant j'ai commencer ce chapitre je me disais que le temps était venu de faire apparaitre Tyco et Saï dans l'aventure ! Donc j'espère que vous avez aimez leur apparition et que j'ai choisi le bon moment pour les faire venir  ! 
     
    Ensuite j'ai fais une petite apparition de Miki et Kiara avec leur deux petits amis: Max et Peter ! ^^ Cela faisait déjà un moment qu'il fallait que je les dessine pour vous montré à quoi ils ressemble donc c'est fait pour Max et Peter ! ^w^
     
    Et pour finir nos héros sont enfin à la fin des Crevasses Gelées, la sortie est à porté de main ! Mais que ce cache t'il après les Crevasses Gelées ? Beaucoup, beaucoup de chose. Je compte bien vous dévoilé des épreuves plus qu'incroyable ! J'ai déjà énormément d'idées qui risque de vous laissez sans voix ! Mais tout ça viendra dans les prochains chapitres ! ^w^ En tout cas pour le chapitre 8 j'ai prévu une scène assez spécial pour Raf et Sulfus, je pense que vous allez aimez ! x) Mais stop je m'arrte là ! ^^ 
    On se retrouve tous pour la suite de ma fiction avec une épreuve sanglante pour le début ! °w° 
    En attendant laissez moi un p'tit com's ! ^3^ 

    11 commentaires

  • Chapitre 6: La balle des souvenirs

    Par AngelsFriendsStyle le 17 Mars 2015 à 19:35
    fanfic 3 chapitre6
     
    La balle des souvenris
     
    PDV de Raf 
     
    J'arrive au bout d'un couloir de glace et le seul chemin continue vers la droite. Je tourne et je vois tout de suite que ce couloir est très long. Je m'y engouffre et je continue de marcher toujours aussi gelé. Comme je suis fatiguer mon esprit est ailleurs, je pense à un tas de chose qui n'ont pas vraiment de sens. Et je marche toujours aussi lentement. Quant j'arrive vers la fin du couloir sans m'en rendre compte. Il y a 4 couloirs différents au bout du chemin. Je me stoppe et j'hésite un moment. Lequel le prendre ? Je ne peut pas continuais à choisir au hasard, je ne retrouverais jamais Sulfus sinon... Je regarde les 4 directions en grelotant de la tête au pieds. Il faut que je choisisse. 
     
    Un coup de feu suivit d'un sifflement me sort de mes pensées. Le sifflement siffle tout près de mon oreille gauche et viens s'enfoncer dans la paroi de glace derrière moi. Je regarde derrière moi quelques morceaux de glace volent en éclats du mur. Je me retourne brusquement pour essayer de voir d'où proviens se tire. Je suis terrifié. Je regarde partout et je ne vois rien. Puis un deuxième coup de feu retentit et me frôle encore de justesse. Cette fois-ci plus aucun doute quelqu'un est clairement en train de me tiré dessus! 
     
    Avant qu'un autre coup de feu essaye de me toucher je me jète à terre. Un sifflement passe au dessus de moi. Si je ne me serait pas jeté au sol cette balle m'aurait touché... Il faut que je fasse quelque chose, et vite ! D'abord je tente de résonné la personne que je ne vois pas, me tiré dessus, en lui demandant pourquoi elle me tire dessus. Aucune réponse et un autre coup de feu retentit, cette fois c'est mon pied qui à échappé à une balle. Il faut que je me protège. À 3 mètres devant moi un assez gros bloc de glace se trouve parterre, il n'est pas géant mais suffisant pour me mettre derrière et me protéger de mon agresseur. 
     
    Je me redresse et je me précipite vers le bloc de glace. Mais avant que je puisse l'atteindre un coup de feu don le sifflement est assourdissant fonce vers moi. Aucun moyen d'y échappé. Trop tard. La balle se longe droit dans mon épaule droit et s'y enfonce. Je pousse un crie percent qui résonne dans tout le couloir avant de m'effondrais au sol. Malgré la douleur je me redresse rapidement. Je suis assise parterre et je recule à 4 pattes vers le bloc de glace pour m'y réfugier. J'y suis. Je pose ma tête contre la paroi en appuyant ma main gauche sur mon épaule droit. 
     
    C'est atroce, la douleur est atroce. Une douleur brûlante et saisissante se répand dans tout mon corps comme un venin mortel. J'ai l'épaule en feu.  Et la personne qui ma tiré dessus continue de tiré dans le bloc de glace qui me protège. Je suis en très mauvaise posture. Je tiendrais pas longtemps comme ça. Le bloc de glace va finir par se désintégré à cause de tout ses coups de feu. Je tente désespérément de me replié sur moi même pour que aucune partit de mon corps ne dépasse du bloc. Mais je n'est pas l'impression que c'est ça qui va me protéger... Puis d'un coup les coups de feu s'arrête et j'entend des pas se rapprocher. Ils sont lents et régulier. La personne qui s'avance à l'air d'avoir très confiance en elle.. Les bruits de pas ressemble à ceux d'une femme sur talon aiguille. Puis je vois cette personne. J'écarquille mes yeux. Je ne vois absolument rien de cette personne, car elle est recouverte d'une cape à capuche noir, j'aperçois à peine ses lèvres. Mais en tout cas son arme est braquer sur moi...
     
    Je suis impuissante et faible. Si je fais un seul geste, je risque de me faire tiré dessus. Je ne sais absolument pas quoi faire pour me sortir de là.. Cette personne semble vouloir ma mort mais pourtant son pistolet est braquer sur mon autre épaule. Pas l'endroit idéal pour tuer. Ses doigts  resserre le pistolet, elle s'apprête à tiré. Puis soudain un cris retentit. C'est la voix d'un garçon.. Sulfus. Elle tourne la tête brusquement sur le côté, je fais de même mais plus lentement comme je suis frigorifié.. 
     
    Sulfus: (en lançant des boules de feu tout en courant vers la personne) Baisse ton arme !! Encore un pat vers elle et je te tue ! Écarte toi d'elle !! 
     
    La personne à la cape noir part à une vitesse phénoménal et disparaît parmi les couloirs de glace. Ma vision deviens flou. Je suis encore sous le choc de ce qui viens de se passer... Qui était cette personne qui m'a tiré dessus ? Et pourquoi ? Est ce que ça fais partit des épreuves ?.. Sulfus me sort de mes pensées: 
     
    Sulfus: Raf ! (s'accroupit en face d'elle) Ça va ?.. (pose ses mains sur les joues de Raf) Ho non, t'es complètement gelé !..
     
    Sulfus attrape le sac d'Urié qui était sur son dos et y sort une couverture. Il la déplie en vitesse et la met autour de moi. Puis il repose ses deux mains sur mes joues tout en me secouant légèrement la tête pour me faire réagir. Ses mains sont chaudes... Je voudrais qu'il laisse ses mains sur mes joues longtemps... Mes yeux sont épuisé je le regarde puis mes yeux sont vide et je le regarde de nouveau. Il semble complètement paniqué. Il voit que j'ai était touché à l'épaule puisque ma main gauche est toujours appuyer contre mon épaule droite. Il jète un bref regard sur tout mon corps comme pour vérifié si je n'ai pas étais touché sur une zone vital. Puis il retire doucement ma main couverte de sang de ma blessure. Je tremble comme une feuille pendant qu'il regarde s'élargir une tâche de sang sur mon haut. Il relâche ma main pour reposé ses mains sur mes joues, puis les fait glissé dans mes cheveux, ce qui me fait tremblé d'avantage. 
     
    AFS.Raf et Sulfus répond moi
     
    Sulfus: Raf, répond moi ! Je t'en supplie ! J'aime pas quant tu reste muette comme ça...
     
    Raf: (faiblement) Ça.. Ça..va... Enfin ...ça pourrais..a...aller mieux...(gémit) 
     
    Sulfus: J'aurais du me dépêcher !! C'est de ma faute.. J'te demande pardon mon amour... (complètement paniquer) 
     
    Raf: C'est, pas ta faute... C'est.. Cette... Chose ou cette personne... Je n'ai pas réussir..à voir son visage.. C'était quoi ?... Une épreuve...? 
     
    Sulfus:.. Je ne sais pas... Mais faut d'abord partir d'ici et s'occuper de toi.
     
    Il attrape le sac et se le met sur son dos, puis il me prend dans ses bras en laissant la couverture autour de moi, puis il me soulève. Une vague de douleur me submerge. Je retient mon cris mais il perce dans un gémissement affreux. Mon corps se retrouve contre le siens, une jambe de chaque côté de son corps et ma tête sur son épaule gauche. Je ne peut m'empêcher de rougir... Être aussi près de lui physiquement me fais frissonné. Il commence à avancer. Je ne tient pas en place tellement que je m'angoisse pour ce qui viens de se passé. 
     
    Raf: (panique) Elle risque de revenir. (gémit) Sulfus qu'est ce qu'on fait si elle reviens ? Il faut que je marche pour qu'on aille plus vite! 
     
    Sulfus: Raf calme toi ça va aller. Je suis là, tu n'a plus rien à craindre...
     
    Raf: (faiblement) Mais si elle reviens ?...
     
    Sulfus: Elle ne reviendra pas. Ne t'inquiète pas, tu ne risque plus rien avec moi. Laisse toi allez Raf, dors tu en a besoin. 
     
    Je suis épuisé donc je fini par l'écouté. De toute manière dans mon état on seras encore plus long si je marche. Sulfus accélère le pas et je ne sais pas du tout où on va.. Mais je suis comme bercé dans les bras de Sulfus qui avance rapidement. Je resserre mes bras autour de son cou et colle ma tête contre son cou. Je sens ses cheveux se frottés à mon visage. La chaleur que dégage son corps me réchauffe.. Je sens son odeur qui me donne la sensation d'être droguer... Je me sens soudainement en sécurité.. Ma vision deviens flou et je m'endors dans les bras de Sulfus... 
     
    ......
     
    J'ouvre mes yeux. Quant ma vision redeviens net, la première chose que je vois c'est le visage de Sulfus penché sur moi. Il me regarde avec un petit sourire inquiet. Il est adorable quant il a cette tête là... Il dit quelque chose mais je n'entend rien... Je sens une douce chaleur sur le côté, je tourne la tête et je vois un feu brûlé près de nous. Sulfus a dû l'allumé pour pas qu'on est froid. Je me rend compte que je suis allongé au sol sur la couverture. Il glisse sa main sur ma joue, je le regarde dans les yeux. 
     
    Sulfus: Ça va ? 
     
    Raf: Oui... Enfin, je pense... 
     
    Sulfus m'adresse un petit sourire puis il se tourne vers le feu pour prendre quelque chose. Il me tend un bol de soupe et une cuillère. Je me redresse lentement puis je les prends et les regardes sans me décidé à boire. 
     
    Sulfus: C'est de la soupe à la tomate, j'ai trouver ça dans la boite de nourriture. Boit, ça te fera du bien et surtout sa te réchauffera. 
     
    Raf: (tourne la cuillère dans le bol) Merci... 
     
    Je commence à boire une cuillère de soupe et c'est délicieux... Pendant que je boit ma soupe Sulfus reste silencieux, il regarde droit devant lui loin de nous. Je regarde autour de moi. On est comme dans une toute petite grotte creusé dans un des murs de glace qui compose ce "Labyrinthe de Glace"... Quant je fini ma soupe, je pose mon bol et la cuillère dedans parterre. 
     
    Raf: Sulfus c'est quoi cet endroit ? 
     
    Sulfus: (se tourne pour regarder Raf) Je sais pas. J'ai trouver ce petit coin dans le mur pas longtemps après que tu t'ai endormis. Je me suis dit que c'était l'endroit parfait pour te soigner et que tu te repose tranquillement.
     
    Je regarde ma jambe gauche et je vois un bandage dessus, Sulfus me regarde puis il semble être un peu mal à l'aise.
     
    Sulfus: Je t'ai soigner ta jambe et aussi la plaie sur ton front. Par contre j'ai pas touché à ton épaule...je voulais attendre que tu te réveil car.. (baisse le regard) Parce que.. La balle s'est placé.. Enfin tu vois... 
     
    Pendant quelques instants je ne comprend pas ce qu'il essaye de me dire... Puis je me sens rougir d'un coup. La balle. Elle s'est enfoncé dans mon épaule mais surtout dans une zone couverte par des vêtements. Et il faut la retiré. C'est à dire que Sulfus doit la retiré..Je n'y arriverais pas toute seule. Et pour qu'il l'a retire il faut qu'il vois ce qu'il fait. Et avec mon haut c'est pas possible. Et je ne peut pas rester avec cette balle dans l'épaule. J'ai pas le choix... Je..je vais devoir retiré mon haut.. Devant Sulfus... Je sens mon cœur s'accéléré...
     
    Raf: (détourne le regard) J'imagine que j'ai pas le choix... 
     
    Sulfus: (pour esquiver la raison qui les gènes) Je te promet d'essayer de pas te faire mal, en la retirant...
     
    Sulfus semble aussi gêné que moi. D'un côté le voir comme ça me rassure un peu.. Ça prouve qu'il se met à ma place et qu'il sait que je vais pas être à l'aise. Il n'a pas cette pensé perverse d'en profité. Il aurait préféré me voir dénudé pour d'autre raison j'imagine... Mais pas pour me retiré une balle de l'épaule dans un endroit gelé. Il fini par s'approcher de moi, mon cœur bat très fort. Trop fort. Il me dit d'une voix hésitante comme si j'allais lui décollé une gifle après avoir fini ça phrase: Je peut ? Enfin.. On peut commencer ? Me demande t'il, les mains pointés vers mon haut. Après une longue hésitation j'acquiesce, sans pouvoir prononcé un mot. Sulfus agrippe de ses deux mains le bas de mon haut et commence à le levé pour le retiré. Mon cœur s'emballe rien qu'à cette action. Il le retire complètement. 
     
    Je me retrouve en soutien-gorge devant lui. Je suis complètement paralysé devant lui, j'ose même plus faire un geste. Sulfus pose ses mains sur l'arrière de mes épaules et m'oblige à m'allongé. Il me regarde dans les yeux. 
     
    Sulfus: Reste allongé ce sera mieux pour retiré la balle... 
     
    Raf: (hoche la tête)... 
     
    Sulfus se tourne dos à moi et fouille dans le sac pour prendre quelque chose. Ce qu'il faut pour me soigner à mon avis, c'est logique. Quant à moi pendant qu'il cherche, je suis allonger parterre en soutien-gorge sur la couverture... Je ne peut que me sentir stupide dans cette situation... Sulfus se retourne vers moi les mains pleine d'objet médical. Il les poses sur la couverture à ma droite. Il y a du désinfectant, des cotons, des compresses, des bandages, du scotch pour pansement, pleins d'autre pot et tube et une pince plutôt longue et fine. Une pince à épilé à vrai dire. Il se penche au dessus de moi, se qui me fait rougir encore plus. Il asperge un coton de désinfectant et essuie le sang que j'ai autour du trou dans mon épaule. Là où cette fichu balle est entré. C'est un peu froid mais au moins pour l'instant, je n'ai pas vraiment mal, c'est la suite qui me fait peur...
     
    Un frisson me parcoure. Avec ma main droite j'attrape le bout de la couverture qui est à gauche et je la tire vers moi. Je masque ainsi un peu la partie gauche de ma poitrine... Sulfus ne dit rien et continue de désinfecté le tour de ma blessure. Je le regarde profondément, son visage si concentré sur ce qu'il fait.. Pendant un instant j'oublie presque ma situation gênante.
     
    AFS.Raf et Sulfus blessé
     
    Puis je ressort de mes pensées sur lui, quant il arrête de désinfecté et qu'il attrape la pince. 
     
    Sulfus: Bon... Je.. Je vais commençais... Tu es prête ? 
     
    Raf: Oui.
     
    Enfaite, je ne le suis pas du tout. Mais je préfère ne rien dire puisqu'il faut la retiré. Sulfus commence à rentré la pince doucement dans ma plaie. Je me retient de crier. C'est atroce. J'ai l'impression qu'on m'arrache l'épaule. Je pousse des gémissements qui ressemble de plus en plus à des cris étouffés. Sulfus continue d'essayer d'extraire la balle de mon épaule. Même si j'ai l'impression qu'il me charcute l'intérieure de l'épaule. 
     
    Sulfus: (fixé sur l'épaule de Raf) La saleté, elle s'est enfoncé vraiment profond.. Je la trouve pas. 
     
    Raf: T..tu.. Tu sais ce que tu fais j'espère ?...
     
    Sulfus: Bah c'est la première fois que je f...
     
    Raf: (panique) Dit moi que tu plaisante ? C'est la première fois que tu fais ça ?! 
     
    Sulfus: Calme toi. C'est la première fois que je fais ça, mais j'ai déjà vu des gens le faire. 
     
    Raf: Ah bon ?.. Sur qui ? 
     
    Sulfus:... Sur moi. 
     
    Raf: Sur toi ? Tu... Tu t'es déjà fait tiré dessus ? 
     
    Sulfus: (tout en continuant de chercher la balle) Oui, mais il y a longtemps. Je venais d'avoir 15ans et j'avais encore chercher des problèmes avec des mecs de la cité des démons et ça s'est plutôt mal terminé. J'avais était touché comme toi à l'épaule mais le gauche si je me rappel bien. 
     
    Raf: Et c'est qui, qui t'avais retiré la balle ?
     
    Il hésite un moment avant de répondre toujours fixé sur mon épaule puis ses yeux rencontrent les miens et il laisse s'échappé un petit sourire de coin avant de se re-concentré sur mon épaule.
     
    Sulfus: Mon père. 
     
    Raf: Ton père ? 
     
    Sulfus: (sourit) Ouais, je me rappel, la colère qu'il était quant il m'a vu rentré le soir l'épaule en sang, en train de me plaindre que j'avais mal.. (un p'tit rire) Il était furieux après moi, il m'avait traité de p'tit con et même d'abruti, pour m'avoir mis dans une merde pareille. 
     
    Raf: (en rigolant) C'est limite si il t'a pas frappé par dessus le marché pour ce que tu a fait... 
     
    Sulfus Ouais.. x) Limite. J'en rigole aujourd'hui, mais quant c'était arriver je rigolé pas du tout. Il m'avait traîné jusque dans le garage par l'épaule gauche, je cru que j'allais mourir par le mal. Et après il m'avait dit... Non. Il m'a balancé contre le plan de travail, pour que je m'assois dessus, là où tout les outils pour nos motos traînés, j'avais dû retiré mon haut en vitesse si je voulais pas me prendre une claque en plus. (rigole) Il arrêtait pas de me dire "T'a voulu faire ton homme face à d'autre démons, bah maintenant tu va te laisser faire sans pleurniché !" du coup c'est lui qui m'a retiré la balle de mon épaule avec une grosse pince qu'on se servait pour réparé les motos. Je me rappel que j'avais eu très mal... 
     
    Raf: Ton père n'avait pas l'air d'avoir très pitié de ce qui t'étais arriver...
     
    Sulfus: Non. En même temps c'était souvent que je revenais blessé chez moi du coup je crois qu'il en avait marre de toute mes conneries. Et puis il voulait m'habitué à la douleur, il voulais pas que je me mette à pleurniché après avoir cherché des ennuies. 
     
    Raf: Oui mais quant même.. (jète un regard sur son épaule) Ça fais mal... 
     
    Sulfus: Ouais, c'est vrai je m'en rappel que j'avais vraiment eu mal, mon père n'est pas ce qui avait de plus doux... (sourit encore) Et puis je me rappellerais toute ma vie quant il était en train de me la retiré: dé que je commencer à trop crié ou bougé, il me saisissais par les cheveux et me disait de la fermer et de pas bougé où il me ferait ma fête. 
     
    Raf: (choquer) Mais c'était pas gentil de te traité comme ça alors que tu était déjà blessé... 
     
    Sulfus: Bah j'avais cherché les ennuies, bah je les avais trouvais. Fallait que j'assume. Parce que mon père n'a jamais était méchant avec moi, c'est juste que quant je faisait des conneries il pétait un câble et puis là, il était 2h du matin donc je l'avais mis en rogne contre moi de revenir à cette heure là, blessé. Quant j'y repense j'était qu'un gamin... Je me retenait de pleurer tellement il me faisait mal en retirant la balle avec cette énorme pince. Je savais que si je me mettait à pleurer il me frapperait du coup je luté pour pas me mettre à chialé devant lui... x) 
     
    Raf: Je plains le pauvre petit Sulfus de 15ans de cette époque. Mais tu n'avait pas une mère pour te soigner elle aurait peut être était plus douce avec toi ? 
     
    Sulfus: Si mais à cette heure là elle dormait et puis vu la colère de mon père je risqué pas d'avoir la chance que ça sois ma mère qui vienne me soigner et me chouchouté. Non, non. x) C'est mon père qui s'est occupé personnellement de mon cas. 
     
    Raf: Tu devait pas faire le malin. 
     
    Sulfus: Ha non pas du tout quant il avait retiré la balle, j'inspiré et j'expiré en m'appuyant contre le mur du plan de travail la main appuyer son mon épaule en regardant cette si petite chose qui m'avait causé tant de douleur. Puis j'ai regarder mon père qui avait les sourcils froncé et le regard énervé en direction de la balle posé sur le plan de travail à côté de moi, et je lui est dit "Merci, papa..." et il m'a simplement dit d'un ton très sévère "Allez file ! Va te couché!" je peut te dire que j'ai pas trainé ! x) 
     
    Raf: (sourit) Tu m'étonne ! Malgré ce que tu viens de me raconté, j'aimerais bien les rencontrais un jour. 
     
    Sulfus: Si tu veux, mais il faudra d'abord qu'on traverse ce foutu sentier pour que tu les rencontre. 
     
    Raf: Oui.. Au moins toi, tu avai..
     
    Sulfus: S'ayez je l'ai ! Je la sent ! 
     
    Raf: Ah oui ?! 
     
    Sulfus: Accroche toi, sa risque de faire mal, mais au mois, je l'ai trouvais !
     
    Sulfus continue de bouger doucement la pince dans mon épaule, ça me fait vraiment mal mais je lute contre la douleur, je serre les poings et les dents. Puis je n'en peut plus tant pis si Sulfus regarde mon soutien-gorge ! Je lâche la couverture et j'attrape les bras de Sulfus pour les serré. Il ne dit rien, il continue d'essayer d'extraire cette balle de mon épaule... Je n'arrive plus à retenir mes cris, ça me fais de plus en plus mal, je sens même les larmes me monté aux yeux. 
     
    Sulfus: Tient le coup, j'y suis presque ! 
     
    Raf: (gémit fortement) ! 
     
    Je tient toujours les bras de Sulfus en serrant fort dessus comme pour évacuer toute la douleur que je ressent. Mon bras droit commence à tremblés, je sens que je vais exploser et que je vais me levé et hurlé, quant Sulfus arrête subitement de bouger la pince dans mon épaule.
     
    Sulfus: OK. C'est bon je l'ai ! Ne bouge surtout pas sinon elle va glissé de la pince. 
     
    Il commence à ressortir la pince de mon épaule lentement jusqu'à ce qu'elle sois entièrement sortie. Enfin. J'inspire et j'expire... Exactement comme Sulfus à 15ans.. Ça soulage d'un coup quant la balle n'est plus à l'intérieur de nous.. comme lui quant il avait 15ans, je regarde cette si petite chose qui m'a fait tellement de mal. Malgré qu'elle sois couverte de sang j'arrive à voir que la balle est en argent. Sulfus la tient dans la paume de sa main et la regarde. Je me redresse lentement.
     
    Sulfus: On l'aura eu la saleté. (la donne à Raf) Tiens, t'a cas la garder en souvenir !
     
    Raf: En souvenir ? Tu es sérieux ? 
     
    Sulfus: Bah ouais. Moi j'ai garder la mienne ! x) 
     
    Raf: Mais pourquoi faire ? 
     
    Sulfus: (hausse les épaules) 
     
    Je regarde la balle dans ma main, je la fais roulé entre mes doigts en me perdant dans mes pensées: Elle aurait pût causé ma mort... Et pourtant je suis toujours là. Il a raison, je devrais peut être la gardé. Le souvenir que j'ai faillis me faire tué. Et que je suis toujours en vie. Sulfus me sort de mes pensées. 
     
    Sulfus: Maintenant qu'on l'a retiré faut soigner ton épaule. 
     
    Raf: Ho..! Heu... Oui, c'est vrai..
     
    Sulfus: (voix calme) Allonge toi. 
     
    Je m'allonge et je ressent mon cœur battre à nouveau. Sulfus désinfecte mon épaule encore une fois. Il ne dit pas un mot et moi non plus. Un énorme silence s'installe. Je suis sûre que je suis rouge comme une tomate... Sulfus me met des crèmes cicatrisante et toute sorte de chose qui peuvent me soigner correctement. Il semble très concentré mais aussi perturbé. On dirais qu'il se force à ne pas baissé les yeux. Je suis fixé sur son regard: il fixe ma blessure avec concentration mais ses yeux semble vouloir regarder ailleur.. Puis son regard descent un tout petit peu plus bas, il relève aussitôt ses yeux vers ma blessure. Il rougit légèrement et semble un petit peu gêné. Je me retient de rire à le voir faire. Sulfus rougir... Je crois que c'est la première fois que je le vois rougir, et être autant gêné par quelque chose. On dirais que c'est lui maintenant le plus gêné de nous deux... C'est normal il a peur que je réagisse mal, mais je ne peut pas lui en vouloir, la tentation de regarder est beaucoup trop forte. Surtout qu'il doit me soignait, c'est sous ses yeux, c'est impossible de s'empêcher de regarder surtout pour un garçon... Et puis je sais qu'il n'a pas d'idée perverse derrière la tête, il est trop gêné pour ça.
     
    Mais j'aimerais quant même savoir à quoi il pense. Et comme nous somme tout les deux trop gêné pour sortir un mot, ça me permettra de m'occuper sans devoir lui parler. Je me concentre pour entendre ses pensées sans activé mon pouvoir... S'ayez je les entends. J'écoute pendant quelques secondes même une bonne minute puis je commence à sourire. J'aurais jamais cru que Sulfus serait autant dans l'embarras que ça de me voir en soutien-gorge pendant qu'il me soigne. Il arrête pas de se dire "Reste fixé sur sa blessure ne descend pas le regard ! Surtout pas ! Ça se fait pas mec ! Ne lui fais pas ça, reste fixé sur cette fichu blessure et fait ce que tu as à faire !" ou encore "Regarde pas, regarde pas, regarde pas!....et merde... Pourvus qu'elle n'a pas vu que je l'ai regarder..." et aussi "Mais putain ! C'est quoi mon problème ?! Soigne Raf et arrête de te comporter comme un imbécile !" et encore pleins d'autre remarque qu'il se dit dans sa tête. 
     
    Je suis morte de rire intérieurement et plus je vois le visage de Sulfus se déformé à cause du débat qui se passe dans sa tête plus je sens que je vais éclater de rire devant lui. Je ne tiens plus, le ridicule de notre situation me fait exploser de rire ! Sulfus me regarde avec de grand yeux, il est complètement perdu. Il a même arrêter de me soigner puisque je rigole. 
     
    Sulfus: Heu... Ça va ? 
     
    Raf: (tout en rigolant) Oui... C'est juste que, tu me fait rire ! 
     
    Sulfus: Je te fais rire ? Mais qu'est ce que j'ai fait ? 
     
    Raf:... (sourit) C'est de voir la tête et les réactions que tu as pendant que tu me soigne. Et excuse moi.. Mais c'était plus fort que moi j'ai lu tes pensées... Et tout ça m'a fait rire.
     
    Sulfus: (devient rouge) T'a lu mes pensées ?! °^° 
     
    Raf: Oui. Et je ne pensais pas que tu serait autant gêné... Même voir plus que moi. 
     
    Sulfus: (détourne le regard) Bah... C'est que je t'ai jamais vu en... Et... Je sais pourquoi car tu veux attendre qu'on sois marié.. Toute façon on a pas trop le choix.. Mais.. Je sais que ça te gênerais.. Et je te respecte alors... Je voulais pas te... 
     
    Raf: (le coupe) C'est bon Sulfus. Tout à l'heure j'étais vraiment pas à l'aise... Et puis après quant tu m'a parler de ton père et que tu retiré la balle, j'ai fini par me calmé et puis ce n'est rien. De toute façon tu m'a déjà vu en maillot de bain donc c'est presque pareil. 
     
    Sulfus: J'avais pas d'idée mal placé Raf... Je te promet.. C'est juste que j'arriver pas à rester fi...
     
    Raf: Je sais. J'ai lu dans tes pensées, je te rappel. (sourit) Et c'était même plutôt mignon... T'ai adorable Sulfus, quant tu ne joue plus les durs a cuire, et que tu deviens "timide"... C'est une autre façade de toi... 
     
    Sulfus: (légèrement rouge) Ok. ^^"" Bon..je vais finir de te soigner....
     
    Il se replonge dans ma blessure, l'aire toujours un peu gêné, surtout après ce que je viens de lui dire. Ses yeux tout paniqué et gêné rencontre les miens. Je m'aperçois que Sulfus est vraiment le garçon de mes rêves... Je lui sourit puis il fini par se détendre et me sourit à son tour... Après quelques minutes de silence, Sulfus a fini de me soigner. Il m'a mis les bandages si délicatement qu'on aurait dit les mains d'un ange... Je me redresse pour m'assoir. Le feu à côté de nous me réchauffe, mais un frisson me traverse tout de même. 
     
    Sulfus: (soulève une partie de la couverture pour la mettre sur les épaules de Raf) Faudrait pas que tu attrape froid, mon ange. 
     
    Raf: (lui sourit) Oui. 
     
    Je resserre la couverture sur laquelle je suis aussi assise autour de moi. Sulfus est en train de rangeait tout le matériel dans le sac et également la balle qu'on à nettoyer après m'avoir soigner. Je ne pense plus au fait que cette balle aurait pût me tuer, maintenant je pense plutôt à la personne qui m'a tiré dessus et pourquoi...Je ne sais même pas à quoi elle ressemblée.
     
    Raf: C'était quoi cette personne ? Pourquoi m'a t'elle attaquer ? 
     
    Sulfus: J'en sais rien du tout Raf. (s'assoit près d'elle en regardant loin devant lui) Tout ce que je sais, c'est que c'est un ennemie maintenant. 
     
    Raf: Et tu pense que ça aurait pût être comme une épreuve ? 
     
    Sulfus:.... Non. C'était loin d'être une épreuve. Je ne sais pas qui c'est ni pourquoi, mais je suis sûre que ça ne faisait pas partit des épreuves du sentier. 
     
    Raf: ...J'ai eu de la chance alors.. Elle m'aurait peut être tuer si tu serait pas arriver... Même si son arme était braqué sur mon deuxième épaule peut être qu'elle aurait tiré sur une partie vital... Mais comment tu as fait pour me retrouver aussi vite Sulfus ? 
     
    Sulfus: C'est simple. Elle m'a attaquer aussi. 
     
    Raf: Quoi ? 
     
    Sulfus: Je marchais, toujours à ta recherche, puis je l'ai vu au loin, en train de regarder dans une boule de cristal. Sur le moment, je suis rester figé. En aurait dit un fantôme sortit tout droit d'un cauchemar. Elle marmonnée quelque chose, c'était incompréhensible, puis elle a sortit son flingue et l'a chargé. Et s'est mise à rire en avançant dans un couloir, j'ai commencer à la suivre pour comprendre ce que c'était, puis elle s'est arrêter d'avancé et s'est retourné, et elle m'a vu. Sur le coup, je savais pas quoi faire alors j'ai dit "Qui êtes vous ? Qu'est-ce que vous faite avec ça ?" en pointant du doigt son pistolet. Et c'est là qu'elle l'a braqué sur moi et elle a directement fait feu. 
     
    Raf: Et qu'est ce qui s'est passer après ? 
     
    Sulfus: Je me suis directement protégé en faisant apparaître un bouclier en métal. Quant j'ai baissais le bouclié elle était en train de courir et de disparaître parmis les couloirs, sur le moment, je voulais partir dans une autre direction pour ne plus croisé cette folle, mais c'est là que j'ai pensais à toi. Je me suis dit que si elle te tombais dessus, elle ferais pareil, du coup je me suis mis à courir comme un déchaîné dans les couloirs pour tenté de la suivre, mais je l'avais perdu de vu. Et puis quant j'ai entendu les coups de feu, j'ai paniqué comme un malade... Je tenté de la retrouver dans ce labyrinthe priant pour que ça ne sois pas sur toi qu'elle tiré, et quant je t'ai entendu crié là... j'ai cru que mon cœur aller s'arrêter de battre. Mais au bout de quelques secondes je t'ai retrouver avec cette folle qui aller visiblement te tiré à nouveau dessus... Bah là j'ai pas réfléchis, j'ai foncé sachant qu'elle aurait pût me tiré dessus, mais il fallait absolument qu'elle ne s'occupe plus de toi qu'elle regarde ailleurs. Et je pense que je lui est peut être fait peur, parce qu'elle est partit directement... 
     
    Raf: Peut être... Mais pourtant elle était armée... 
     
    Sulfus: (hausse les épaules)...
     
    Raf: Et si c'était une personne qu'on connais ? Un ennemis qui voudrait se venger de nous ? 
     
    Sulfus: Raf, c'est pas possible, tout nos ennemies sont mort ou enfermé. Qui veux-tu qui nous attaque à par si un Skar ou une Reina se serait échappé de prison ? Et puis même... Je veux bien qu'ils sont complètement fous mais au point de risqué leurs propre vis dans le sentier juste pour se venger... 
     
    Raf: Oui, tu as raison... Mais... Pourquoi on nous attaquerais alors ? 
     
    Sulfus: J'en sais rien... 
     
    Fin du PDV de Raf
    ......
     
    ???: (regarde leur discussion dans la boule de cristal) C'est simple petite blonde, car je te déteste et tu va payer pour ce que tu m'a fait. Et souffrir jusqu'à ton dernier souffle... À moins que... (regarde un objet dans sa main) qu'on se mette d'accord... De toute façon tu n'aura pas le choix. (sourire diabolique)
     
    ......
     
    Quelques minutes plus tard Raf et Sulfus étaient tout les deux allongés près du feu enroulé dans la couverture collé l'un contre l'autre pour ce réchauffé le plus possible. Raf n'avait pas remis son haut à cause de la douleur déchirante que lui causé son épaule à peine soigné, à faire ce mouvement. De toute manière elle n'était plus à ça près. Et elle était totalement recouverte par la couverture, Sulfus ne risquais pas d'en voir quelque chose. Mais malgré ça, elle sentit la main chaude de ce dernier lui caresser son bras droit et le dessus de son épaule (bien sur pas sur la partit bandé de bandage) avec tendresse. Elle le regarda dans les yeux jusqu'à ce qu'il la regarde lui aussi. 
     
    Raf: Tu es sûre qu'on ne devrais pas plutôt continuer ? 
     
    Sulfus: Raf, pour la 8ème fois: Non. On viens de te retiré une balle de l'épaule, tu as besoin de dormir un peu, je sais de quoi je parle. 
     
    Raf: Oui... Mais.. Imagine si notre agresseur ce pointe ici pendant notre sommeil ? On sera mort sans même s'en rendre compte... 
     
    Sulfus: Raf, je pense que si elle voulait nous tuer. Oui je dis "elle" car ça peut que être une femme... Enfin bref je pense qu'elle l'aurait déjà fait. Elle était armé si vraiment elle voulait notre mort elle n'avait cas me tiré une balle, je l'aurais sûrement esquiver mais elle pouvait tenter de nous tuer et elle n'a rien fait. Elle est partit alors qu'elle avait largement l'avantage... 
     
    Raf: C'est bizarre...
     
    Sulfus: Je ne te dit pas le contraire, mais c'est cette raison qui me dit qu'on ne risque rien pendant notre sommeil. Au pire des cas elle passera par là et nous regardera dormir puis ensuite partir. 
     
    Raf le dévisage d'un air terrifié.
     
    Sulfus: (sourit) Je plaisante. De toute façon il est préférable de se reposé un peu pour être en forme que de ne pas dormir et qu'au première obstacle on sois incapable de le franchir... 
     
    Raf: Oui tu as raison...
     
    Sulfus: (lui embrasse le front) Et puis je suis là moi. Tu n'es pas toute seule. 
     
    Raf: Oui...(sourit légèrement)... Sulfus ?
     
    Sulfus: Oui ? 
     
    Raf: Il s'est passé quoi après ? 
     
    Sulfus: Après quoi ? 
     
    Raf: Après que ton père t'ai retiré la balle de ton épaule ? 
     
    Sulfus: Bah les jours ont passés et je commencer à me sentir mieux et.. (se fais couper la parole) 
     
    Raf: Non pas comme ça.. Je veux que tu m'explique en détaille... 
     
    Sulfus: Pourquoi tu veux tellement savoir ? 
     
    Raf: Je suis curieuse c'est tout. Et puis.... Je n'est pas eu vraiment de père moi... Je venais à peine de le rencontrer.. Qu'il est mort... (retient un sanglot) 
     
    Sulfus: (la regarde dans les yeux et passe sa main dans ses cheveux) Raf...
     
    Raf: Non.. C'est rien.. (inspire pour ne pas pleurer) C'est juste que t'écouté raconter tes souvenirs avec ton père me font du bien. Ça complète un peu l'image que j'essaie de construire dans mon esprit d'un père. 
     
    Sulfus: (sourit) Si tu veux, mais tu sais mon père n'est peut être pas le meilleur exemple de père qu'on peut trouver. Surtout que c'est un démon, c'est pas comme les pères des anges. Il ne correspondra peut être pas à l'idée que tu veux te faire.
     
    Raf: Ce n'est pas grave, car au fond ange ou démon un père ou une mère.. Quant ils s'agit de leurs enfants ils ont tous le même fond.. La même inquiétude.. Le même amour... Les mêmes joies... C'est... Être parents pour moi c'est quelque chose qui doit être très fort qu'on sois ange ou démon. 
     
    Sulfus: (acquiesce) D'accord je vais tout te raconter alors. 
     
    Raf: (interviens avant qu'il commence) Et précisément à l'instant qu'il t'a retiré la balle et qu'il t'a dit de partir te couché ! 
     
    Sulfus: (laisse échappé un p'tit rire) Ok... Déjà pour commencer cette nuit là, j'avais tellement mis mon père en rogne que j'en avait presque peur de lui. Surtout après la façon qu'il m'a retiré la balle, j'avais bien compris qu'il ne serait pas tendre avec moi pendant un moment. Alors je ne voulais pas aggravé ma situation alors pour une fois j'ai décidé de fermé ma gueule et de tracé sans manifesté quoique ce sois. Quant il m'a dit d'aller me couché, j'étais assis sur le plan de travail encore essoufflé et défoncé par la balle. Mes jambes flottés dans le vide contre les placards du plan de travail. Mais je pouvais pas me levé, mon père était appuyer sur le plan de travail avec ses mains en fixant la balle, sa main gauche était posé entre mes deux jambes, il me barré un peu la route en gros. Puis quant il m'a dit de me couché il a retiré sa main gauche du meuble pour me "tapoté" le genoux gauche, c'était le geste le plus amicale qu'il venait de me faire depuis que j'était rentré. J'ai même cru qu'il n'était plus énervé jusqu'à ce qu'il me regarde dans les yeux toujours aussi énervé... Je me suis tout de suite redressé et retiré ma main de mon épaule pour descendre du plan de travail. J'ai presque tomber parterre à cause de la douleur que j'avais dans l'épaule qui m'empêchait de me tenir correctement. Puis j'ai tracé mon chemin jusqu'à la porte du garage sans dire un mot. Quant je suis arrivé à la porte qui était déjà entre-ouverte mon père m'a lancer "Demain t'a intérêt à tout m'expliqué." J'ai acquiescé lentement et puis j'ai franchis le seuil de la porte du garage pour arriver à l'entré de la maison près des escaliers pour monté à l'étage. 
     
    Raf: (attend la suite).... 
     
    Sulfus: Quoi ? Tu veux que je te raconte vraiment tout ? 
     
    Raf: Tout. (sourit) 
     
    Sulfus: (soupire en souriant) Après j'ai monté les escaliers tout en me tenant l'épaule, j'avais super mal, et une envie soudaine de dormir... Mais je saignais énormément. Au départ normalement mais après que mon père m'ai charcuté l'épaule et agrandis la plaie, le sang coulé comme une cascade. Donc quant je suis arriver en haut des marches, j'ai directement était dans la salle de bain pour me nettoyer tout le sang qui s'étalé sur mon bras et le côté du torse. J'ai attrapais une serviette et j'ai ouvert le robinet du lavabo et j'ai commencer à retiré tout se sang. Après j'ai regarder dans le placard où ma mère rangé tout les médicaments et le matériel pour se soigner. Alors j'ai attrapé des compresses et du désinfectant. J'avais tellement peur que ça s'infecte que j'ai pris de l'alcool désinfectant de 70° je crois bien. 
     
    Raf: Tu es sérieux ?! Mais tu a du avoir un mal de chien ! 
     
    Sulfus: Ouais... ^^" Je me rappel que je savais pas trop ce que je faisait, j'avais un peu peur sur le moment en voyant ce trou dans mon épaule. Du coup je faisait un peu n'importe quoi et je savais pas vraiment faire des bandages, j'avais mis la salle de bain dans un état ! x) Quant j'ai mis le désinfectant je me disais que tout le monde en faisant toute une histoire qu'en vrai ça faisait pas mal ou au pire ça picoté un peu. Ha non j'ai compris ma douleur quant j'en est mis j'ai fais un bond et j'ai presque hurler mais je me suis retenu car là cette fois mon père allez vraiment me tuer si je réveiller tout le monde à presque 3h du matin ! Enfin bref une fois que j'avais fini de me faire un.... Raf il aurait fallu que tu le vois. C'était le bandage le plus pathétique au monde ! x) Il ressembler à rien ! Et pourtant j'avais essayer à tout prix de le faire bien... x) 
     
    Raf: Il aurait fallu que je sois là pour m'occuper de toi... (sourit) 
     
    Sulfus: (sourit) Oui, malheureusement on se connaissais pas encore...
     
    Raf: Continue...
     
    Sulfus: Donc: j'avais fini ce bandage affreusement laid. Et puis je sentais des vagues de douleurs me tambouriné l'intérieure de l'épaule, c'était atroce. Alors je me suis mis à chercher des anti douleur dans le placard. Et puis je commencer à voir trouble il était temps que j'aille dormir, quant j'ai trouver une boite de cachet j'ai lu rapidement les écritures et j'avais réussi à lire "Très efficace" et aussi "agit en quelques minutes" je voyais de plus en plus trouble. J'ai pas chercher à comprendre, j'ai attrapé un verre posé sur le bord du lavabo que j'ai remplis d'eau. J'ai ouvert la boite de cachet, j'en est pris 4 ou 5 et j'ai tout avalé d'un coup avec l'eau. Ensuite je me suis passer un coup d'eau sur le visage et je suis sortit de la salle de bain. 
     
    Raf: Et laisse moi deviné. Ce n'était pas des anti douleur n'est ce pas ? 
     
    Sulfus: Non... x) Après je me suis traîné jusque dans ma chambre, j'était de plus en plus fatigué. Et puis la douleur ne disparaissait pas c'était insupportable. Quant je suis arrivé dans ma chambre j'ai retiré mes chaussures et je voulais me changé mais j'était tellement fatigué d'un coup, j'avais même la tête qui tourné. Je me suis laisser tomber sur mon lit à plat ventre. Au départ c'était juste le temps que ma tête arrête de tourné et puis je me suis endormis en quelques minutes sans vraiment m'en rendre compte. Comme si on m'avais assommé. Quant je me suis réveiller j'avais l'impression d'être dans le brouillard comme si j'avais prit une cuite la veille. J'avais levé ma tête de mon oreiller et là sur mon réveil l'heure affiché 12h10. J'ai fais un bond de mon lit que j'ai regretter aussi tôt à cause de mon épaule. J'avais toujours la tête qui tourné du coup je me suis rallongé dans mon lit sur le dos cette fois-ci. Et je regarder l'heure... Je comprenais pas pourquoi je m'était réveiller aussi tard.. Même qu'il était 3h du matin quant je me suis couché c'était pas une raison pour dormi aussi longtemps et tard, surtout que la lumière du soleil traversé largement les rideaux de ma chambre. 
    [À partir de maintenant on rentre carrément dans son souvenir. ^^]
    ---
    Après un moment à m'avoir massé le crâne j'ai réussi à me levé. J'ai enfilé un t-shirt assez large pour caché mon bandage pour pas que ma mère le vois. Je suis sortit de ma chambre en marchant lentement. (en rigolant) Je devais ressembler à un zombie à ce moment là ! Quant je suis descendu et arriver dans la cuisine/salle à manger, mon père était à table en train d'attendre le repas, ma mère elle, était en train de cuisiné et mes deux sœurs étaient sur leurs portables. Quant ils m'ont vu ils m'ont dévisager un long moment avant que ma grande sœur prenne la parole:
     
    Soeur: (en souriant) Alors enfin réveillé mon p'tit n'amoureux ?
     
    Sulfus: Arrête de me parler comme si j'avais 5ans. J'suis pas d'humeur. 
     
    J'avais pris une chaise pour m'assoir. Mes deux sœurs étaient assissent côte à côte en face de moi et mon père au bout de la table à ma gauche. Il devait y avoir à peine 1 mètre entre lui et moi. Je lui est lancer un rapide coup d'oeil plutôt craintif, il me regardait sans rien dire son journal sur les motos dans les mains. 
     
    P'tite Soeur: S'ayez tu es de mauvaise humeur ? :p 
     
    Sulfus: Non seulement fatiguer et j'ai mal au crâne. 
     
    La c'était ma p'tite sœur qui venait de parler, elle avait 12ans et la grande 17ans et moi j'était au milieu d'elles, 15ans. Ma grande soeur s'appeler Stefanie et la p'tite Steffi. J'avais les coudes sur la table et mes deux mains sur mon front presque dans mes cheveux j'étais pas en forme ni bien réveiller. Ma mère arriva au bout de la table face à mon père, elle avait un plat remplis de gâteaux apéritif qu'elle posa au milieu de la table. Mes deux sœurs commencer déjà à s'en empiffré. Moi j'avais juste relever ma tête pour regarder ma mère, qui me regarder elle aussi. 
     
    Mère: Alors où était tu passait hier soir ? Je me suis inquiéter Sulfus !
     
    Sulfus: Nul part... J'étais... Avec des potes...
     
    Père: (en ricanant) Avec des potes... 
     
    Mon père semblait rigolé comme-ci j'avais dit quelque chose de complètement débile. Je voulais simplement le caché à ma mère sinon elle allait encore se mettre dans un état de panique pour rien. Puis mon père lança:
     
    Père: Alors ton épaule ? 
     
    Je l'ai regardais avec de grand yeux étonné, même choqué. J'essayais de leur caché que j'étais blessé et il venait de le dire à haute voix devant tout le monde. Puis il m'a sourit d'un air assez moqueur pour me dire:
     
    Père: Parce que tu croyait qu'on allez gardé ça entre nous ? 
     
    Sulfus: Heu...
     
    Stefanie: Et puis vu le bordel qu'il y avait ce matin dans la salle de bain, on a vite compris qu'il t'était arrivé quelque chose, la prochaine fois évite de laisser trainer une serviette imbibé de sang parterre si tu ne veux pas qu'on sache quelque chose. (sourit)
     
    Steffi: (en mangeant) De toute façon papa nous a raconter ce qui c'est passé hier soir quant tu est rentré ! 
     
    J'y croyais pas mes oreilles. Elles savaient déjà tout alors que j'essayais de le caché. Puis ma mère s'est approchée de moi en me disant "Laisse moi voir ton épaule!" Mon t-shirt était tellement large que quant elle a tiré sur le col, mon épaule et tout le bandage n'était plus du tout camouflé. Mes sœurs ricanèrent toute les deux en voyant le bandage. C'est vrai qu'il faisait vraiment peur... 
     
    Steffi: Il est moche ! Tu l'a fais tout seul ou quoi ? xD 
     
    Sulfus: ... Bah oui..
     
    Steffi: Ho.. Ma blague perd tout son sens.. 
     
    Sulfus: Oui.
     
    Mère: (en commençant à retiré le bandage) Mais qu'est ce que tu nous a fait ? Tu as tout scotché les compresses n'importe comment ! 
     
    Je disais rien. Je regardais mon père qui me regarder de nouveau d'un air sévère... Puis je regardais mes sœurs qui souriaient encore. Quant ma mère arriva enfin à retiré le bandage la seule chose qu'elle réussi à dire c'était "Ho mon diable..." elle était choquer et même mes soeurs avaient arrêtaient de rigolé. Stefanie la première. Elle s'en était même levé pour faire le tour de la table et arriver juste à côté de moi et ma mère pour regardé de plus près. 
     
    Steffi: (un gâteau à la main) Hou... C'est plutôt moche... 
     
    Mère: (au père) Mais tu es complètement fou ! 
     
    Père: Quoi ? 
     
    Mère: Tu m'a dit que tu lui avait retiré la balle ! Pas que tu lui avait charcuté l'épaule ! Regarde ce que tu lui a fait ! 
     
    Père: Et bien au moins, il ne recommencera pas ! 
     
    Mère: (furieuse) C'est pas une raison ! 
     
    Sulfus: C'est bon... C'est pas grave...
     
    Stefanie: (en touchant son épaule pour regarder) Un peu quant même... Tu as besoin de point de suture p'tit frère. 
     
    Sulfus: Ouais, bah je vais pas à l'hôpital ! 
     
    Mère: (en regardant le père très énerver) On reparlera de ça plus tard. (redeviens amicale) Steffi ma chérie, tu peut allez me chercher la manette de soin juste dans le placard au fond là-bas ? 
     
    Steffi: Oui ! (avale son gâteau et se lève) 
     
    Mère: Je vais te faire un bandage vite fait et après manger on va s'occuper correctement de ton épaule.
     
    Stefanie: (en le secouant légèrement par les épaules amicalement) Tu va voir on va bien s'occuper de toi, ça va allez mieux après. (lui embrasse la joue) 
     
    Sulfus: Stefanie.. Arrête... 
     
    Steffi: (tend la manette au dessus de la table) Tient maman ! 
     
    Mère: Merci. (la prend) 
     
    Ma mère commençait à me soigner mon épaule, le premier coup de compresse me faisait gémir puis après je me suis contenu. 
     
    Stefanie: Au faite tu peut me dire pourquoi tu as vidé la boite de somnifère ? 
     
    Sulfus: La boite de somnifère ? 
     
    Stefanie: Oui la boite est complètement vide ! Il en rester pas beaucoup et toi tu l'a terminé..
     
    Sulfus: Non j'ai pris des anti douleur... 
     
    Stefanie: Ah bah désolé de te contre dire mais c'est la boite de somnifère qui traîne et qui est vide. T'a du te tromper hier soir mais c'est des somnifères que tu as avalé. 
     
    Sulfus: (en penchant sa tête en arrière) Haaan...c'est pas vrai... (soupire)
     
    Mère: Sulfus te penche pas ! Je vais pas y arriver ! Reste droit ! 
     
    Sulfus: (se redresse) Des somnifères...super... 
     
    Steffi: (qui continue de manger en rigolant) C'est pour ça que tu as dormit aussi longtemps, et que tu était carrément plongé dans un sommeil de plomb ! x) Impossible de te réveiller !
     
    Sulfus: Qu'est ce que tu veux dire ? 
     
    Stefanie: Bah... ^^ On est venu dans ta chambre vers 10h après que papa nous ai expliquer ton problème. Et on t'a observer dormir ! *u* 
     
    Sulfus: Quoi ?! °^°
     
    Stefanie: Surtout moi en faite ! Je suis rester un moment assise à côté de toi pendant que tu dormait à te caressé les cheveux et ta p'tite main que j'aime tant ! *w* 
     
    Sulfus: Putain Stefanie non ! 
     
    Père: (enroule son journal et frappe la tête de Sulfus avec) 
     
    Sulfus: Aie ! 
     
    Père: Combien de fois je t'ai dit de ne pas employer ce genre de mot quant tu t'adresse à ta grande sœur ! 
     
    Sulfus: (soupire) Oui...pardon... 
     
    Stefanie: C'est rien papa, c'est sortie de sa bouche tout seul. ^^ Et puis c'est de ma faute, mais j'aime trop regarder mon p'tit frère dormir, il est si mignon ! x3 
     
    Sulfus: (désespéré de sa vie) ... 
     
    Mère: Voilà c'est fini. On va manger et je m'occuperais correctement de ton épaule, après. (part prendre la casserole de manger) J'ai fais des spaghettis à la bolonaise ton plat préféré justement ! 
     
    Sulfus: (se lève) Mangez sans moi... J'ai pas faim de toute façon. (part en direction du salon) 
     
    Même si je ne les regardais pas, je savais que leurs regards étaient braqué sur moi. J'avais quitté la cuisine/salle à manger pour arriver dans la pièce du salon. J'en avait ra le bol de toute leurs remarques et blagues qu'ils me lançaient, je me sentais complètement ridicule et j'étais pas d'humeur à m'en prendre pleins la gueule. Je me suis allongé sur le canapé en regardant la télé. Je faisait que de zappé les chaînes y'avait rien de bien à la télé ce jour là. Et j'avais mal dans mon épaule. Puis après quelques minutes Stefanie est arrivé dans le salon avec un plateau dans les mains qu'elle à posé devant moi sur la table basse. Elle affiché toujours son grand et insupportable sourire que je détestais à l'époque. Ma sœur Stefanie me faisait parfois pensé aux anges (même si j'en avait encore jamais vu), elle était toujours de bonne humeur et elle avait le cœur sur la main... Ce qui est rare chez un démon. Toujours là quant quelqu'un a un problème. Et le pire c'est qu'elle m'adoré. Je ne sais même pas comment elle faisait pour m'aimer autant... J'était le rebelle de la famille, je faisait que des conneries, et j'était pas forcément toujours gentil avec elle... Et pourtant elle me collé toujours et me parlé tout le temps comme si j'étais un gosse alors qu'ont avait seulement 2ans d'écart. Mais malgré tout ça, j'adoré ma sœur même si je ne lui disais pas. Sur le plateau il y avait 2 assiettes de spaghettis et deux verres d'eau. 
     
    Sulfus: J'ai pas faim. 
     
    Stefanie: (en prenant son assiette et commence à manger) Allez arrête. Je sais que tu meurt de faim. (sourit) Ça ce vois sur ton visage. Et puis c'est bon si tu mange là tu sera tranquille. 
     
    Sulfus: M'ouais....
     
    Stefanie: Allez fait moi plaisirs reprend des forces ! Mange une bonne assiette de pâte avec ta soeur ! (sourit) 
     
    Elle était tellement bonne pour moi que, je n'est pas résisté longtemps à lui faire plaisirs. Je me suis donc redressé et j'ai manger mon assiette de pâte avec elle devant la télé. Après qu'on est fini de manger elle a commençait à me demander qu'est ce qui s'est passé pour que je me fasse tiré dessus. J'avais pas vraiment envie d'en parler.
     
    Stefanie: Tu sais, je me suis vraiment inquiété hier soir.. Je ne t'avais pas vu de la journée et te voyant pas revenir pour le dîné et que tu ne répondait pas au téléphone ni même au texto j'ai commencer sérieusement à me faire du soucie. Puis vers 1h du matin papa nous a dit d'aller dormir, qu'il attendrait jusqu'à ce que tu rentre... Je n'avais pas trop envie mais de toute façon ça n'aurait qu'augmenter mes inquiétudes d'attendre que tu rentre. Et puis ce matin quant j'ai vu la salle de bain dans cette état avec le sang et tout, j'ai eu la peur de ma vie ! J'ai couru dans la cuisine pour voir papa et maman et c'est là qu'ils m'ont expliquaient, enfin surtout papa, que tu était rentré avec une balle dans l'épaule et tout ce qui suis ! 
     
    Sulfus: (regarde le plafond) Très beau résumé... 
     
    Stefanie: Je suis sérieuse Sulfus ! Qu'est ce qui s'est passé ? Et qui sont les démons qui t'ont fais ça, que j'aille leur réglé leur compte ! Tout le monde me répète sans arrêt que je suis beaucoup trop gentille, mais quant on touche à quelqu'un de ma famille je deviens incontrôlable ! 
     
    Sulfus: Pour que tu rentre avec une balle dans l'épaule toi aussi... Non merci..
     
    Stefanie: (soupire) Sulfus... Dit moi au moins ce qui s'est passé... En plus il faudra bien que tu crache le morceau. Papa a était très clair: Tu as intérêt à tout lui dire. Tu n'a pas le choix. Surtout qu'il est très énervé après toi. 
     
    Sulfus: C'est bon j'ai compris ! J'ai fais une connerie, j'ai eu tord ! Tout le monde est contre moi ! Mais j'ai un mal de chien dans l'épaule, alors est ce que c'est possible qu'on me foute la paix 2 minutes dans cette baraque ?! 
     
    Stefanie: Hooo... :3 Mais on est pas contre toi. (le prend dans ses bras) C'est juste qu'on t'aime fort, et quant on aime fort quelqu'un on lui cris dessus car on veux le protégé et ne pas le perdre. Tu comprend ? 
     
    Sulfus: Ouais... 
     
    Stefanie: (en continuant de le câliné) Ho mon p'tit frère est tout grincheux aujourd'hui ! x3 (le desserre de son étreinte) Bon si tu n'a pas encore envie d'en parler, je ne vais pas te saoulé avec ça. Tu nous dira tout ça plus tard.
     
    Sulfus: ...C'est juste.. Que... 
     
    Avant que je continue ma phrase, ma mère ainsi que Steffi arrivèrent dans le salon avec plusieurs petites boîtes en métal gris. Elles les posèrent sur la table basse près du plateau que Stefanie avait apporter. Steffi s'assisse parterre à côté de la table basse et ma mère à côté de moi, à ma gauche. 
     
    Mère: Si j'ai bien compris tu refuse d'aller à l'hôpital...
     
    Sulfus: Oui, il en est hors de question ! 
     
    Mère: Mais il te faut des points de suture, Sulfus... Et ça aurait était mieux d'aller à l'hôpital pour faire ça. 
     
    Sulfus: Tu peut le faire toi ? J'ai vraiment pas envie d'y aller en plus je vais attendre 3h dans une salle d'attente pour qu'il me fasse exactement la même chose que toi et en plus ils vont sûrement vouloir me garder quelques jours dans une chambre ! Alors non je veux faire ça ici, comme ça c'est tout de suite fait et je serait tranquille après pas besoin de supporter tout ces abruti de l'hôpital ! 
     
    Stefanie: Tu ne devrais pas dire ça, ils font de l'excellent travail. 
     
    Sulfus: Ouais, mais j'ai vraiment pas envie d'y retourner, je suis pas d'humeur à attendre gentiment mon tour ! 
     
    Mère: Bon d'accord, je vais le faire alors. (se lève) Retire ton haut et allonge toi. (à Steffi) Ma chérie, tu veux bien débarrasser les assiettes qui sont ici ? 
     
    Steffi: Mais je voulais t'aider moi ! 
     
    Mère: Stefanie est plus qualifié que toi, pour soigner les blessures. 
     
    Steffi: Bon d'accord... 
     
    Pendant que Steffi débarrasser les assiettes et les ramener à la cuisine, j'avais retiré mon haut et je m'était allongé sur la longueur du canapé. Je savais que j'allais avoir mal, mais je préféré ça que d'aller à l'hôpital. Ma tête était posé sur les accoudoirs du canapé. Stefanie s'était levé pour faire le tour du canapé et s'agenouiller parterre près de l'accoudoir où ma tête était posé. Elle me caresser encore les cheveux en souriant... Ma mère c'était assise sur le bord du canapé à côté de moi en commençant à retiré le bandage. Puis elle sortie une seringue de l'une des boîtes grises. 
     
    Sulfus: Qu'est ce que c'est ? 
     
    Mère: Tu sais avec toute les conneries que tu fais à longueur d'année, maintenant je pourrais être infirmière. Donc j'ai tout le matériel qu'il faut. C'est une piqûre anesthésiante. Tu sentira quant même quelque chose mais moins que si on le fait pas. 
     
    Sulfus: Ah ok... 
     
    Ma mère m'enfonça la seringue près de mon épaule gauche pour que cette zone soit anesthésié. J'ai franchement rien sentit. Une fois ça fais elle commença à me désinfecté correctement, comparé à ce que j'avais fait la veille, c'était du travail d'expert. Je commencer à sentir mon épaule s'engourdir, c'était assez stressant. Puis là elle a sortit le fil et l'aiguille spécialement conçut pour recoudre la peau. J'ai un peu paniqué sur le coup, je disais rien mais intérieurement j'était à la limite de faire une crise cardiaque. Puis elle a commençait à me recoudre l'épaule, une vague de douleur s'est répandu dans tout mon corps quant l'aiguille s'est enfoncé dans ma chaire. Je poussais des cris étouffés. L'anesthésie n'avait pas vraiment fait effet, même voir pas du tout... Elle m'avait engourdis l'épaule mais la douleur était bien là. Stefanie qui se tenait penché au dessus de ma tête, m'avais pris la main, et me caressé toujours les cheveux en me soufflant "Ça va aller, ce sera bientôt fini.." pendant que je gémissais en me retenant de crier. 
     
    Au bout de quelques minutes ma mère avait fini de me recoudre la plaie. Elle m'avait fait 6/7 points de sutures. J'était en sueur. Mon front était tout humide et j'avais presque la même sensation que quant mon père m'avait retiré la balle, essoufflé, épuisé, et souffrais. Stefanie m'avait embrassait le côté du front avant de prendre une serviette pour m'essuyer le front. J'était tellement épuisé sur le moment que j'ai rien manifesté. Elles m'ont ensuite fait un énorme bandage pendant que je sentait une vague de douleur dans mon épaule à chaque battement de cœur... 
     
    Mère: Et voilà c'est fini. Ça va ? 
     
    Sulfus: (essoufflé) Ouais... Ça va.. 
     
    Père: (arrive dans le salon) Je ne l'entend plus pleurniché ! Ça veux dire que tu as terminé?
     
    Stefanie: (en caressant l'épaule de Sulfus) Il n'a pas pleurniché... 
     
    Mère: (se retourne brusquement) Alors toi tu va laisser mon fils tranquille ! Déjà que c'est à cause de toi qu'il a autant souffert et que j'ai du lui faire des points de sutures, alors ferme là ! 
     
    Père: Parce que c'est de ma faute maintenant ?! C'est pas moi qui lui est dit de se foutre dans une situation pareil ! Et au cas ou tu l'aurait oublier c'est mon fils aussi, alors j'ai mon mot à dire ! 
     
    Mère: Oui tout comme moi ! Et je te dit de laisser notre fils tranquille ! Tu lui a assez fait mal comme ça alors maintenant tu va arrêter de l'emmerder ! 
     
    Père: C'est l'hôpital qui se fout de la charité ici ! Il nous doit le respect et obéissance et il ne sait que faire des conneries ! Il devrait au moins s'excusé pour tout ce qu'on doit supporter à cause de lui ! 
     
    Sulfus: (seulement Stefanie l'écoute) Je suis vraiment déso...
     
    Mère: Sulfus n'a pas à s'excusé ! 
     
    Père: Mais bien sure que si bordel !! 
     
    Là Stefanie, arrêta de me caresser les cheveux et elle se leva en se dirigeant entre mes deux parents et les poussa tout les deux violamment pour les écarté l'un de l'autre: elle était furieuse. C'était rare de la voir comme ça. Ses yeux avait viré au rouge, ça arriver seulement quant elle était énervée. 
     
    Stefanie: NON MAIS C'EST PAS BIENTÔT FINI CE BORDEL ?! 
     
    Mère et père: (la regarde avec de grand yeux) ....
     
    Stefanie: Sulfus à peut être fait une connerie, OK. Mais maintenant c'est pas la peine de gueulé et de remué le couteau dans la plaie, on ne sais même pas se qui s'est passé. 
     
    Père: Justement si il nous dirait !.. (se fait coupé la parole) 
     
    Stefanie: TAIT TOI !! Vous ne l'avez même pas écouter quant il était en train de s'excusé !! 
     
    Père: °^°' 
     
    Stefanie: Il finira par le dire ! Mais maintenant il doit se reposé ! Je sais pas si tu as remarquer, mais il a un mal de chien dans l'épaule donc vous allez me faire le plaisir de fermez vos bouche dans ce salon pour que mon frère puisse se reposé physiquement et mentalement. Si vous voulez vous disputé ce serait très aimable d'allez le faire dans une autre pièce ! De plus tu devrais déjà être content que Sulfus n'ai rien de grave ! Cette balle aurait pût le toucher dans un endroit où ça ne pardonne pas ! (elle marque une pause puis reprend presque en larme).... Mais t'ai vraiment trop con des fois...! T'imagine qu'il aurait pût se faire tuer ?! Et toi tout ce qui t'intéresse c'est qu'il s'excuse alors qu'on aurait pût recevoir un appel de la police nous dire qu'il est mort ! (sanglote) C'est dégueulasse ! 
     
    Sulfus: Stef*... Pleure pas..
     
    *Stef: Surnom de Stefanie
     
    Stefanie: Vous savez quoi je me casse ! Vous me saoulez ! (attrape son téléphone) 
     
    Père: Et où tu va allez ?
     
    Stefanie: Avec ma meilleure amie ! Je vais me changer les idées ! (caresse la joue de Sulfus) Et toi, repose toi. (part du salon et claque la porte de la maison) 
     
    Je crois que c'était la première fois que je voyais Stefanie autant énervé et indigné par mes parents. Ma mère soupira profondément. Puis elle se tourna vers mon père. 
     
    Mère: Bon écoute on va se calmé. Stefanie n'a pas tord. Sulfus à fait une bêtise mais on devrais s'estimé heureux qu'il sois toujours là. (regarde Sulfus) Quant à toi, c'est la dernière fois que tu te met dans une situation pareille, je ne rigole pas Sulfus ! Tu n'a pas intérêt à retourner voir les gens qui t'ont fait ça, que ça soit pour n'importe qu'elle raisons. De toute façon tu nous parlera de tout ça ce soir. Tu m'a bien comprise ? 
     
    Sulfus: (acquiesce) 
     
    Mère: Bon maintenant repose toi. (regarde son mari) Je vais allez faire des courses avec Steffi. On a plus rien à manger dans le frigo. Toi tu restera ici à la maison avec Sulfus. Je serais de retour dans quelques heures.
     
    Père: (les bras croisés) Et pour Stefanie ?
     
    Mère: Ne t'en fait pas pour elle. Elle a la tête sur les épaules, elle ne fera pas de bêtise. Je pense qu'elle va juste faire un tour avec Cynthia pour calmé sa colère. 
     
    Steffi arriva dans le salon un peu intimidé. Elle c'était rare de la voir comme ça.
     
    Steffi: Je finissais de ranger la cuisine...et .... J'ai entendu des cris... Et Stef partir... Qu'est ce qui se passe ? 
     
    Mère: (lui caresse la joue) Rien ma chérie. On s'est juste tous pris un peu la tête pour ce qui est arrivé à ton frère. Mais c'est bon, on reste calme et tout ira mieux ! Pendant que ton frère reste sur le canapé à se reposé, et que ton père s'occupe de ses affaires, nous deux on va allez faire les courses et aussi t'acheter la paire de basket que tu n'arrête pas de me parler ! 
     
    Steffi: (sourit) C'est vrai ?! 
     
    Mère: (sourit) Oui ! Tu les as bien mérité. Allez viens met tes chaussures on y va. 
     
    Steffi: D'accord ! (se précipite vers l'entrée) 
     
    Mère: (à son mari) Bon je te laisse avec Sulfus.. Ne sois pas trop dur avec lui c'est tout ce que je te demande. 
     
    Père: ....
     
    Mère: Je crois qu'il a compris, il n'ose pas en placé une depuis ce matin devant toi... C'est pas la peine de le terrorisé non plus. 
     
    Ils parlaient entre eux, mais j'entendais tout ce qu'ils se disaient... Ça en devenais gênant même voir ridicule...
     
    Père: Bon très bien. 
     
    Mère: Parfait ! À tout à l'heure ! 
     
    Sur ce ma mère partit avec ma p'tite sœur faire des courses pendant quelques heures. Je me retrouvais donc seul à la maison avec mon père. Stefanie me manquer vraiment là... Car passer des heures seul avec mon père avec qui je n'osé pas parlait aller être très long. Mes yeux ont fini par croisés les siens. Je suis rester comme figé pendant quelques secondes. Un long silence de quelques minutes s'est installé entre mon père et moi... Puis je me suis redressé pour m'assoir le regard baissé vers le sol. 
     
    Sulfus: Papa..je...
     
    Père: (lui coupe la parole) Tu as pas mal de chose à me dire en effet. Allez lève toi et suis moi. 
     
    Je n'ai rien rajouté, je pense que ça valait mieux. Je me suis levé du canapé mon épaule toujours en feu, et j'ai suivis mon père jusque dans le garage. Quant je suis arrivé dans le garage mon père cherché des outils dans une caisse. Puis il s'est approchait de moi les bras chargés d'outils de tout genre qu'il m'a dit de prendre. J'ai tendu les bras et il a tout lâcher d'un coup pour que je les rattrapes tous. Le poids des outils m'a fait légèrement basculé en avant ce qui m'a déchiré l'épaule... J'ai essayer de pas gémir mais je n'est pas réussi. 
     
    Sulfus: Qu'est ce que... (gémit) Je fais de tout ça ? 
     
    Père: Tu as fais une connerie, ne crois pas que tu va t'en sortir comme ça. Ta mère t'a dit de te reposé mais moi je te dit de travailler ! Tu va réparé et nettoyer toute nos motos, c'est à dire: La mienne, la tienne, celle de Stefanie, le scooter de Steffi. Et ensuite tu rangera le garage tout entier, depuis le temps qu'on doit le faire. 
     
    Sulfus: Quoi ?... Tout ça aujourd'hui ? (regarde le garage entier et leurs motos) Mais c'est infaisable.. En plus j'ai mal à mon épaule.... 
     
    Père: Vois ça comme ta punition. Et j'en est rien à foutre que tu es mal à ton épaule. Ça va te re-musclé justement tout ça. Allez au boulot ! 
     
    Sulfus: (soupire en penchant sa tête en arrière) C'est pas vrai...
     
    Père: (le fusille du regard) Que je ne t'entende pas te plaindre ! 
     
    Sulfus: D'accord.. C'est bon je m'y met... (s'avance dans le garage) Je commence par laquelle ? 
     
    Père: Commence par celle de Stefanie, je crois qu'elle m'a dit qu'elle avait un problème au niveau des freins. 
     
    Je me suis avancer jusqu'à la moto de ma sœur et j'ai déposais les outils au pied de celle-ci. Et j'ai commencer à regarder ce qui n'aller pas dans sa moto. J'avais seulement 15ans mais je savais déjà réparé entièrement une moto, c'était rare que j'avais besoin que mon père m'aide, il m'avait déjà tout appris. Alors que je commençais à bricolé la moto de ma sœur il m'avait ramener deux roues neuve près de moi en me disant que je devais aussi changé ses roues.. Ce qui n'allait pas être facile avec mon épaule. Après une demie heure de silence j'avais fini de réparé les freins de la moto et j'allais commencer le changement des roues. C'est vrai que ça allez devenir dangereux pour Stefanie de roulé avec des roues aussi usés. C'est pour ça que j'avais soudainement m'y ma feignantise de côté. Puis mon père qui était en train de rangé son plan de travail, à pris la parole:
     
    Père: Bon.. Et si tu me disait enfin ce qui s'est passé ? 
     
    Sulfus: (en train de desserrer les premiers boulons de la roue) ....
     
    Père: Sulfus ne me pousse pas à bout. Tu m'a seulement dit que des mecs avec qui t'a chercher embrouille t'ont tiré dessus mais c'est pas très clair ton histoire. Je veux savoir ce qui s'est passé ! 
     
    Sulfus: ... J'ai... Ça va pas te plaire...mais je ne sais pas.. C'est quoi qui va le plus t'énerver...
     
    Père: Dit le moi de toute façon, je suis déjà énerver. 
     
    Sulfus: ...(inspire) Il y a 2 mois en arrière j'ai intégré un gang de démons qui font des choses illégale. Au début on faisais des trucs plutôt "marrant" c'est pour ça que j'avais rejoins le groupe, car je m'éclaté avec eux. J'avais besoin de voir des types de mon âge près à faire que des conneries et c'était exactement ce qu'ils étaient. On cherché embrouille à la police puis on se sauvé, on rentré par effraction dans les magasins la nuit et on prenais ce qu'on voulais à condition de se barré avant qu'on nous chope. Le soir dans notre "repaire" on faisait des soirées un peu... Bref des soirées. 
     
    Père: (insiste) Des soirée ? 
     
    Sulfus:... (détourne le regard) On buvée, on fumé, on se drogué, on avais même des filles qui venait nous voir pour... Enfin t'a compris...
     
    Père: (les bras croisés) Ouais j'ai compris. Continue. 
     
    Sulfus: Donc je suis rester pendant 2 mois dans le groupe, j'allais les voir presque tout les jours, mais les derniers jours ils commençaient à changé à faire des choses plus...
     
    Père: À faire quoi ? 
     
    Sulfus: Ils avaient achetés des armes... Certains d'entre eux revenait au repaire en se ventant d'avoir violé et frappé des filles.. Je.. Ça commencer à me dégoûter... Une fille qui veux le faire ok. Mais qu'on la force... Moi je pouvais pas faire ça. Et ils parlaient plusieurs fois de braqué des banques ou de s'infiltré chez des gens la nuit pour les torturé jusqu'à ce qu'ils nous dévoile où sont caché leur argents ou objet précieux... Ça commencer à viré à un gang de tueur... Et c'était pas ça que je voulais moi. Et hier soir notre chef m'a donné un flingue et m'a dit qu'on allez rentrer dans une maison à quelques pâtés de maison et obligé des gens à nous donné tous ce qu'ils ont... 
     
    Père: Et qu'est ce que tu as fait ?
     
    Sulfus: J'ai refusé. Je lui est redonné le flingue et je lui est dit que je voulais pas faire ça... Et là... Son regard à changer... 
     
    Père: Qu'est ce qu'il t'a dit ?
     
    Sulfus: ... Il m'a dit "Tu me déçois beaucoup. Je pensais que tu était avec nous, surtout toi. Que tu n'avait peur de rien." Je lui est répondu que je n'avais pas peur, mais que moi, je n'est jamais dit que je ferais du mal à quelqu'un pour de l'argent. Et je lui est dit que ça valait mieux que je quitte le groupe, car ce qu'ils faisaient ne me plaisais plus. 
     
    Père: Et qu'est ce qu'il a fait ? 
     
    Sulfus: Il m'a dit "Comme tu voudras. Mais es-tu certain de vouloir nous quitté ?". Alors je lui est répondu fermement que oui puis il m'a dit de partir... Alors je lui est tourné le dos et j'ai commencer à avancer vers la sortie, jusqu'à ce qu'il prononce mon prénom. Je me suis arrêter puis tourné vers lui... Son flingue était braqué sur moi, et avant même que je tente quoique ce sois, il a fait feu. Et c'est là que mon épaule à était touché...
     
    Père: (essaye de rester calme) Comment tu as fait pour t'en sortir ? 
     
    Sulfus: Sur le moment je pensais que j'allais mourir, qu'il allait me tiré une deuxième fois dessus. Mais là les autres sont arrivés et lui ont dit qu'il était malade. Pour lui j'étais un traître qu'il fallait éliminé au plus vite mais les autres ne voulaient pas en arriver là, à part certains mais ils n'étaient pas armés. Alors j'ai profité de ce moment de confusion entre eux tous pour me relever et fuir. Je n'aime pas fuir... Mais là j'avais pas le choix ils étaient plus et armé, moi j'était seul et blessé. J'ai mis un moment à leur échappé, ils étaient au moins 5 à me rechercher.. Je courrais dans toute les rues mais je voulais surtout pas les attiré jusqu'à chez nous.. Alors à un moment quant j'avais réussi à les semés, ce qui n'allait pas duré longtemps, j'ai grimpais par dessus le grillage du jardin d'une maison, je sais même pas comment j'ai fait pour y arrivé, et je me suis planqué dans un buisson à plat ventre pendant presque 1h pour être sûre qu'ils rentrent au repaire et qu'il partent loin d'ici chercher ailleurs. 
     
    Père: ... Tu me choque Sulfus.. 
     
    Sulfus: (baisse la tête) Je sais... Je suis vraiment désolé... C'est pas ce que je voulais moi..
     
    Père: Et c'est quoi que tu avait si peur que je m'énerve plus que autre chose ? 
     
    Sulfus: Je savais pas si c'était parce que je me suis aventuré dans ce gang... Ou si j'ai refusé de faire ce qu'il m'a dit avec le flingue.. Est ce que j'ai réagis comme un vrai démon ?... Où alors je ne suis pas assez démoniaque comme j'aurais du l'être.. Je..
     
    Père: Le fait que tu es refusé de tuer des personnes pour de l'argent ne fait pas de toi un démon déchut. Au contraire Sulfus. Ce n'est pas parce que nous sommes des démons que nous sommes entièrement des mauvaises personnes et encore loin des tueurs. Malgré l'erreur que tu a fait de t'embarquer dans cette histoire, tu viens de me prouvais que tu n'est pas stupide non plus. Tu n'aurait pas était tuer quelqu'un pour quelque chose d'aussi vulgaire que de l'argent ou pour faire le malin devant les autres. Ce qui montre que tu es mature et quelqu'un de "bien" chez les démons. 
     
    Sulfus: Alors comment je doit prendre tout ça ? Je suis en tord, pas en tord ? Qu'est ce que j'aurais du faire ou pas faire ? 
     
    Père: En faite, maintenant que tu m'a tout bien expliquer tu n'a pas vraiment chercher embrouille pour te faire tiré dessus, tu es rester calme et t'a simplement dit que tu ne voulait plus trainer avec eux, mais tu es tomber sur un malade. Donc je ne peut pas te donné tord sur ce coup là. Par contre tu à fait l'erreur de faire partis d'un groupe de jeune cons qui font n'importe quoi... Tu as touché à la drogue, volé dans les magasins la nuit, couché avec n'importe quelle filles... Mais même tout ça je ne peut pas tout te reprocher puisqu'on l'a déjà tous fait à ton âge... Nous sommes des démons on fait tous ça. 
     
    Sulfus: (soupire) Alors ? Ton verdict ?
     
    Père: On va dire que ça passe pour cette fois. Mais que je ne te revois plus te mettre dans une situation pareille ! Tu va te faire oublier histoire que les chose redevienne calme. Tu ne leur a pas donné ton nom de famille j'espère ? 
     
    Sulfus: Non, je veux bien que j'ai étais con sur ce coup là, mais je suis pas abruti non plus ! 
     
    Père: Très bien. Je suis content que tu m'ai tout raconté. Mais tu es toujours punis. 
     
    Sulfus: Quoi ? Mais tu vois bien qu'en vrai j'ai rien fait pour mérité ça ! 
     
    Père: Oui mais tu es rentrer dans un gang et tu as quant même fait des conneries. Tu es punis et tu ne discute pas. Remet toi au travail. 
     
    Sulfus: (frustré) Génial.
     
    Ensuite j'avais du faire tout ce que mon père m'avait dit. 2 heures plus tard j'avais terminé de réparé toute les motos et je commençais le rangement du garage c'était le bordel là-dedans, et j'avais sérieusement mal dans l'épaule avec tout ce que j'avais fait. Mon père m'avait laisser seul dans le garage pendant qu'il allez regarder la télé... J'ai détestais ça façon de me punir et de me narguer... Puis après un moment la porte du garage s'est ouverte, c'était Stefanie. Bizarrement j'étais super content de la voir. Et elle semblait de nouveau, de bonne humeur. Elle s'est approcher de moi et m'a pris dans ses bras... 
     
    Stefanie: On viens de rentrer avec maman et Steffi. Papa nous a tout raconté. 
     
    Après m'avoir expliquer qu'elle avait croisée ma mère et Steffi au centre commercial et qu'elles ont réussi à la calmer, elle est rentrer avec elles et s'est excuser auprès de mon père qui apparemment s'est excuser lui aussi. Elle m'avait dit qu'elle était fière de moi.. Je voyais pas trop pourquoi, mais selon elle j'avais fait preuve d'une grande maturité en décidant de ne pas suivre ceux de mon gang à faire souffrir des gens qui n'ont rien de demander et de quitter le groupe de moi même. Bien sûre elle a aussi pété un léger câble car j'avais passer à deux doigts de me faire tuer mais elle s'est contenté de me suppliez de ne plus retourner dans ce genre de gang.
     
    Stefanie: Tu ne fait plus jamais ça d'accord ? Perdre mon petit frère aurait était horrible pour moi... Alors je t'en supplie ne retourne plus jamais dans ce genre de groupe. 
     
    Sulfus: Je te le promet. De toute façon j'ai plus vraiment envie d'y retourner et cette histoire m'a appris qu'on ne peut faire confiance à personne. (la regarde dans les yeux) À part la famille bien sûre. 
     
    Stefanie: (sourit) Je préfère ça ! Au faite... Ça va toi ? Car... Papa t'a fait travailler toute la journée du coup... 
     
    Sulfus: Oui.. C'est rien t'inquiète. J'ai juste un peu mal à l'épaule. 
     
    Stefanie: Ta grande sœur va s'occuper de ça ! (se dirige vers sa moto) Papa m'a dit que tu t'est occupé de nos motos ? (glisse ses mains sur sa moto)
     
    Sulfus: Oui, la tienne les freins bugué, du coup c'est réparé. Et les pneus sont changés. 
     
    Stefanie: (relève la tête vers Sulfus) Ho... :3 Mais tu sais que tu es un amour toi ? x3 
     
    Sulfus: (léger sourire) Arrête c'est rien du tout à faire. 
     
    Stefanie: Oui mais c'est fait ! Et c'est toi qui l'a fait avec ton épaule encore blessé. Tu as bien mérité une pause! (l'attrape par le bras) Allez suis moi ! En plus on va bientôt passer à table ! 
     
    Sulfus: Arrête j'ai pas terminé ! °^° Papa va me tuer ! 
     
    Stefanie: (clin d'oeil) Qu'il ose dire un truc, et je répète un câble ! 
     
    Elle m'avait ramener "de force" jusque dans la cuisine. Ma mère cuisiner avec l'aide de Steffi qui sautiller de joie dans ses nouvelles chaussures. Mon père était assis à table avec son fameux journal de moto. 
     
    Père: Tu as terminé ?
     
    Sulfus: Non j'ai pas..(se fait coupé la parole) 
     
    Stefanie: C'est bon ! Tu l'a fait travailler toute l'après-midi ! Laisse le se reposé maintenant ! 
     
    Père: (lève les mains en l'air) D'accord Stefanie. C'est toi qui décide. 
     
    D'un seul coup l'ambiance sembler moins tendu que le matin. J'étais un peu plus mieux dans ma tête que le matin. Même mon père sembler un peu moins énerver. Stefanie m'avait fait m'assoir à ma place et après une bonne heure on avait fini de manger... Le soir dans ma chambre mon père est venu me parlait. J'était allongé dans mon lit et je me reposé, j'avais l'épaule en miette. J'écoutais de la musique dans mes écouteurs jusqu'à ce qu'il arrive. Il s'était assis sur le bord de mon lit, je le regarder sans dire un mot.
     
    Père: Écoute Sulfus, je sais que j'ai étais dur avec toi aujourd'hui et hier soir. Et que tu as passait une après-midi pourrie à te torturé ton épaule. Mais ça c'était surtout parce que je me suis inquiétais pour toi. Et pour que tu ne recommence plus. Tu comprend ? Mon rôle dans cette famille c'est de vous protéger, toi, ta mère et tes deux sœurs. Parce que c'est mon devoir mais surtout parce que je vous aimes. Perdre l'un d'entre vous serait insurmontable pour moi. Et quant je t'ai vu rentrer hier soir, j'ai eu peur. J'ai eu peur de ce qui aurait pût t'arriver et que je n'aurais pas étais là pour te protégé. Et c'est ça qui m'a le plus énerver, c'est pour ça qu'hier soir, je n'est pas étais gentil avec toi, j'étais surtout énerver de savoir que des salopards t'avait tiré dessus et que je n'avais rien pût faire pour t'aider, puisque je ne savais pas où tu était. 
     
    Sulfus: (regard vide) Bah c'est de ma faute de toute façon.. 
     
    Père: Peut être. Mais je suis quant même fière de toi. 
     
    Sulfus: (relève la tête) Quoi ? 
     
    Père: Ne fait pas cette tête là, je suis sérieux, je suis fière de toi. Tu n'a pas laissais ces petits bâtards influencés ton choix. Tu n'a pas fait quelque chose que tu n'aurait pas voulu faire juste pour leur faire plaisir. Et ça c'est très bien mon fils. (lui tapote amicalement l'épaule droite) Allez repose toi, tu en as bien besoin. 
     
    Puis il est partit. C'était peut être bizarre pour un démon, mais cette discutions avec mon père, m'avait fait du bien. Et ça me montrait que j'étais pardonner. À peine un quart d'heure plus tard Stefanie est arriver dans ma chambre, elle avait une boite de barre au chocolat dans ses mains et elle s'installa dans mon lit à côté de moi, comme elle faisait souvent. J'avais rien dit puisque pour une fois j'étais vraiment content d'avoir une sœur aussi proche de moi. Elle me proposa une barre de chocolat:
     
    Stefanie: (en mangeant une barre de chocolat) T'en veux ? 
     
    Sulfus: Non c'est bon, je suis gavé. 
     
    Stefanie: (inspire) Aaah.... Contente que cette histoire sois fini. 
     
    Sulfus: Ouais moi aussi. 
     
    Stefanie: (le regarde sérieusement) Maintenant stop les conneries! 
     
    Sulfus: (lève les mains) Promis ! 
     
    Stefanie: Je suis vraiment rassuré que tu n'est rien de grave et que tu sois dans ton lit au chaud ce soir... (sourit)
     
    Sulfus: (sourit aussi) Oui, je préfère cette soirée que celle d'hier...
     
    Stefanie: (manque de s'étouffé avec sa barre de chocolat) Tu m'étonne ! À part si tu aime souffrir ! Mais sinon qui préférerait se faire tiré une balle que d'être tranquille dans son lit avec sa sœur ? 
     
    Sulfus: Personne je crois.
     
    Stefanie: Nous sommes bien d'accord ! 
     
    Sulfus: (regarde le plafond en baillant) Je suis crevé... 
     
    Stefanie: Oui c'est normal. Faut que tu te repose et surtout que tu te rétablisse bien, la prochaine rentrée pour toi c'est sur terre ! Ta première année où tu va enfin faire la connaissance de nos rivaux: les anges. Et également les humains à influencé ! Dommage que je sois à l'académie d'argent maintenant et pas l'académie d'or. J'aurais trop aimer qu'on étudie dans la même école... (sourit) Et surtout te voir à l'œuvre. 
     
    Sulfus: Ouais moi aussi...(sourit) Ça aurait était marrant. 
     
    Stefanie: Bah le truc c'est que j'adore l'académie d'argent, j'ai fait une seule année dans l'autre mais ensuite ils m'ont transféraient dans l'autre car j'avais un potentiel spécial qu'ils voulaient pour l'académie d'argent. 
     
    Sulfus: Bah je sais! J'aurais cas faire ma première année comme prévu à l'académie d'or et la deuxième je demanderais à être transférais à celle d'argent. Comme ça on sera ensemble. (sourit) 
     
    Stefanie: Ce serait génial, p'tit frère ! (sourit)
    ---
     
    Sulfus: Et après ça, elle est partit se coucher et moi aussi... 
     
    Raf: Et tu voulait changé d'école alors ?
     
    Sulfus: Ouais. Mais ça, c'était avant que je te rencontre... À partir du moment où je t'ai vu... Ma vie, mais surtout mon point de vue à changer pour toujours. 
     
    Raf: (sourit) Woua.. Quelle histoire.. Tu viens de me révéler un véritable moment de ta vie. Et je trouve ça génial... Pourquoi on a jamais fais ça avant ? 
     
    Sulfus: (ricane) Je sais pas. 
     
    Raf: En tout cas ta famille à l'air géniale ! J'adore la façon dont tu m'a décris Stefanie. 
     
    Sulfus: Je suis sûre que tu t'entendrait à merveille avec elle. 
     
    Raf: Et tu n'a jamais eu de nouveau problème, avec ces garçons ? 
     
    Sulfus: Non. Je l'ai est revu 2 ans plus tard par hasard  dans un bar et ils ne m'ont rien fait. J'était avec Gas, Cabria et Kabalé. Ils m'ont simplement dit que si je leur apporter pas de problème ils me foutraient la paix. 
     
    Raf: Tant mieux alors... Mais dit moi... Alors comme ça il y a eu d'autres filles avant moi ? 
     
    Sulfus: D'autres filles ?
     
    Raf: (hausse les sourcils) Pendant vos "soirée"... 
     
    Sulfus: Quoi ?! Mais Raf... Ça c'est des histoires d'un soir voyons ! °u°'' Je me rappel même plus de leurs têtes ou de leur nom ! Et c'était avant que je te connaisse tout ça ! Et puis tu peut pas me reprocher ça, à cet âge là n'importe quel démons fait ce que j'ai fait. C'est... Normal. ÅŒwÅŒ En plus je suis un garçon c'était normal de vouloir... Découvrir cette chose là ! *u*'' Et puis maintenant il n'y a que toi qui compte mon amour... 
     
    Raf: Non mais c'est bon, je te taquine ! x) 
     
    Sulfus: Ah...ouf ! Non parce que tu sais, il n'y avait rien entre elles et moi. C'était juste un jeu de séduction, en plus la plupart du temps ont était complètement pété ! Et... 
     
    Raf: (sourit) Sulfus. C'est bon. Ça n'a pas d'importance je te taquiné. Tu n'a pas besoin de te justifié comme ça. 
     
    Sulfus: Ouais désolé ! ^^' 
     
    Raf: En tout cas cette histoire m'a beaucoup plus... T'a famille à l'air géniale et à la fois un peu folle mais c'est ce que j'aime chez les démons parfois. ^^ Et... Je ne pensais pas qu'une famille de démon pouvait être aussi solidaire et proche. Je pensais que ça existait que chez les anges et les humains. 
     
    Sulfus: (sourit) Non les démons ne sont pas si mauvais en réalité. On est comme on est, mais on est très proche entre nous. Enfin pas tous mais la plupart oui. 
     
    Raf: (baille) C'est pour ça, que je suis tomber amoureuse de toi... Les démons ont un cœur... Comme les anges. (fermes ses yeux) 
     
    Sulfus: (la regarde en souriant) Oui... (lui embrasse le front) Dort mon ange... Tu en a besoin... (lui caresse la joue) 
     
    Raf s'endormit bien au chaud dans les bras de Sulfus. Il la regarda dormir un moment jusqu'à ce que le sommeil le gagne lui aussi. Il se laissa emportait par la fatigue et s'endormit avec son ange dans les bras... Quelques heures de sommeil plongé dans la paix et le bonheur avant d'être de nouveau menacé par la mort.
     
    À suivre... 
     
     
    * * * * * * * * * * * *
    Bonsoir tout le monde ! *u* 
    Comment allez-vous depuis le temps ? ^^ Oui je sais 1 mois que vous attendez le chapitre mais j'ai eu plusieurs imprévus qui mon retardé, je m'en excuse. 
    Donc: Oui je sais ce chapitre est sans aucun doute le chapitre le plus long que j'ai jamais écrit depuis que j'ai mon blog ! x) Et aussi que le souvenir de Sulfus est plus long que la moitié du chapitre ^^' Mais je trouvais ça génial de le faire parler de ses souvenirs car on est bien d'accord que dans la série on ne sais absolument rien de Sulfus ! On sais pas si il a des parents ou non, des frères et soeurs, quelle sont ses relation, bref c'est le mystère total ! Donc j'ai voulus lui crée une famille ! Et voila ce que ça a donné ! ^w^Qu'est ce que vous en pensez ? Aimez-vous les parents et les soeurs que je lui est crée ? ^^ En tout cas personnellement j'aime beaucoup Stefanie ! x) 
    Sinon coté présent comment avez vous trouvé la suite ? Plûtot intime le moment entre Raf et Sulfus ! *v* Dite moi juste ce que vous en avez pensez dans un commentaire que je lirais avec joie ! *w* Vos commentaires se font rare ses derniers temps ça me manque de ne pas avoir d'avis de mes lecteurs... T^T Je vous remercie d'avance de me laissez votre avis ! *w*
    Bisous à vous ! *3*

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